Crisolles

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Crisolles
Crisolles
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Gérard Delanef
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60181
Démographie
Gentilé Crisollois, Crisolloises
Population
municipale
914 hab. (2021 en diminution de 7,02 % par rapport à 2015)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 20″ nord, 3° 01′ 01″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 181 m
Superficie 10,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Crisolles
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Crisolles
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Crisolles
Liens
Site web http://crisolles.paysnoyonnais.fr/

Crisolles est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Crisolles est un bourg périurbain du Noyonnais dans l'Oise, situé à 5 km au nord de Noyon, 27 kmau nord-est de Compiègne, 70 km au vord-est de Beauvais, 60 km au sud-est d'Amiens, 14 km au sud de Ham et 31 km de Saint-Quentin.

Il est desservi par l'ancienne RN 32 (actuelle RD 932), et est traversé par le Sentier de grande randonnée GR 655 ou Via Turonensis.

L'est de la commune est constitué par une partie du Bois d'Autrecourt.

En 1850, Louis Graves indiquait que le « 'territoire de cette commune, dont l'étendue est assez considérable, eu égard aux autres communes du canton, est formé de coteaux boisés au midi , et d'une plaine marécageuse vers le nord[1] ».

Panorama du village depuis les abords de Genvry.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le ruisseau de Rimbercourt[1], qui se jette dans la Verse, et est donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Crisolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), forêts (35,1 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), prairies (0,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 421, alors qu'il était de 400 en 2013 et de 387 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crisolles en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Crisolles en 2018.
Typologie Crisolles[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 676, 677, 678, 6308 et 6333 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Carisiola[1] (851) ; Carisiolas (vers 982)[15] ; Carisiolam (988)[15] ; Carisoles (1162) ; Carisiolis (1168) ; apud Karisiolas (1201) ; Manasserus dominus de crisoles (1249) ; Kierisoles (1220) ; de Kerisoles (1260) ; de Kyerisoles (1304) ; Grisolles (vers 1575)[15] ; Chrysoles[1] (vers 1575) ; Crisolles[1] (1730)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

La cure dé Crisolles est donnée avec plusieurs autres à l'Abbaye Saint-Éloi de Noyon, vers 988, par Liudolphe, évêque de Noyon[1].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, une maison forte et un château, appartenant aux Templiers de la commanderie d'Eterpigny protégeaient le village, qui appartenait en grande part à l'ordre religieux. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple la maison forte et le château reviennent aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. L'église, détruite pendant la Première Guerre mondiale, était considérée comme une ancienne chapelle templière[16],[17].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1846, le maire, M. Gellée, interdit les toitures de chaume[1], sans doute pour lutter contre les incendies.

En 1850, la commune est propriétaire de la mairie, du presbytère, d'une école, d'un terrain de jeu d'arc, d'une grande place garnie de plantations, ainsi que de portions de terrain à l'état de friche et de marais. On comptait alors sur le territoire communal un moulin à vent ainsi qu'un moulin à eau, et une exploitation considérable de grès[1].

Une sucrerie est construite à Crisolles par Alphonse Labarre en 1863. Elle employait 75 salariés pendant la saison[18].

La sucrerie ferme en 1966 et ses installations sont détruites, à l'exception de la maison de maître[18].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le kronprinz Frédéric Guillaume, fils du Kaïser, allemand, Guillaume II a eu son quartier général à Crisolles, dans ce qui est actuellement le Bar du Centre[16].

Crisolles a été le théâtre de durs combats de mars à septembre 1918, qui l'ont fortement endommagée et le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].

La maison de maître de la sucrerie est reconstruite en 1924 et est aujourd'hui encore appelée le Manoir de Crisolles[18]

La commune n'ayant pas les moyens d'élever un monument aux Morts. le maire Albert Poulin, fit appel à la générosité des habitants de Deville-les-Rouen pour aider à ériger le monument actuel[16].

Reconstruction, vers 1930.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Lors de la Seconde Guerre mondiale, à l'annonce du Débarquement de Normandie, un maquis se constitue dans le Bois des Usages par des résistants noyonnais. Celui-ci est attaqué sans succès par l'occupant le , mais le garde-chasse Gaston Devulder et Maurice Moreau sont tués lors du combat. En représailles, les Allemands procèdent à une rafle à Crisolles, puis à Salency le [21],[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Crisolles est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Politique locale[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des électiuons municipales de 2020 où ne se représentait pas le maire sortant Gérard Lecomte, trois listes étaient en lice, celles menées par Gérard Delanef (apolitique mais soutenue par des élus de l'UMP[24]), par l'ancienne première maire-adjointe Annie Lalanne-Kesterman et par Joachim Gomes, qui ont recueilli 235, 234 et 58 voix. Compte tenu de la voix d'écart qui séparaient les deux premières listes et d'une irrégularité dans la tenue de la liste d'émargement, qui a permis à 4 personnes de voter sans être régulièrement des électeurs de la commune, le tribunal administratif d'Amiens[25] puis le Conseil d'État[26] ont annulé le scrutin.

Au terme des élections qui se sont ensuivies le 5 juillet 2015[27], au terme duquel la liste conduite par Gérard Delanef (SE) a remporté l'élection avec 174 de plus que celle d’Annie Lalanne-Kesteman (SE) et 220 de plus que celle de Gérard Lecomte (SE)[28], Gérard Delanef a été réélu maire de la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

stèle en hommage à Marcel Poulin, devant la mairie.
Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1880   Félix Gelle    
1883   Honoré Mazier    
1885   Théodore Carrière    
1892   Arsène Gelle    
1896   Albert Poulin   Propriétaire de la sucrerie, conseiller d'arrondissement
1933   Marcel Poulin[22]   Propriétaire de la sucrerie, fils du précédent
Résistant, mort en déportation
1944   Pierre Lelong    
1976   Raymond Santer    
Les données manquantes sont à compléter.
1985 juin 1995 Jacques Lagant    
juin 1995 avril 2014[24] Gérard Lecomte PS Conseiller général de Guiscard (2004 → 2011)
avril 2014[30] En cours
(au 10 juillet 2020)
Gérard Delanef SE Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[31]

Instances de démocratie participative[modifier | modifier le code]

La commune s'est doté d'un conseil municipal des enfants, dont les membres ont participé à la plantation d'arbres près de la maison des associations en 2021[32].

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Fin 2021, les habitants de Crisolles ont planté près de la Maison des associations 125 arbres, principalement des jeunes arbustes et des arbres fruitiers, dans le cadre de l'appel à projet régional du plan « 1 million d’arbres en Hauts-de-France »[32].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Raymond Senter, qui compte quatre classes et une centaine d'enfants[33].

La commune dispose d'une maison des associations[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 914 habitants[Note 3], en diminution de 7,02 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
376348496530506506513493492
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
483527552572574497474516493
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
546522532391528562487521553
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5985895607688729851 0171 038957
2021 - - - - - - - -
914--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 463 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 50,44 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,2 
2,6 
75-89 ans
8,7 
19,6 
60-74 ans
17,8 
23,1 
45-59 ans
22,3 
19,0 
30-44 ans
19,5 
15,4 
15-29 ans
15,2 
20,0 
0-14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Eloi, quasiment détruite en septembre 1918, reconstruite en 1925 en style néogothique sur le modèle de l'édifice précédent, lui-même refait au XIXe siècle mais dont la façade est orientée à l'est[40].
  • Le Monument du Maquis des Usages[41],[22]
  • Le Manoir de Crisolles, maison de maître de la sucrerie, reconstruite en 1924 et est aujourd'hui un gite touristique.
  • Le monument aux morts
  • L'ancien parc de loisirs médiéval Carisiolas , fermé en 200 et racheté par un investisseur local qui le transforme en centre de ball-trap[42],[43]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Crisolles Blason
D'argent, à l'arc de gueule posé en barre ; au renard rampant d'azur, posé en bande et brochant sur l'arc ; à la bordure d'azur, chargée : en chef d'une croix pattée d'or accompagnée aux angles de deux besants d'argent ; sur les flancs deux calices d'or ; en pointe d'une billette couchée d'argent, accompagnée sur les flancs de deux autres besants du même[44].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Processions de géants[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Crisolles » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Crisolles - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Crisolles - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 40-42.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Crisolles et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Crisolles », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a b c et d Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 172.
  16. a b et c « Histoire de Crisolles », sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
  17. a et b « Ces héros légendaires picards : Rigobert, le templier maure de Crisolles : Ils sont purement fictifs ou ils ont eu une existence réelle avant que la légende ne s’en empare : les héros et héroïnes légendaires de Picardie sont nombreux. Allons à leur rencontre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Rien n’atteste l’existence historique de Rigobert, mais les Crisollois n’ont plus de doutes à son sujet. En 2006, ils en firent un géant processionnel ; l’un des rares géants du nord de la France à la peau noire ».
  18. a b et c « L'histoire du Manoir de Crisolles », sur lemanoirdecrisolles.com (consulté le ).
  19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  20. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
  21. « À Crisolles, le souvenir du maquis », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a b et c Frédéric Stévenot, complétée par Annie Pennetier, « Crisolles (Oise), 23 juin 1944 », Le Maitron - Dictionnaire biographique - Fusillés, guillotinés, exécutés, massacrés 1940-1944 (consulté le ).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. a et b « Gérard Delanef vise la mairie de Crisolles », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gérard Delanef part donc au combat pour succéder au maire socialiste Gérard Lecomte, en poste depuis 1995 et qui ne se représentera pas. Bien que théoriquement apolitique, la liste Réanimons Crisolles a reçu le soutien, sur sa page Facebook, d'élus de droite comme l'ancien député UMP, François-Michel Gonnot, le conseiller général UMP de Compiègne-Nord, Eric de Valroger et le responsable UMP du Noyonnais, Alexandre Cavé ».
  25. Pierre Pauma, Karine Leroy, « Le maire de Crisolles saisit le Conseil d’État et reste en place », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. CE, no 382162, 27 mai 2015.
  27. « De nouvelles élections municipales programmées en juillet à Crisolles », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  28. Florent Hélaine, « Élections municipales à Crisolles : Gérard Delanef reprend son bien », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  29. « Les Maires et adjoints de Crisolles de 1880 à nos jours », Histoire de Crisolles, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
  30. « CRISOLLES (60) Un maire élu, et... trois démissions : L’ex-adjointe Annie Lalanne-Kesteman et ses colistiers ont démissionné vendredi lors de l’élection Gérard Delanef comme nouveau maire de Crisolles (nord-est de l’Oise) », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Le mot du maire », Actualités 2020, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
  32. a et b Stephane Lebarber, « À Crisolles, les habitants plantent 125 arbres », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Ecole de Crisolles », Vie locale, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
  34. « La maison des associations de Crisolles », sur maisondesassociations-crisolles.com (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Crisolles (60181) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
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  41. « Monument du Maquis des Usages », CANOPÉ - Site de Beauvais.
  42. Alexis Bisson, « Oise : fermé depuis deux ans, le parc Carisiolas bientôt reconverti... en centre de ball-trap : L’ancien parc de loisirs médiéval de Crisolles, en proie à des difficultés financières, avait fermé ses portes début 2020. Le site de 13 hectares a été racheté par un entrepreneur habitant la commune et passionné de tir aux plateau », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « À Crisolles, le centre de ball-trap prêt à dégainer dans l’ancien parc Carisiolas : Un couple d’entrepreneurs compte ouvrir le mois prochain son centre de tir de loisir dans le site boisé de l’ancien parc d’attractions médiévales de Crisolles, après d’importants travaux depuis l’été 2021 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Le blason de Crisolles », Histoire de Crisolles, sur crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).