Chaugey

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Chaugey
Chaugey
Enclos paroissial rue de l'Église.
Blason de Chaugey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Châtillonnais
Maire
Mandat
Violaine Monmarché
2021-2026
Code postal 21290
Code commune 21157
Démographie
Gentilé Cuillotins
Population
municipale
21 hab. (2021 en augmentation de 5 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 45′ 10″ nord, 4° 57′ 05″ est
Altitude Min. 325 m
Max. 468 m
Superficie 6,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Seine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chaugey
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Chaugey

Chaugey est une commune française située dans le canton de Châtillon-sur-Seine du département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Chaugey est une commune installée en Côte-d'Or le long de la limite avec la Haute-Marne, qui forme la moitié de sa propre limite de commune, sur le plateau de Langres. Le village est situé au centre d'un petit territoire (7 km2) sur une avancée du plateau entre les vallons suivis par les deux ruisseaux locaux. C'est en haut de cette avancée que se trouve au sud le sommet culminant à 468 m, au lieu-dit la Commanderie dans le bois de la Hauture. Les ruisseaux de la commune sortent du finage peu après s'être rejoints, à cinq cents mètres de leur confluence avec l'Ource au nord sur la commune de Colmier-le-Bas, à l'altitude minimum de 324 m (près des ruines du Moulin). Ils irriguent sur une bonne partie du territoire des prairies à fourrage ou à pâturages, le reste des surfaces se partage entre bois et champs agricoles, les bois occupant plutôt la partie haute du plateau au sud et les versants des vallons.

La commune est à l'écart des grandes routes, à proximité de la RD 959 qui joint Recey-sur-Ource à Is-sur-Tille et qui traverse le village voisin de Bure-les-Templiers à 5 km au sud-ouest.

Elle est située dans le Parc national des Forêts de Champagne et Bourgogne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Colmier-le-Bas, Bure-les-Templiers et Villars-Santenoge.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Les sources sont nombreuses sur le territoire communal, mais le ruisseau de Chaugey[1] démarre sur la commune de Bure-les-Templiers tout près de la limite de commune, la douix d'Aulot qui l'alimente un peu plus loin est aussi hors commune, juste avant que le ruisseau forme la limite communale ouest sur plus de 3 km. Le ruisseau de Prés-Mous se perd parfois dans la zone humide au fond de la Combe sans rejoindre le ruisseau de Chaugey, par manque d'eau, d'autant que sa source est captée pour des besoins domestiques. D'autres sources comme la Fontaine Muguet ne donnent que des prés humides parfois marécageux (comme les "Prés Mous"), le plateau de Langres aux sous-sols calcaires étant sujet aux phénomènes karstiques avec des pertes et des résurgences (et exsurgences) comme la douix d'Aulot. Les cours d'eau de la commune convergent tous vers l'Ource[2] au nord, rivière affluente de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 990 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le vallon de Pré Mous est classé Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type I en 2012[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chaugey est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,8 %), terres arables (32,4 %), prairies (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

La population est regroupée dans le village, la commune n'a pas de hameaux rattachés ni d'habitations isolées.

Plusieurs lieux-dits sont mentionnés : bois des Hautures, bois de la Châtelaine, ruines du Moulin, les Prés Mous, la Combe (plusieurs sources), d'autres combes portent un nom.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018 et 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 13, en croissance d'une unité par rapport à 2008[I 1].

Parmi ces logements, 47,1 % étaient des résidences principales, 37,8 % des résidences secondaires et 15,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chaugey en 2018 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (37,8 %) très, supérieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 57,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,4 % en 2013), contre 59,9 % pour la Côte-d'Or et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Chaugey en 2018.
Typologie Chaugey[I 1] Côte-d'Or[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 47,1 86 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 37,8 5,6 9,7
Logements vacants (en %) 15,1 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le village est donné à la communauté de Bure de l'Ordre du Temple en 1301[16].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1580 : affranchissement du village[16].

En 1740/1741, à la suite notamment de gelées précoces, qui ont détruit les vignes, et d'un hiver particulièrement rigoureux, les habitants subissent une famine de plus d'un an[16].

En 1757, une inondation dans la nuit du 21 au 22 janvier détruit pont et moulins[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1918, à la fin de la Première Guerre mondiale, une compagnie américaine cantonne dans le village, et 300 soldats logent chez l'habitant. Le village n'a eu aucun soldat tué pendant la Guerre et n'a pas érigé de monument aux morts[16].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les hommes mobilisés pendant la Drôle de guerre sont tous revenus au village en 1940. Pendant l'Occupation, de nombreux maquisards se réfugient dans les bois[16]..

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montbard du département de la Côte-d'Or.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Recey-sur-Ource[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Châtillon-sur-Seine

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Côte-d'Or.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Chaugey est membre de la communauté de communes du Pays Châtillonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1900 1942 Émile Galimard   Agriculteur
mars 1942 mars 1983 Maxime Renard   Agriculteur
mars 1983 2014 Jean Renard[18] PS Agriculteur, producteur de lait et céréalier, petit-fils d'Émile Gallimard
Président du SIVOM de Recey-sur-Ource[Quand ?]
Chevalier du Mérite agricole
2014 3 juin 2021[19] Philippe Renard   Agriculteur
Vice-président de la CC du Pays Châtillonnais (2020→ 2021)
Mort en fonction
octobre 2021[20],[21] En cours
(au 16 décembre 2022)
Violaine Monmarché   directrice de marketing et commerciale dans une start-up

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

  • L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 21 habitants[Note 2], en augmentation de 5 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1039675112111991008576
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
757573636358584848
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
525254414336473244
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
405241251913182318
2021 - - - - - - - -
21--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2022, on observe une croissance significative avec 25 habitants.

Cultes[modifier | modifier le code]

Une messe catholique annuelle est célébrée dans l'église Saint-Sulpice, aux alentours de la Saint Jean (24 juin).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

On peut signaler :

  • L'église Saint-Sulpice des XIIe et XVIIe, allongée par l'architecte châtillonnais Simon Tridon au XIXe siècle. De plan rectangulaire, ses différents remaniements semblent avoir emmené le clocher à mi-longueur du bâtiment, décalé sur un des deux pans du toit. L'élégant porche de l'architecte présente deux niches abritant des sculptures de chaque côté de la porte et un petit fronton Renaissance[25],[26].
Les statues de la Vierge et de Saint Georges, en façade de l’église, ainsi que des peintures murales, tels des médaillons de consécration avec figures d’Apôtres ou le miracle de saint Hubert, composent un patrimoine des XVIe et XVIe siècles remarquable[27].
Le monument est en cours de rénovation en lien avec la Fondation du Patrimoine. Une souscription y est ouverte[28],[29],[30]. A date[Quand ?], le clocher, le toit de l'entrée, un drain tout autour de l'église ont été rénovés et mis en place. Les prochaines étapes sont la rénovation de l'enceinte du cimetière et le remplacement de la toiture de la nef.
  • Deux pierres gravées dans le mur d'enclos du cimetière dont une croix pattée probablement templière (Chaugey a été donné aux Templiers en 1301) IGPC [32].
  • Lavoir en pierre (près de l'église), dantant de 1854, situé près de l'église[16].
  • Tilleul de Sully, près du lavoir, dont la circonférence du tronc est de plus de 4 m. Il a reçu en décembre 2000 le "prix de l'arbre"[16].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Biographie de J. Dupotet présentée sur sa maison.85px

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chaugey Blason
D'azur au vaisseau d'or, au chef d'argent chargé d'un léopard de gueules.
Détails
Le lion léopardé rappelle Guy de Villars, seigneur de Chaugey et le vaisseau, l'amiral Jean-Henry Dupotet[16]
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. La mairie ne se trouve plus dans ce bâtiment, mais désormais dans une maison d'habitation.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau (F0404000) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau (F04-0400) ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Chaugey et Bure-les-Templiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Muséum national d'Histoire naturelle, « FR2600963 - Marais tufeux du Châtillonnais », sur Inventaire national du Patrimoine naturel, 2003+ (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d e f g h i et j « Chaugey, le village Châtillonnais où naquit le Vice-Amiral Dupotet … », sur christaldesaintmarc.com, (consulté le ).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Astrid Gayet, « Jean Renard, maire du village pendant 31 ans, nous a quittés : Jean Renard, l’ancien maire de Chaugey, un village de 25 habitants, est décédé à l’aube de ses 89 ans. Maire de cette commune châtillonnaise de 1983 à 2014, il a marqué la vie du village », Le Bien public,‎ 9/8/2022 mis à jour le 10/9/2022 (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu conseiller municipal de Chaugey en mars 1959, puis premier adjoint en 1977 et maire en mars 1983 jusqu’en 2014 ».
  19. « Philippe Renard, maire de Chaugey, est décédé à l’âge de 61 ans », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Nicolas Boffo, « Seule candidate, Violaine Monmarché est élue maire : Le conseil municipal de Chaugey, village d’une vingtaine d’habitants dans le Pays châtillonnais, s’est réuni samedi 2 octobre pour procéder à l’élection d’un nouveau maire, à la suite du décès de Philippe Renard. Violaine Monmarché, première adjointe depuis 2014, récupère l’écharpe tricolore », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « L'écharpe de maire pour Violaine Monmarché », Le Châtillonnais et l’Auxois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Église paroissiale Saint-Sulpice », notice no IA00050305, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « L'église de Chaugey. », sur christaldesaintmarc.com, (consulté le ).
  27. « peinture murale (4) : châsse de saint Hubert, saint Pierre, saint Jean, saint », notice no IM21004278, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. « Eglise Saint Sulpice à Chaugey : Ensemble, contribuons à la réfection de cette église communale », sur fondation-patrimoine.org (consulté le ).
  29. Nicolas Boffo, « Le petit village va restaurer son église qui prend l’eau : Située aux confins du Pays châtillonnais, la minuscule commune de Chaugey (18 habitants) a entamé d’importants travaux cette année. Il s’agira de restaurer du sol au plafond l’église Saint-Sulpice, dont les fondations remontent à plus de 800 ans », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Josselin Milot, « La restauration de l’église Saint-Sulpice continue : Depuis avril 2021, le conseil municipal de Chaugey s’est fixé comme objectif la restauration de son patrimoine bâti à travers son église. Premier bilan avec Violaine Monmarché, maire de la commune », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Notice no IM21004283, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. Notice no IM21004291, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et Notice no IM21004290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. Notice no IA00050306, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.