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Nolay (Côte-d'Or)

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Nolay
Nolay (Côte-d'Or)
Nolay (Côte-d'Or)
Blason de Nolay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté d'agglomération Beaune Côte et Sud
Maire
Mandat
Jean Pascal Monin
2020-2026
Code postal 21340
Code commune 21461
Démographie
Gentilé Nolaytois
Population
municipale
1 421 hab. (2021 en évolution de −3,79 % par rapport à 2015)
Densité 99 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 09″ nord, 4° 38′ 04″ est
Altitude Min. 297 m
Max. 542 m
Superficie 14,3 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Arnay-le-Duc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Nolay
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Nolay
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Nolay
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Nolay

Nolay est une commune française située dans le canton d'Arnay-le-Duc du département de la Côte-d'Or, qui se retrouve quasiment au centroïde de la région de la Bourgogne-Franche-Comté. Deux hameaux dépendent de la commune de Nolay : le hameau de Cirey-les-Nolay et celui de Saigey.

Géographie

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Nolay est un chef-lieu de canton, à vocations rurale, touristique et industrielle. La typologie des exploitations agricoles est de type polyculture-élevage (charolais et grandes cultures). La vigne est très présente, et le vignoble de Nolay est classé en Hautes Côtes de Beaune.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
  • Ligne de bus Beaune-Nolay Cote&Bus
  • Ligne de bus Autun-Chagny-Chalon Mobigo

Communes limitrophes

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Rose des vents Aubigny-la-Ronce, Baubigny Cormot-Vauchignon Rose des vents
Saisy (Saône-et-Loire) N La Rochepot
O    Nolay    E
S
Épertully (Saône-et-Loire) Change (Saône-et-Loire)

Lieux-dits et écarts

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  • Cirey-les-Nolay, commune rattachée le [1].
  • Saigey.

Géologie et stratigraphie

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La commune de Nolay se trouve entre deux failles subméridiennes en relation avec l'effondrement de la cuvette de la Saône. Dans ce voussoir, le Lias forme les pentes et le calcaire à entroques, l'entablement des plateaux que couronne le Bathonien des « Chaumes d'Auvenay ». Les environs immédiats de Nolay (est) permettent d'étudier une série stratigraphique du Lias inférieur et moyen très fossilifère[2] (une des régions la plus fossilifères d'Europe).

À l'ancienne gare de marchandises, dans la tranchée, se trouve, à la base, le Lotharingien, très fossilifère, sous la forme de bancs de calcaires bleuâtres entrecoupés de petits lits marneux noirâtres, avec oxynoticeras oxynotum, echioceras rhicostatum, nodoti, gryphea regularis et armanta. Au-dessus, le Pliensbachien inférieur (Carixien), représenté par la sous-zone à tropidoceras valdani (environ 2 mètres de calcaire brun ou gris verdâtre assez cristallin), appartient à la zone classique à phylloceras ibex[2].

La partie sommitale du Carixien (zone à deroceras davoei), environ 1 mètre de marnes et calcaires argileux compacts avec lytoceras fimbriatus et nombreuses bélemnites, il n'est guère visible que dans les champs à l'est de l'ancienne gare SNCF et aux environs de l'ancienne tuilerie des « Louchardes », située à 1 kilomètre à l'est de Nolay, sur la RD 973. Celle-ci complète parfaitement la série précédente ; elle débute par la partie supérieure du Carixien (zone à deroceras davoei) qui forme le plancher de la carrière (argile rouge)[2].

Au-dessus, le Domérien inférieur (ou étage situé au-dessus et équivalent au Pliensbachien supérieur), couche épaisse de marnes micacées, à peu près sans fossiles, mais à Foraminifères. Ce sont elles qui furent exploitées dans la carrière des « Louchardes ». Au-dessus, le Domérien supérieur est représenté par 8 à 10 mètres de calcaire très dur et bleuâtre formant un bourrelet caractérisé par l'abondance de gryphea gigantea. Ce bourrelet forme le ressaut du hameau de Cirey-les-Nolay. À 1 kilomètre au nord–nord-ouest se trouve le champ des Quilles, éperon barré, séparé du plateau par une double enceinte et, non loin de Nolay, le dolmen de Champin[2].

Le Bout du Monde, ou cirque de la Tournée, est représenté par une reculée dans le plateau calcaire du Bathonien et du Bajocien, formé par l'érosion de la rivière Cuzanne ou Cosanne, jusqu'au replat d'âge Sinémurien où se situe la commune. Au fond du cirque, on trouve une cascade haute de 25 mètres et la grotte dite du « Bout du Monde », formée par une fente oblique de 65 mètres dans le calcaire du Bajocien et terminée par un bassin d'eau très claire[2].

En résumé, les communes de Nolay, Cormot, Épertully, Change et la Rochepot se situent dans des formations liasiques (Lias supérieur, moyen et inférieur, « Infra-Lias »).

De la tuilerie des « Louchardes » (commune de La Rochepot), aujourd'hui inactive, pour aller à la commune de Vauchignon, en passant par les Tramures, la Roche-Hullant, le Larrey-Lacant, les Carillots, les Vignes-Villonnes, le Lias moyen est couronné par une bande (également présente sur le Lias supérieur), qui sépare le calcaire à Entroques dudit Lias moyen. L'Obus Chapet repose également sur le Lias moyen.

Cette bande liasique se poursuit dans la même stratigraphie jusqu'à la reculée de la commune de Vauchignon. Le coteau opposé délimité par Combeille, Chassigny, Jaron et le grand coteau abrupt de Saint Philippe reposent encore sur le Lias moyen. Ce versant ouest se termine à la fin du vignoble de Cirey les Nolay, sa crête est constituée par une bande de Lias supérieur qui entoure le calcaire à Entroques, puis cette couche s'arrête vers les Granges d'Etagny reposant sur les marnes à ostrea acuminata et le calcaire hydraulique.

L'érosion du versant ouest a engendré des sols soliflués dans les gorges de Saint Philippe, L'Abbaye de Cirey et de la Combeille, ces sols bruns calcareux assez riches en éléments fertilisants ont pour origine immédiate le Lias supérieur provenant du plateau supérieur. Tandis que pour les coteaux de Chassigny et Jaron, des transports de terres ont été réalisés au début du XIXe siècle pour enrichir de limons fertiles les marnes et l'argile. Le Lias moyen prend ensuite fin définitivement à l'Obus Chapet.

Le Lias inférieur ou « Infra Lias », apparaît dans les Bas de Devaux et les Chareuils, versant à gauche de la route de Nolay à Change.

La commune de Nolay repose principalement sur l'« Infra Lias » dont la formation se prolonge du côté de la commune de Créot en passant par les Aubues et le Chattelet, terrain entourant la grande cheminée situé en face de la deuxième entrée de la parcelle des Chaumes du Mont, à gauche de la route de Nolay à Couches(-les-Mines) (département de Saône-et-Loire).

Les parcelles des Chaumes du Mont et les Prés Salins reposent sur des formations du Lias moyen avec recouvrement de l'« Infra Lias » provenant du plateau où est située la commune d'Épertully (Saône-et-Loire).

La Molette repose très localement sur une couche de fer oolithique autrefois exploitée.

Enfin Les Mailleroles et Les Vénères proviennent des marnes irisées et des grès bigarrés jusqu'à la fin du coteau, au début du terrain organique formant Les Génetois.

En général, les terrains de bas de pente sont constitués des dépôts des terrains amont, soliflué ou érodés. Ainsi Les Chomots de Cirey comprennent 3 formations provenant : de l'« Infra Lias » des Saint Marc, du granite des Génétois, des marnes irisées des Vénères, formant une couche superficielle de composition unique et profonde reposant sur le Lias moyen.

En définitif, c'est le Lias moyen et l'« Infra Lias » qui forment la plus grande partie du vignoble des environs de Nolay.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Nolay est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,3 %), forêts (21,5 %), terres arables (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (6,4 %), cultures permanentes (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 mars 2008 Pierre Barbiery PS  
mars 2008 mars 2014 Jean-Pascal Monin SE  
mars 2014 2020 Jérôme Flache PS  
2020 En cours Jean-Pascal Monin SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Nolay est jumelée depuis 1966 avec Worms-Pfeddersheim, un faubourg de Worms.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].

En 2021, la commune comptait 1 421 habitants[Note 1], en évolution de −3,79 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9881 9721 9841 6901 8192 0812 1042 1572 241
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2322 3462 5352 5312 4842 5012 4232 4042 302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2152 0851 8911 5271 5301 5431 5441 4491 407
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 4301 4301 6471 5821 5511 5471 4901 4681 510
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4781 4351 421------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique
Taxes locales
Habitation Foncier bâti Foncier non bâti Professionnelle
2005 8,68 % 14,84 % 48,61 % 9,16 %

Nolay, dépendance de la Roche-Nolay, au duché de Bourgogne, était possédé directement par une famille seigneuriale locale qui portait son nom : de Nolay ou de la Roche de Nolay[18] ; Bonne de Nolay transmit le fief, au moins en partie, à son mari Gui de Thil en Auxois vers 1194[19] ; les du Thil obtiendront d'ailleurs aussi la Roche-Nolay par le mariage d'Agnès de Frôlois, fille de Jean Ier de Frôlois, dame de La Roche-Nolay et de Vézinnes, avec Jean Ier de Thil (chronologie : Agnès fl. dans le 1er tiers du XIVe siècle, son mari Jean Ier de Thil dans la 1re moitié du XIVe siècle, et son père Jean Ier de Frôlois dans la 2e moitié du XIIIe siècle ; son cousin germain, le maréchal de Bourgogne Jean II de Frôlois, possédait Molinot et avait épousé Isabelle de Montréal-Arcis)[20] ; leur fille Marie de Thil († 1360) est en 1333 la femme d'Edouard de Beaujeu, maréchal de France, et ce couple échange en 1350 La Roche-Nolay contre Berzé avec ledit Jean II de Frolois[21].

La suzeraineté relevait de l'abbaye St-Jean-le Grand d'Autun et des ducs de Bourgogne (cf. Eudes III en 1214), et échut probablement à Alexandre de Bourgogne, sire de Monta(i)gu et de Chagny (vers 1172/1178-1205), frère cadet d'Eudes III et fils puîné d'Hugues III, actif à la Roche-Nolay (on lui attribue la restauration du château), puis à sa postérité (en 1233, les franchises de Nolay sont inspirées de celles de Chagny, octroyées en 1224 par Eudes/Oudard Ier de Bourgogne-Montaigu, le fils aîné d'Alexandre[20]).

En tout cas, dans la descendance d'Alexandre de Bourgogne, dotée notamment de Couches, Mâlain et Sombernon, on trouve Philibert II de Bourgogne-Montagu, sire de Couches, de St-Péreuse et de Nolay (1348-1406), mari de Jeanne de Vienne, dame de Longwy : Philibert II, petit-fils de Philibert Ier de Bourgogne-Montaigu de Couches (1300-ap.1362) et de Marie de Frôlois (une sœur d'Agnès ci-dessus), avait peut-être hérité de droits éminents sur Nolay par son ascendance Bourgogne-Montaigu, ou d'autres droits par sa mère, mais, surtout, il avait épousé sa cousine issue de germains, Jeanne de Vienne, dame de Longwy, fille de Jacques de Vienne-Longvy et de Marguerite de La Roche-en-Montagne, dame de Nolay, elle-même fille d'Eudes de La Roche (sans doute Jean-Odon/Eudes de La Roche, sire de Nolay du chef de sa femme Jeanne, et sire de Châtillon de son propre chef ; Marguerite était veuve de Guillaume de Thoire, fils cadet d'Humbert V de Thoire-Villars) et de Jeanne de Frôlois (une sœur d'Agnès et Marie de Frôlois ci-dessus)[22],[23],[24],[25]. On voit donc que les Thil-en-Auxois et les Frôlois ont joué un rôle important dans la possession et la transmission de Nolay et La Roche-Nolay[26].

La dernière fille de Jeanne de Vienne-Longwy et Philibert II, Philiberte de Bourgogne-Montaigu, épousa Guillaume II, sire d'Etrabonne († 1453) : ils furent les grands-parents de Catherine d'E(s)trabonne(s), dame de Nolay, qui maria Jacques Ier d'Aumont en 1456. Ainsi, Nolay passa vers la mi-XVe siècle aux d'Aumont, qui en devinrent marquis (cf. le maréchal Jean et le maréchal-duc Antoine) et le gardèrent jusqu'à la Révolution : le blason de la commune de Nolay est directement inspiré de leurs armes.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'argent au chevron de gueules accompagné de sept merlettes de sable, ordonnées 2 et 2 en chef l'une sur l'autre et 1 et 2 en pointe.
Monument à Sadi Carnot à Nolay par Alexandre Falguière, inauguré en 1895, détruit après 1941.

[31]

Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sylvain Changarnier, « 40e anniversaire de la fusion Cirey-Nolay » [PDF], sur nolay.fr, Bulletin municipal de la commune de Nolay, no 11, (consulté le ), p. 15 et 16.
  2. a b c d et e D'après une étude agronomique de 1900 et les informations du Bureau de recherche géologique et minière et de l'Institut géographique national
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Nolay et La Rochepot », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. « Nolay et Cirey (sur la commune de Nolay) : notamment p. 411, 414, 461, 467, 468, 473 », sur Inventaire-Sommaire des Archives de Saône-et-Loire antérieures à 1790, Archives ecclésiastiques, par Louis Michon, Armand Bénet, et Léonce Lex, à Mâcon, 1894.
  19. « Guy de Thil-en-Auxois et Bonne de Nolay, p. 153 », sur Description du duché de Bourgogne, t. IV, par l'abbé Claude Courtépée et Edme Beguillet, chez Victor Lagier et chez Décailly, à Dijon, 1848.
  20. a et b « Les Franchises de la Roche-Nolay (avril 1233), p. 15-16 », sur Documents inédits pour servir à 'Histoire de Bourgogne, t. Ier, par Marcel Canat, chez Dejussieu, à Chalon-sur-Saône, 1863.
  21. « Edouard de Beaujeu et sa femme Marie du Thil échangent La Roche-Nolay contre Berzé, octobre 1350, p. 447 », sur Titres de l'ancienne Maison ducale de Bourbon : Beaujeu, t. Ier, Archives de l'Empire, par Alphonse Huillard-Bréholles, chez Henri Plon, à Paris, 1867.
  22. « Jacques de Vienne de Longwy, époux de Marguerite de La Roche de Nolay, p. 104 », sur Le Grand Dictionnaire historique de Louis Moréri, t. VIII, 1740.
  23. « Milon de Frôlois et Alix de Marigny-sur-Ouche », sur Geneanet, arbre de Louis Brun.
  24. « Milon de Frôlois et Alix de Marigny », sur Geneanet, arbre d'Olivier Audéoud.
  25. « Marguerite de La Roche-en-Montagne et ses deux mariages », sur Geneanet Pierfit.
  26. Certains auteurs démultiplient excessivement les sires de Nolay ou de La Roche-Nolay (La Roche-Pot) : ainsi les éditeurs des Chartes du Forez antérieures au XIVe siècle (le comte Guy de Neufbourg, Edouard Perroy, Jean-E. Dufour et Marguerite Gonon, vol. VI, chez Protat Frères, à Mâcon, 1937) sont obligés de noter que l'abbé de Marolles, au XVIIe siècle, attribua à tort l'un ou l'autre de ces fiefs à l'un des époux de Dauphine de Lavieu de St-Bonnet (2e moitié du XIIIe siècle), alors qu'il s'agissait en fait de Jean III de Châtillon, sire de La Roche-Millay, Roussillon et Glane, son 3e mari qu'elle maria vers 1269 ! : « Nolay, très lisiblement écrit, est un lapsus calami d'autant plus trompeur que la Roche-Nolay existe par ailleurs, appartint aux Frolois, et que l'abbé de Marolles, peut-être trompé par sa lecture, suppose un cinquième mari à Dauphine... ».
  27. Notice no PA00112764, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Eglise d'où provient un retable conservé au musée du Louvre et jadis visible dans la chapelle de la Vierge, l'un des retables encore visibles de nos jours dont les apôtres composent l'ornement, et qui est à rapprocher en Bourgogne-Franche-Comté de ceux de Lugny (Le Christ et les Apôtres daté de 1528), d'Esbarres et de Cernay-l'Église. Source : Jacques Baudoin, La sculpture flamboyante en Bourgogne et Franche-Comté (collection « La sculpture flamboyante »), Editions Créer, 1996 (ISBN 2-909797-17-1).
  29. Notice no PA00112572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Notice no PA00112571, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. [1] - Deux autres sites [2] et [3] mentionnent 1961, mais sans donner d'explication, cette date est très improbable.

Articles connexes

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Bibliographie

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André Beuchot, Bernard Leblanc, Trois Cantons à Vivre, Arnay le Duc, Bligny sur Ouche, Nolay, Les Amis du Pays d'Arnay, 1998

Liens externes

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