Réau

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Réau
Réau
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Arrondissement de Melun
(Melun)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart
Maire
Mandat
Alain Auzet
2020-2026
Code postal 77550[1]
Code commune 77384
Démographie
Gentilé Réaltais
Population
municipale
1 966 hab. (2021 en augmentation de 10,64 % par rapport à 2015)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 17″ nord, 2° 37′ 23″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 94 m
Superficie 13,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales canton de Combs-la-Ville
Localisation
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Réau
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Réau
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Réau

Réau est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisation de la commune de Réau dans le département de Seine-et-Marne.

La commune est située à environ 10,5 kilomètres au nord de Melun[Carte 1]. Réau fait partie de la 11e circonscription de Seine-et-Marne. Ses habitants sont les Réaltais.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes incluent Moissy-Cramayel, Savigny-le-Temple, Montereau-sur-le-Jard, Vert-Saint-Denis, Limoges-Fourches, Évry-Grégy-sur-Yerre et Cesson.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 82 mètres à 94 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 90 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte des réseaux hydrographique et routier de Réau.

Le système hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

  • le ru de Balory, long de 12,19 km[4], affluent de la Seine ;
    • le fossé 01 de la Justice aux Chiennes, 2,17 km[5], affluent du ru de Balory ;
  • le ruisseau des Hauldres, 17,14 km[6], affluent de la Seine, y prend sa source ;
    • le cours d'eau 01 de Saint-Julien, 1,00 km[7], et ;
    • le fossé 01 des Pièces de Galande, 2,41 km[8], affluents du ruisseau des Hauldres.

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 6,11 km[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 673 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montereau-sur-le-Jard à 4 km à vol d'oiseau[12], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records MELUN (77) - alt : 91m, lat : 48°36'37"N, lon : 2°40'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,4 5,4 9 12,1 13,9 13,7 10,7 8,1 4,5 2,2 7,2
Température moyenne (°C) 4,2 4,9 7,9 10,8 14,3 17,5 19,8 19,6 16 12,2 7,6 4,7 11,6
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,3 12,5 16,2 19,7 23 25,6 25,5 21,4 16,3 10,6 7,3 16,1
Record de froid (°C)
date du record
−19,8
17.01.1985
−19,7
14.02.1956
−10,3
12.03.1958
−4,6
12.04.1986
−2,1
07.05.1957
1,6
04.06.1975
4
08.07.1954
3,5
31.08.1986
0,4
24.09.1947
−4,8
29.10.1985
−9,3
24.11.1998
−14,8
29.12.1964
−19,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,9
05.01.1999
21,2
24.02.21
25,6
25.03.1955
29,5
30.04.1994
31,6
28.05.17
36,8
27.06.11
41,9
25.07.19
38,9
12.08.03
34,4
15.09.20
29,4
01.10.1985
22,1
07.11.15
17,6
07.12.00
41,9
2019
Ensoleillement (h) 595 829 1 429 1 882 2 163 2 261 2 347 2 253 1 804 1 185 684 544 17 975
Précipitations (mm) 50,9 46 46,6 48,8 61,9 58,1 59,4 54,2 54 58,5 56,3 63,2 657,9
Source : « Fiche 77306001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Réau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 51 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[24] dont Villaroche, le Plessis-Picard, Ourdy, Galande (ferme), Eprunes (ferme). Source : le fichier Fantoir.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2018[25], le territoire de la commune se répartit[Note 4] en 77,3 % de terres arables, 15,4 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 4 % de zones urbanisées, 2,7 % de forêts et 0,6 % de zones agricoles hétérogènes[Note 5],[9],[26].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 547 dont 76,8 % de maisons et 18,6 % d’appartements.

Parmi ces logements, 82 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 15,5 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 74,4 % contre 23,2 % de locataires[27] -[Note 6], dont 3,6 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,4 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La gare la plus proche est celle de Savigny-le-Temple - Nandy, Elle est située sur la ligne D du RER.

Plusieurs lignes d’autobus desservent la commune :

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Rodolium vers 1350 (Pouillé)[28] ; Ruel en 1369[29] ; La ville de Réau en 1384[30] ; Riau en Brie en 1384[31] ; Rayau en Brie en 1385[32] ; Ruau en Brix au XIVe siècle[33] ; La parroisse de Ruiau en 1416[34] ; Réau en Brie en 1536[28] ; Le fief de Réau en Gastinois en 1602[35] ; Réaul en 1662[34] ; Réaux en 1670[36] ; Réau en Gâtinais en 1737[37] ; Réau en Brie en 1791[38] ;

Réau : serait issu du latin regalis qui signifie « royal », avec le sens de « domaine royal », présentant une ancienne dépendance ayant fait partie du domaine royal. Une autre variante fait remonter les origines de Réau à un substrat gaulois généralement associé au toponyme Roto + Ialo « le passage de la plaine »[39].

Un vote est posé en 2009 au sein du conseil municipal pour choisir le gentilé des habitants de la commune, il est décidé qu'ils s'appelleront les Réaltais et les Réaltaises. Un tel vote n'a toutefois pas de valeur légale et un usage différent peut perdurer.

Histoire[modifier | modifier le code]

Réau était déjà mentionné au XIVe siècle sous le nom de Rodolium[1]. Au XIXe siècle, il existait encore des pièces de monnaie ou même des statuettes remontant à l'époque romaine.

Un météore qui avait été observé dans une grande partie de l'Angleterre et de la France éclata le entre Éprunes, lieu-dit de Réau, et Montereau-sur-le-Jard[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Robert Dejeux    
André Chapel    
Daniel Chenoz UMP  
[41]
(démission)
Michel Roger SE  
En cours Alain Auzet LR-NE Directeur commercial
Réélu pour le mandat 2020-2026

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec Dar El Barka (Mauritanie) depuis le [42].

Justice[modifier | modifier le code]

Le centre pénitentiaire du sud-francilien (de 615 places) est ouvert depuis .

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2021, la commune comptait 1 966 habitants[Note 8], en augmentation de 10,64 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500383389406339345309328346
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
358410406392449454381449423
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
422437437408446489507402413
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4184975255096637059721 0461 775
2018 2021 - - - - - - -
1 8551 966-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 463, représentant 1 160 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 720 euros[47].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 3 066, occupant 601 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 42,3 % contre un taux de chômage de 3,9 %. Les 53,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 4,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 2,4 % de retraités ou préretraités et 46,5 % pour les autres inactifs[48].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d'unités légales et d'établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 74 dont 5 dans l'industrie manufacturière, industries extractives et autres, 15 dans la construction, 21 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l'Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 16 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 7 dans l'administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[49].

En 2020, 18 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 13 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[50].

Usine Safran de Villaroche.

La Snecma, aujourd'hui Safran Aircraft Engines, et Hispano-Suiza se sont installés dans la commune dans les années 1950 (à cheval sur la commune de Montereau-sur-le-Jard) ; le musée Safran raconte l'histoire de cette société.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Julien et son clocher en bâtière.
  • Château du Plessis-Picard.
  • Église Saint-Julien : l'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Datant du XIIIe siècle, l'église abrite un bénitier carré frappé aux quatre coins d'une des lettres du nom du village, ainsi qu'une Vierge à l'Enfant très ancienne. La cloche est exceptionnelle dans le département : fondue en 1537, elle est ornée d'une série de médaillons rectangulaires très fins représentant, entre autres, le Christ, la Vierge et l'Enfant, saint Michel, saint Pierre et saint Nicolas.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Réau », p. 310

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
  5. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Le château du Plessis-Picard à Réau doit sa notoriété aux séjours qu'y fit l'écrivain George Sand En 1822, à l’âge de 17 ans, alors que sa grand-mère vient de mourir et que sa mère souffre de graves troubles mentaux, la jeune Aurore Dupin est confiée à la garde de lointains amis de la famille, Angèle et Jacques Roëttiers, propriétaires du château du Plessis-Picard, qui abrite aujourd’hui une maison de retraite. Elle y séjournera plusieurs mois et y rencontrera Casimir Dudevant, qu’elle épousera le . Jusqu’à leur séparation en 1836, les Dudevant continueront d’entretenir des relations régulières avec les Roëttiers. Ces derniers sont en quelque sorte devenus les parents adoptifs de la jeune femme. L’écrivain évoque longuement cet épisode de jeunesse dans Histoire de ma vie, 4e partie, in Œuvres autobiographiques, tome 2, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade : « Je croyais n’aimer que Nohant. Le Plessis s’empara de moi comme un Eden ».
  • Cartes
  1. « Localisation de Réau » sur Géoportail (consulté le 19 novembre 2019)..

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Commune de Réau », sur Atom77.com (consulté le ).
  2. « Réau » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. « Plan séisme consulté le 26 mai 2021 ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Ru de Balory (F4495000) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Justice aux Chiennes (F4495050) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Hauldres (F4603000) » (consulté le ).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'Eau 01 de Saint-Julien (F4603040) » (consulté le ).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Pièces de Galande (F4603100) » (consulté le ).
  9. a et b Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 26 mars 2019
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Réau et Montereau-sur-le-Jard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Réau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Réau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Réau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
  25. Site Corine Land Cover Mises à jour.
  26. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
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  28. a et b Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 414.
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  30. Archives nationales, P 131, fol. 8 v°.
  31. Archives nationales, P 131, fol. 13 v°.
  32. Archives nationales, P 131, fol. 35 v°.
  33. Obit. prov. Sens, I, p. 548.
  34. a et b Archives nationales, S 410.
  35. Archives nationales, Q1 1404.
  36. Archives nationales, Q1 1405.
  37. Archives de la Seine-et-Marne, B 446.
  38. Archives nationales, D xiv10, n° 72.
  39. René Lepelley, « Les toponymes gaulois du passage de l'eau en Normandie : Rouen et les autres », Annales de Normandie, vol. 56, no 4,‎ , p. 451–461 (DOI 10.3406/annor.2006.1591, lire en ligne, consulté le ).
  40. Mémoire sur le Météore ou globe de feu observé au mois de juillet dernier dans une grande partie de la France, Jean-Baptiste Le Roy, Mémoires de l'Académie Royale des Sciences.
  41. « Pourquoi le maire démissionne », Le Parisien, édition Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne)
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  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  50. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 26 mai 2021.