Marchémoret

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Marchémoret
Marchémoret
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité communauté de communes Plaines et monts de France
Maire
Mandat
Jean-Louis Durand
2020-2026
Code postal 77230
Code commune 77273
Démographie
Gentilé Marchois
Population
municipale
604 hab. (2021 en augmentation de 7,66 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ nord, 2° 46′ est
Altitude Min. 98 m
Max. 152 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mitry-Mory
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Marchémoret
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Marchémoret
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Marchémoret

Marchémoret est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 8 kilomètres à l’est de Dammartin-en-Goële[Carte 1].

Elle est proche de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (environ 18,8 kilomètres).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Marchémoret.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 1,32 km[4].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

La commune fait partie du SAGE « Nonette », approuvé le . Le territoire de ce SAGE concerne le bassin versant de la Nonette et de ses deux principaux affluents, la Launette et l’Aunette. Il inclut totalement ou partiellement 53 communes, dont 47 sur le département de l’Oise et 6 sur celui de le département de Seine-et-Marne, pour une superficie de 413 km2[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette, qualifié de « structure porteuse », un syndicat créé en 1968[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Statistiques 1991-2020 et records PLESSIS-BELLEVILLE (60) - alt : 116m, lat : 49°06'21"N, lon : 2°44'13"E
Records établis sur la période du 01-05-2003 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,9 3 5,3 8,4 11,5 13,1 12,9 10,3 8,2 4,9 2,2 6,9
Température moyenne (°C) 4 5 7,3 10,8 13,7 17,3 19,5 18,9 15,9 12,2 7,8 4,6 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,4 8 11,5 16,4 19 23 25,8 24,9 21,5 16,2 10,6 7 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−14,1
10.01.09
−11,9
07.02.12
−11,2
13.03.13
−3,9
07.04.21
−0,7
06.05.19
2,9
01.06.06
3,8
31.07.15
5,1
26.08.18
−0,3
30.09.18
−5,7
28.10.03
−5,7
30.11.10
−8,7
19.12.09
−14,1
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
09.01.15
19,4
27.02.19
23,8
31.03.21
29,1
20.04.18
31,4
27.05.17
35,5
18.06.22
42,2
25.07.19
40,1
06.08.03
34,9
09.09.23
28,3
01.10.11
21,7
08.11.15
16,6
17.12.15
42,2
2019
Précipitations (mm) 56,2 49,8 48,8 36,2 74,2 63,4 53,2 60,3 46 53,5 52,6 67,5 661,7
Source : « Fiche 60500004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Marchémoret comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[14],[Carte 2], la « Forêt de Montge-en-Goële » (804,67 ha), couvrant 5 communes du département[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marchémoret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Lessart

La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[21] dont Lessart.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,2 %), forêts (3,8 %)[22].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[25].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[26]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 200 dont 85 % de maisons et 14,5 % d'appartements.

Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants[Note 5].

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 75 % contre 25 % de locataires[27].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Marchemoret en 1189[28] ; Marchiemoretum en 1203[29] ; Marchié Moret en 1252[30] ; « Villa Marchesi Moreti subtus Noam fortem » en 1266[31] ; Marchiemoret, Marchemouret en 1274[32] ; La seigneurie de Marché Marais en 1668[33] ; Marchemorel en 1757 (Cassini)[34].

Toponyme composé de Marche (« région frontière »)[Note 6] et du radical Moret, du celtique mora, de l'ancien français morée (« marécage, marais »)[35].

Histoire[modifier | modifier le code]

Mentionné au 12e. Seigneurie de Lessart relevant du comté de Dammartin.

Au Moyen Âge, Marchémoret est une paroisse faisant partie du doyenné d'Acy situé dans l'ancien pays de Multien.

En 1521, le chancelier Antoine Duprat, 1463-1535, est seigneur de Nantouillet, de Marchémoret[36] et de Rosoy-en-Multien.

Le , le Tiers État de Lessart rédige son cahier de doléances pour les états généraux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1804   Jean Baptiste Lhoste   agriculteur
1816 1827 André Patriat   agriculteur, beau-frère du précédent
1828 1884 Martin Théophile Lhoste   agriculteur, fils de Jean Baptiste Lhoste
mars 2008 En cours Jean-Louis Durand LR Président de la Communauté de communes

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [37],[38].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Marchémoret est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [39],[40],[41].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[39],[43].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [39],[44].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 604 habitants[Note 7], en augmentation de 7,66 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
236228235221225210199264235
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
201170174141126131165130125
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11010887105186175139112132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
137110214258307332455548565
2021 - - - - - - - -
604--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Marchémoret est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[49].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[50]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 172 ha en 1988 à 334 ha en 2010[49]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Marchémoret, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Marchémoret entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[49],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 2 1 1
Travail (UTA) 3 3 2
Surface agricole utilisée (ha) 344 338 334
Cultures[51]
Terres labourables (ha) s s s
Céréales (ha) s s s
dont blé tendre (ha) s s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s s
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[49]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 0 0 0

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Clocher de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption - cloche de l'église sonnant 18 h :

Église Notre-Dame-de-l'Assomption (XVIIIe siècle), intégrée dans une habitation : clocheton XVIIIe, mobilier XVIIIe et XIXe siècles, autel de bois sculpté XVIIIe, cimetière alentour.

Croix de Lessart.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le sculpteur italien Gaetano Di Martino (1922-2006), installé en 1977 dans une ancienne bergerie rénovée en atelier.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. « Du début du XIe siècle à 1285, année où la Champagne fut réunie en fait aux domaines de la couronne par l’accession au trône de France de Philippe le Bel, comte palatin de Champagne depuis son mariage avec Jeanne de Navarre, la frontière occidentale du comté de Champagne et de Brie séparait du sud au nord le territoire qui forme aujourd’hui le département de Seine-et-Marne en deux moitiés sensiblement égales ».
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2018)..
  2. « Zones ZNIEFF de Marchémoret » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  3. « Marchémoret - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  5. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Launette (H2218000) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Avernes (F6411000) » (consulté le ).
  4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 30 octobre 2018
  5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
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  7. site officiel du Syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  12. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Marchémoret », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  28. Du Plessis, II, p. 77.
  29. Cartulaire de l'Abbaye de Chaalis, fol. 240.
  30. Longnon, I, 193.
  31. Archives nationales, S 5173.
  32. Bibl. nat., ms. français 19835, fol. 6.
  33. Archives nationales, Q1 1403.
  34. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 345.
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