Forges (Seine-et-Marne)

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Forges
Forges (Seine-et-Marne)
La mairie.
Blason de Forges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Montereau
Maire
Mandat
Romain Senoble
2020-2026
Code postal 77130
Code commune 77194
Démographie
Gentilé Forgeois
Population
municipale
421 hab. (2021 en diminution de 3,22 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 06″ nord, 2° 57′ 40″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 123 m
Superficie 13,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montereau-Fault-Yonne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Forges
Liens
Site web mairie-forges-77.fr

Forges est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situé dans la petite région agricole de la Brie Humide.

Représentations cartographiques de la commune
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : localisation dans le département de Seine-et-Marne. ; 2 : avec les communes environnantes.

La commune est située à environ 6 km par la route au nord de Montereau-Fault-Yonne[1],[Note 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 97 mètres à 123 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 117 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Forges.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Voulzie.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,72 km[6]

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 10 km à vol d'oiseau[12], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Forges comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16],[Carte 1], les « Bois de Valence et de Champagne » (3 706,85 ha), couvrant 9 communes du département[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Forges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 33 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[23] (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,2% ), terres arables (46,1% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2% ), zones urbanisées (2,5 %)[24].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[27].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[28]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 170 dont 83,7 % de maisons et 13,4 % d'appartements[Note 6].

Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 2,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 69,3 % contre 28,7 % de locataires[29] dont, 3,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau de bus Pays de Montereau No F (Montereau-Fault-Yonne - Forges).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes J. de Forgiis en 1247[30] ; Forges en 1265[31] ; Parrochia Beate Marie de Forgiis en 1339[32] ; Forgie vers 1350 (Pouillé)[33] ; Forges en la chastellenie de Monsteruel en fort d'Yonne en vers 1355[34] ; Forge en 1678[35].

Du mot latin Făbrĭca, « atelier d'artisan », à l'origine du mot « fabrique », a principalement désigné la forge.

Forges au cours du XIe siècle a eu une activité métallurgique importante comme l'atteste l'existence de nombreuses scories, résidus de la fusion du fer. C'est donc à cette activité que Forges doit son nom.

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant la guerre de 1870, 14 habitants de Forges participeront au conflit[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1981 mars 2014 Henri Lavaux S.E. Agriculteur
mars 2014 En cours Romain Senoble[37] S.E. Directeur administratif et financier
1er Vice-président de la CC Pays de Montereau

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38],[39].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Forges est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [40],[41],[42].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[40],[44].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [40],[45].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

C'est la commune de l'Île-de-France avec le plus fort taux de population comptée à part en 2009 selon l'Insee, avec 27% (150 personnes pour une population totale de 560 habitants). Ce taux s'explique par la présence de l'internat du groupe scolaire Assomption.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

En 2021, la commune comptait 421 habitants[Note 8], en diminution de 3,22 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
236232243237256245267276237
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
260256249235229260279285313
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
260254221242220217223240288
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
240211262271286345402409423
2018 2021 - - - - - - -
408421-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Vide-grenier à la Pentecôte.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre de ménages fiscaux[Note 9] de la commune était de 149, représentant 388 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 000 euros[50].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 56, occupant 174 actifs résidants (dont 6,9 % dans la commune de résidence et 93,1 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 66,8 % contre un taux de chômage de 9,7 %. Les 23,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,3 % de retraités ou préretraités et 5,8 % pour les autres inactifs[51].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 13 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 6 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration (dont bar-tabac et stations services), 1 dans l’Information et communication, 2 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 1 était relatif aux autres activités de services[52].

En 2020, 5 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Forges est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[54].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 193 ha en 1988 à 182 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Forges, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Forges entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[54],[Note 11]
Nombre d’exploitations (u) 3 3 3
Travail (UTA) 9 4 4
Surface agricole utilisée (ha) 578 541 545
Cultures[56]
Terres labourables (ha) 572 541 545
Céréales (ha) 395 407 357
dont blé tendre (ha) 261 311 230
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 134
Tournesol (ha) 109 s
Colza et navette (ha) 59 s 107
Élevage[54]
Cheptel (UGBTA[Note 12]) 9 0 0

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux remarquables[modifier | modifier le code]

La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[57] :

Le château de Forges.
L'église Saint-Baudel.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Forges, des XVIIIe et XIXe siècles, a été construit par l'architecte Pierre Desmaisons en 1778. Dans les années 1930, le château a appartenu à la famille Essig/Coffin ; il fut ensuite donné à une communauté religieuse et abritait, depuis le milieu du XXe siècle, un lycée privé d'enseignement général[60]. Depuis 2018, le château est le siège du Campus de la Transition, lieu d’enseignement, de recherche et d’expérimentation sur la transition écologique et sociale.
  • L'église placée sous le vocable de saint Baudel, XIe siècle[61].
  • La tour en maçonnerie de l'ancien château d'eau de Forges, XIXe siècle (un des plus anciens construits en Seine-et-Marne).
  • « La Tuyauterie », vestiges d'une machine et d'un four destinés à fabriquer des tuyaux de drainage, XIXe siècle (assainissement de terres agricoles).
  • La ferme de Mauperthuis.
  • La ferme du Plat Buisson.
  • La forêt de Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Forges Blason
Coupé : au 1er de gueules au chevron d'or accompagné de trois besants de même, au 2e d'azur à l'enclume d'argent surmontée de deux marteaux du même posés en chevron et accostés de deux fleurs de lis d'or[62].
Détails
Adopté le 31 janvier 2017.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Forges », p. 950–953

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. hors communautés et sans abris .
  10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Forges » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
  2. « Forges - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Forges » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. « Plan séisme consulté le  ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de l'Étang (F2432000) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Bois de l'Etang (F4411250) » (consulté le ).
  6. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 7 juillet 2018
  7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  8. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  14. « Station Météo-France « La Brosse-Mx » (commune de La Brosse-Montceaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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