Gestas

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gestas
Gestas
L’église de Gestas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Maryvonne Lagaronne
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64242
Démographie
Gentilé Jeztaztar
Population
municipale
76 hab. (2021 en augmentation de 20,63 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 00″ nord, 0° 53′ 09″ ouest
Altitude Min. 77 m
Max. 194 m
Superficie 2,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gestas
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gestas
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Gestas
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Gestas
Liens
Site web https://gestasvillage.net
Pont de Gestas

Gestas (en basque Jeztaze, en gascon Gestars) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

La commune est désormais géographiquement située en Béarn, malgré son attachement à la Soule tant sur le plan historique que culturel et linguistique. En effet 67,14 % de sa population parlait le basque en 2010[1].

Le gentilé est Jeztaztar[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Gestas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

Elle se situe à 55 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 34 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à 29 km de Mourenx[6], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Rivehaute (0,9 km), Tabaille-Usquain (1,0 km), Nabas (2,2 km), Espiute (2,5 km), Montfort (3,9 km), Charre (3,9 km), Aroue-Ithorots-Olhaïby (4,3 km), Barraute-Camu (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Gestas fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[8].

Communes limitrophes de Gestas[9]
Tabaille-Usquain Montfort
Espiute Gestas
Nabas Rivehaute

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gestas.

La commune est drainée par le Saison, le ruisseau de Sabalot, le ruisseau d'Usquain et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[10],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 341 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 5 km à vol d'oiseau[15], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[20], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[21],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gestas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,5 %), terres arables (34,6 %), forêts (14,9 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Deux quartiers composent la commune de Gestas[30] :

  • Quartier du Haut (Gañeko kartiera en basque)
  • Quartier du Bas (Peko kartiera en basque)

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D244, D265 et D723.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gestas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014, 2018 et 2021[33],[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gestas.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 55,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Gestas est un toponyme de base romane. Le giestars du Moyen Âge est la version gasconne du terme français Genestière[36].

Le toponyme Gestas apparaît sous les formes Giestars (XIIe siècle[37], collection Duchesne volume CXIV[38]), Gestazium et Gestaas (respectivement 1384 et 1385[37], notaires de Navarrenx[39]), Gestaas (1385[40]), Giestaas (1385[37], censier de Béarn[41]) et Sanctus Joannes de Gestas (1655[37], insinuations du diocèse d'Oloron[42]).

Graphie en langue locale[modifier | modifier le code]

Son nom béarnais est Yestas[43], en basque son nom actuel est Jeztaze[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Cette commune est au XIe siècle une seigneurie, berceau d'une famille de la noblesse chevaleresque qui a traversé l'Histoire de France jusqu'à nos jours, la famille de Gestas[44].

Une autre famille a porté le nom de Gestas, la famille Casamajor, éteinte au XIXe siècle.

Langues[modifier | modifier le code]

Gestas est une commune trilingue, de langues française, gasconne et basque. Le basque était la langue dominante avant le XIe siècle.[réf. nécessaire]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Gesta a fait partie de l'arrondissement de Bayonne jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[45].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 2008 Maïté Idiart    
2008 2014 Jean-Melchior de Fabrègues    
2014 En cours Maryvonne Lagaronne    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune appartient à six structures intercommunales[46] :

  • le centre intercommunal d’action sociale de Sauveterre-de-Béarn ;
  • la communauté de communes de Sauveterre-de-Béarn ;
  • le SIGOM ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48].

En 2021, la commune comptait 76 habitants[Note 7], en augmentation de 20,63 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
184196201157226227215203200
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
197194197161186205208194178
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
193193187149156138118120116
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
10711593856270686865
2018 2021 - - - - - - -
7376-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint Jean Baptiste au ciel étoilé

La forme actuelle du charivari est celle de la sérénade nocturne (galarrotza ou tzintzarrotza), manifestation d'indignation de la population à l'encontre d'une personne, tournée en dérision et mise publiquement en accusation. En 1793, vingt-cinq habitants de Gestas se saisirent de leur maire (le citoyen Etchebarne), et le promenèrent assis à l'envers sur un âne, ceint de son écharpe officielle[51].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

La commune dispose d’une église, l’église Saint-Jean-Baptiste.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gestas » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gestas », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Gestas », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Euskal Herriari Begira, Udalbiltza. Voir l'article sur le pourcentage des bascophones par commune au Pays basque français en 2010.
  2. a et b Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
  3. a b et c « Métadonnées de la commune de Gestas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Gestas et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Gestas et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Gestas et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Communes les plus proches de Gestas », sur villorama.com (consulté le ).
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  9. Carte IGN sous Géoportail
  10. « Fiche communale de Gestas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  11. Sandre, « le Saison ».
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Gestas et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gestas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gestas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. [1]
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gestas », sur Géorisques (consulté le ).
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  36. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, présentation en ligne).
  37. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  38. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  39. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, , 244 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 2-86781-396-4, lire en ligne).
  41. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  43. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  44. Cartulaire de Sorde, conservé aux Archives nationales, et traduit et commenté en français par J. F. Robert Martin aux éditions Atlantica en 1999
  45. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
  46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 265

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :