Iholdy

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Iholdy
Iholdy
Manoir Elizabelar, avec ses échauguettes aux quatre coins du bâtiment.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Bernard Cachenaut
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64271
Démographie
Gentilé Iholdiar
Population
municipale
539 hab. (2021 en diminution de 3,92 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 59″ nord, 1° 10′ 48″ ouest
Altitude Min. 109 m
Max. 577 m
Superficie 21,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Iholdy
Géolocalisation sur la carte : France
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Iholdy
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Iholdy
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Iholdy

Iholdy est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Iholdiar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Iholdy se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 104 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 43 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 18 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Armendarits (2,3 km), Irissarry (5,1 km), Suhescun (5,4 km), Lantabat (5,8 km), Hélette (5,9 km), Méharin (6,4 km), Saint-Esteben (6,7 km), Saint-Martin-d'Arberoue (7,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Iholdy fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

Communes limitrophes d’Iholdy[11]
Hélette Armendarits
Irissarry Iholdy
Suhescun Lantabat

Au nord-ouest, le territoire de Saint-Esteben n'est distant que d'une centaine de mètres.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Iholdy.

La commune est drainée par la Joyeuse, le Lihoury, le Lohiolako Erréka, l’Osinako erreka, l’Uharreytako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[12],[Carte 1].

La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[13].

Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[14].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 526 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 11 km à vol d'oiseau[18], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[24] ;
  • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[26],[Carte 3] :

  • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[27] ;
  • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Iholdy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,6 %), zones agricoles hétérogènes (21,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), forêts (12,1 %), zones urbanisées (1,2 %), terres arables (1,2 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Aguerre, ancienne ferme, mentionnée dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[35] de 1863.
  • Ameztoia.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 8, D 300 et D 745.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Iholdy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Joyeuse et le Lihoury. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014 et 2021[38],[36].

Iholdy est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[42]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[43].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Iholdy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 94,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[45].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Iholdy apparaît sous la forme Sanctus Joannes d'Iholdy (1755[35], collations du diocèse de Bayonne[46]).

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Iholdi[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Franchisteguy, né à Iholdy en 1755, est élu député du tiers état aux États généraux de 1789 pour la province de Navarre. Il siège du au à l’Assemblée constituante[47].

Paul Raymond[35] note qu'en 1790 le canton d'Iholdy comprenait les communes d'Armendarits, Hélette, Iholdy, Irissarry, Lantabat et Suhescun et dépendait du district de Saint-Palais.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Iholdy Blason
D’or à la bande d’azur.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 En cours Bernard Cachenaut UMP  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Iholdy appartient à quatre structures intercommunales[48] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Iholdy accueille le siège de la communauté de communes d'Iholdy-Ostibarre.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

En 2021, la commune comptait 539 habitants[Note 8], en diminution de 3,92 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8399531 0269531 0221 0519461 003929
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
885847837796858856827834818
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
806745761655632687702678591
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
554522525505527412450554555
2021 - - - - - - - -
539--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école élémentaire publique[53].

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Le manoir Elizabelar[54] date de 1680. Il se distingue par la présence d'échauguettes cylindriques aux quatre coins de la toiture, semblables à celles des palacios espagnols ;
  • La ferme Ameztoia[55] date en partie de 1698 ;
  • Le château d'Olce[56] date du XVIIe siècle.
Le château d'Iholdy.
  • La commune possède de nombreuses maisons[57] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles aux linteaux sculptés.
Linteau de 1701.
Linteau de 1719 orné de personnages.
Linteau de 1726.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste[58] fut construite au XVIIe siècle et son cimetière comporte des stèles discoïdales dont la plus ancienne date de 1597. L'église recèle du mobilier inventorié par le ministère de la Culture[59].

Stèle discoïdale datant de 1597.

Équipements[modifier | modifier le code]

enseignement

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean d'Olce[60], né en 1644 à Iholdy et décédé en 1681, fut évêque de Bayonne. Il célébra le mariage de Louis XIV avec Marie-Thérèse d'Espagne le en l'église de Saint-Jean-de-Luz, dont la porte latérale fut condamnée à la suite de cet événement.
  • Jean-Baptiste Franchisteguy, homme politique né le à Iholdy (Pyrénées-Atlantiques) et mort le dans la même commune.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Iholdy » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Iholdy », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Iholdy », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b - Académie de la langue basque
  2. a b et c « Métadonnées de la commune d'Iholdy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Iholdy et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Iholdy et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Iholdy et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Iholdy », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale d'Iholdy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « la Joyeuse ».
  14. Sandre, « le Lihoury ».
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  18. « Orthodromie entre Iholdy et Bustince-Iriberry », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Iholdy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  31. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  35. a b et c Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  36. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Iholdy », sur Géorisques (consulté le ).
  37. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  41. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  42. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  43. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Iholdy », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
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  48. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Iholdy%20%2864%29}}.
  54. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le manoir Elizabelar
  55. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Ameztoia
  56. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le château d'Olce
  57. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur les maisons anciennes
  58. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste
  59. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'église de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste
  60. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 113

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]