Aubous

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Aubous
Aubous
La mairie d’Aubous.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Pierre Poublan
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64074
Démographie
Gentilé Aubousois
Population
municipale
44 hab. (2021 en diminution de 16,98 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 41″ nord, 0° 08′ 01″ ouest
Altitude Min. 124 m
Max. 255 m
Superficie 3,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aubous
Géolocalisation sur la carte : France
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Aubous
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Aubous
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Aubous

Aubous est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Aubous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 49 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 38 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Riscle[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Viella (2,4 km), Mont-Disse (2,5 km), Aydie (2,6 km), Diusse (2,8 km), Portet (4,2 km), Aurions-Idernes (4,3 km), Arrosès (4,4 km), Maumusson-Laguian (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Aubous fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Aubous[6]
Viella
(Gers)
Diusse Aubous Aydie
Mont-Disse

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Aubous.

La commune est drainée par le Larcis, le Lisau, le Boutigué et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 033 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 3 km à vol d'oiseau[13], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aubous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,4 %), forêts (35,7 %), terres arables (16 %), cultures permanentes (3 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D292 et D317

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Aubous est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Larcis et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[34],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aubous.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 93,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[36].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Aubous apparaît sous les formes Aubos et Auboos (respectivement 1385[37] et XIVe siècle[37], censier de Béarn[38]), Aubons (1752[37], dénombrement de Béarn[39]) et Aubous sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[40]).

Michel Grosclaude[40] propose comme étymologie le nom d'homme latin Albus augmenté du suffixe -ones, signifiant « domaines d'Albus ».

Son nom béarnais est Aubons[41] ou Auboûs[42].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[37] note qu'en 1385, Aubous comptait 4 feux et dépendait du bailliage de Lembeye.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 En cours René Paulien DVD Retraité de l'enseignement
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Aubous fait partie de cinq structures intercommunales[43] :

  • la communauté de communes du canton de Garlin ;
  • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
  • le SIVU du Lées et affluents ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 44 habitants[Note 5], en diminution de 16,98 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
189199238258268248289289243
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
247255225205193198204156131
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1141171241131051049811098
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
776457654853515153
2018 2021 - - - - - - -
4544-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Un camp[48] pré ou protohistorique a été signalé au lieu-dit Coulom. Un second, au lieu-dit Gentilloun, se nommait camp de César [27].

La commune compte des fermes[28],[31],[30],[26] des XVIIIe et XIXe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel[49].

Une fontaine dite de Dévotion Sainte-Quitterie [50] donnait lieu au XVIIIe siècle à un pèlerinage célébré le 22 mai. Elle a été depuis détruite.

Un moulin[29] datant de 1830 figure à l'inventaire du ministère de la Culture.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Quitterie[51] date du XIIe siècle et fut remaniée au XVIIe siècle ou au XVIIIe siècle par l'ajout de baies. Elle recèle du mobilier[52] (devant d'autel[53], fauteuil[54], retable[55], gradin d'autel et tabernacle[56], maître-autel[57], bancs d'église[58],[59], meubles de sacristie[60], bénitier suspendu[61], chaire à prêcher[62] et fonts baptismaux[63]), un tableau (Sainte-Quitterie[64]), des statues[65] et des objets (lampes de sanctuaire[66],[67], chape et chasuble[68], cloche[69], chandeliers d'autel[70] et bannière de procession[71]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Aubous » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Aubous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Aubous », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m et n Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Aubous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Larcis ».
  9. Sandre, « le Lisau ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Aubous et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « La ferme du lieu-dit Coulom », notice no IA00026242, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. a et b « Le camp de César », notice no IA00026236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a et b « La ferme du lieu-dit Lacourtiade », notice no IA00027493, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. a et b « Le moulin d'Aubous », notice no IA00026240, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. a et b « La ferme du lieu-dit Pillourcq », notice no IA00026243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a et b « La ferme du lieu-dit Rey », notice no IA00026244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Aubous », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  36. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  37. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  39. Dénombrement de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  41. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  42. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. « Le camp protohistorique », notice no IA00026237, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026241, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « La fontaine de Dévotion Sainte-Quitterie », notice no IA00026239, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « L'église Sainte-Quitterie », notice no IA00026238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Mobilier de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Le devant d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Le fauteuil de célébrant de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Le retable de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001567, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « Le gradin d'autel et le tabernacle de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001566, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Le maître-autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001565, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001561, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « Les meubles de sacristie de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. « Le bénitier suspendu de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001558, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. « La chaire à prêcher de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001557, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  63. « Les fonts baptismaux de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001556, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  64. « Le tableau représentant sainte Quitterie, dans l'église éponyme », notice no IM64001569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  65. « Les statues de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001568, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  66. « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  67. « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  68. « La chape et la chasuble de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001573, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  69. « La cloche de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  70. « Les chandeliers d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001571, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  71. « La bannière de procession de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.