Arrosès

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Arrosès
Arrosès
Panorama général.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Michel Cantounet
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64056
Démographie
Gentilé Arrossiens
Population
municipale
137 hab. (2021 en diminution de 4,2 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 32″ nord, 0° 06′ 37″ ouest
Altitude Min. 129 m
Max. 265 m
Superficie 9,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arrosès

Arrosès (prononcé [aʁozɛs]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Arrosès se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 44 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 41 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Aurions-Idernes (2,2 km), Crouseilles (2,6 km), Aydie (3,2 km), Mont-Disse (3,6 km), Lasserre (3,8 km), Cadillon (4,0 km), Madiran (4,3 km), Aubous (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Arrosès fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Accès[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par les routes départementales 219 et 292.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arrosès.

La commune est drainée par le Larcis, le Saget, le ruisseau de Libet, le ruisseau de Serres, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[11],[Carte 1].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[12].

Le Saget, d'une longueur totale de 18,7 km, prend sa source dans la commune de Crouseilles et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Mont, après avoir traversé 10 communes[13].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 4 km à vol d'oiseau[17], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arrosès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,6 %), terres arables (28,3 %), forêts (19,1 %), cultures permanentes (3,5 %), prairies (3,5 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arrosès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saget et le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arrosès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 88,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Arrosès apparaît sous les formes Aroses, Arozee, Arosser, Arozer et Arroser (respectivement 1385[7], XIVe siècle[7] pour les trois formes suivantes et 1402[7], censier de Béarn[35]), Rosees (1472, titres d'affièvement d'Arrosès), Arrosers (1487[7], registre des Établissements de Béarn[36]), Rosses, Arrosees, Arrozes, Rosez et Arrouzès (respectivement 1538[7] pour les deux premières formes, 1546[7], 1675[7] et 1686[7], réformation de Béarn[37]), Rosés sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[38]) et Arroses (1793[39]).

Son nom béarnais est Arrosés[40] ou Arrousès[41]. Michel Grosclaude[38] propose comme étymologie, l’anthroponyme très répandu dans les Pyrénées et la péninsule ibérique, et bien attesté au Moyen Âge, Arrosés.

La lande Arblé est mentionnée par le dictionnaire de 1863[7].

Baradat est une ferme de la commune, citée en 1863, par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[7].

La Barthe désignait en 1863[7], une lande de la commune et Les Grabes une ferme[7].

Chaudelet est une ferme mentionnée par le dictionnaire de 1863[7].

Le même dictionnaire signale deux écarts d’Arrosès du nom de Crestia ou Chrestiàa[7] et Espiau et deux fermes du nom de les Garbères et le Gog.

Le moulin de Lamothe est cité par le dictionnaire de 1863[7].

Larbareng est un écart mentionné en 1863[7], tout comme Lorthe, autre hameau, et la ferme Peirolis.

La ferme Mané fait l’objet d’une référence dans le dictionnaire de 1863[7].

La Mothe était un fief d’Arrosès, vassal de la vicomté de Béarn, dont le nom est indiqué sous les formes la Mota d’Arroses (1538[7], réformation de Béarn[37]) et la Motte (1863[7], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

La Salle, ancienne ferme du village, est mentionnée sous la graphie Lassale en 1776[7] (terrier d'Arrosès[42]).

Sinsoos était une ferme d’Arrosès dont il est fait mention dans le dictionnaire de 1863[7].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arrosès comptait 31 feux et dépendait du bailliage de Lembeye. Il existait à Arrosès une dîme dite de Sainte-Rose.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Francis Cazenave    
2001 2008 Gérard Saint-Martin    
2008 2014 Christian Labat    
2014 En cours Michel Cantounet SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Arrosès fait partie de cinq structures intercommunales[43] :

  • la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
  • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
  • le SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup ; ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montaneres.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1385[44], Arrosès comptait 31 ostaus et Sauvernéa, 6.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 5], en diminution de 4,2 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
466358454463517554645679621
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
597515504492486462478414415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
403332310259267223216198183
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
187203178159145141149146140
2021 - - - - - - - -
137--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Un ensemble fortifié[48] (motte, basse-cour, maison) témoigne de la présence d'une seigneurie dès le XIe siècle.

L'inventaire fondamental[44] mené en 1968 par le ministère de la Culture recense 25 édifices antérieurs à 1871.

Au lieu-dit Mombet se trouve une demeure de notable[10] construite au XVIIIe siècle, dite château de Sauvernéa. On y trouve une dalle funéraire[49] datée de 1762 ainsi qu'un buffet[50] et une girouette[51], tous deux du XVIIIe siècle. Une ferme[9], au lieu-dit Flandres, date de la même époque.

Une maison du lieu-dit Bouézou détient une stèle discoïdale[52] du XVIIe siècle, provenant de l'ancienne église aujourd'hui détruite[8].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption[53] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65],[66], un tableau[67], des statues[68],[69],[70] et des objets[71],[72],[73],[74],[75],[76] inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Arrosès » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arrosès et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arrosès et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Arrosès », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac et ad Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  8. a et b « L'ancienne église du lieu-dit Bouézou », notice no IA00027534, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  9. a et b « La ferme du lieu-dit Flandres », notice no IA00026449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  10. a et b « Le château de Sauvernéa », notice no IA00026446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  11. « Fiche communale d'Arrosès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  12. Sandre, « le Larcis ».
  13. Sandre, « le Saget ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Arrosès et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  19. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Arrosès », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  36. Manuscrits du XVe et XVIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
  39. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  41. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
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  43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  44. a et b « Inventaire fondamental de la commune », notice no IA00026448, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. « L'ensemble fortifié », notice no IA00026447, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « La dalle funéraire du château de Sauvernéa », notice no IA00027295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Le buffet du château de Sauvernéa », notice no IM64002130, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « La girouette du château de Sauvernéa », notice no IM64002129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « La stèle discoïdale du lieu-dit Bouézou », notice no IM64002128, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « L'église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IA00026445, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Le lutrin de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002122, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « La chaise à prêcher de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002121, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « Le chandelier des ténèbres de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Les bénitiers de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002119, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64002118.
  58. « Les fonts baptismaux de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « Le confessionnal de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002116, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « Le retable de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. « L'ensemble d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. « Le retable de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  63. « Le tabernacle de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  64. « Le maître-autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  65. « L'ensemble de la Vierge de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  66. « Les lambris de revêtement de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  67. « Le tableau représentant l'Assomption de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  68. « La statue de sainte Rose de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IM64002115, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  69. « L'ensemble de quatre statues de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  70. « L'ensemble de six statues de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  71. « Le devant d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002127, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  72. « La croix de procession de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  73. « Le chemin de croix de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  74. « Le chandelier d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  75. « La bannière de procession de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  76. « La croix d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002112, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.