Orègue

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Orègue
Orègue
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Pascal Dantiacq
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64425
Démographie
Gentilé Oragartar
Population
municipale
503 hab. (2021 en augmentation de 4,36 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 43″ nord, 1° 08′ 02″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 230 m
Superficie 36,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Orègue
Géolocalisation sur la carte : France
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Orègue
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Orègue
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Orègue

Orègue est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Oragartar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Orègue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 96 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 44 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 13 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Arraute-Charritte (2,4 km), Masparraute (3,4 km), Amorots-Succos (3,7 km), Béguios (5,5 km), Labets-Biscay (6,4 km), Isturits (6,5 km), Méharin (6,8 km), Bergouey-Viellenave (7,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Orègue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Orègue.

La commune est drainée par le Lihoury, l'Arbéroue, l'Aphatarena, Isaakenbordako erreka, Bordaberriko erreka, Karabindegiko erreka, Otsoerreka, le ruisseau de Jouan de Pès, Sustolako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 55 km de longueur totale[12],[Carte 1].

Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[13].

L'Arbéroue, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'Hélette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Lihoury sur le territoire communal, après avoir traversé 8 communes[14].

L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihour] à Bidache, après avoir traversé 6 communes[15].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 428 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 10 km à vol d'oiseau[19], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[24], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[25],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[26],[Carte 3] :

  • le « bois de Mixe » (896,92 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
  • les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Orègue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,5 %), forêts (27,4 %), prairies (12,1 %), terres arables (10,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Afrique ;
  • Alcharberry ;
  • Bidartéa ;
  • Borda ;
  • Etcheberria ;
  • Etchebers ;
  • Jélosborda ;
  • Suhigarayborda ;
  • Urrutia ;
  • Zapatendeyborda.
Panneau sur la D 236.
Heurtoir à Orègue.
La mairie.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Orègue est desservie par les routes départementales D 123, D 156, D 246 et D 313.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Orègue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Lihoury, l'Arbéroue et l'Apatharena. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[37],[35].

Orègue est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Orègue.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 96,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[42].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Mentions anciennes

Le toponyme Orègue apparaît sous les formes Sanctus Johannes de Oleger (1160[43]), Oreguer (1268[43]), Orreguer (1316[43]), Oreger (1350[43]), Oreguer (1413[43]), Oregay (1513[44], titres de Pampelune[45]), Oregar (1621[44], Martin Biscay[46]) et Oreguer (1665[44], États de Navarre[47]).

Jean-Baptiste Orpustan[43] indique qu'Orègue signifie « lieu exposé, en vue ».

Graphie basque

Son nom basque actuel est Oragarre[1].

Au XIXe siècle, Paul Raymond indique la forme Orabarre[44].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 1995 Thérèse Dachary    
1995 2001 André Caset    
2001 2020 Jean-Michel Camou    
2020 En cours Pascal Dantiacq    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune appartient à neuf structures intercommunales[48] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
  • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat mixte erreka Berriak ;
  • le syndicat regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Béguios, Masparraute et Orègue.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1350, 16 feux sont signalés à Orègue[49].

Le recensement[50] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[51] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[52], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Orègue la présence de 11 feux, le second de 45 (43 + 2 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[53] dénombre 113 feux à Orègue.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].

En 2021, la commune comptait 503 habitants[Note 8], en augmentation de 4,36 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9589349621 0079701 0059681 0701 053
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0011 000939934928923909901884
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
881888881901831774784726657
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
651596523484500516484479474
2017 2021 - - - - - - -
485503-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'école.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Les passerelles de l'Aphatarena, dans le bois de Mixe à l'est de la commune : un lieu de promenade familiale sur les rives du ruisseau, agrémenté d'un gué aménagé, de passerelles et de ponts de bois.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste[58] date de 1670. Elle recèle un retable[59] comprenant un tableau représentant sainte Catherine d'Alexandrie, datant du XVIIIe siècle, un retable[60] dont le tableau représente saint Dominique recevant le rosaire des mains de la Vierge, datant également du XVIIIe siècle, et un ensemble[61] maître autel-retable-tableau datant du premier quart du XIIIe siècle.

Stèle discoïdale.
Stèle discoïdale.

Équipements[modifier | modifier le code]

Éducation

Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[62]).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Orègue Blason
Écartelé: aux 1er et 4e d'azur au loup arrêté d'argent, aux 2e et 3e de gueules à trois chevrons d'or[63].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Orègue » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Orègue », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Orègue », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune d'Orègue », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Orègue et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Orègue et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Orègue et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Orègue », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale d'Orègue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « le Lihoury ».
  14. Sandre, « l'Arbéroue ».
  15. Sandre, « l'Aphatarena ».
  16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  31. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  35. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Orègue », sur Géorisques (consulté le ).
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  40. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  45. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
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  47. Collection manuscrite de 11 volumes de délibérations (1606 à 1789) - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  48. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  49. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
  50. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  51. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  52. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  53. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
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  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  58. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
  59. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le retable dédié à sainte Catherine d'Alexandrie
  60. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le retable dédié à saint Dominique
  61. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'ensemble maître autel-retable-tableau de l'église Saint-Jean-Baptiste
  62. Site du R.P.I. AMOBA
  63. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20653

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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