Briscous

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Briscous
Briscous
La mairie de Briscous.
Blason de Briscous
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Fabienne Ayensa
2020-2026
Code postal 64240
Code commune 64147
Démographie
Gentilé Beskoiztar
Population
municipale
2 876 hab. (2021 en augmentation de 8,16 % par rapport à 2015)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 39″ nord, 1° 19′ 57″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 135 m
Superficie 31,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nive-Adour
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Briscous
Géolocalisation sur la carte : France
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Briscous
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Briscous
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Briscous

Briscous /bʁiskus/ est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Beskoiztar[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Briscous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

Elle se situe à 99 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 17 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 9 km de Mouguerre[6], bureau centralisateur du canton de Nive-Adour dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Urcuit (2,9 km), Urt (5,1 km), Lahonce (5,3 km), Urt (6,1 km), Mouguerre (6,7 km), La Bastide-Clairence (7,1 km), Hasparren (8,7 km), Saint-Laurent-de-Gosse (9,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Briscous fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10],[11]. La commune est dans la zone 'Lapurdi Ekialdea (Labourd-Est)[12], à l’est de ce territoire.

Communes limitrophes de Briscous[13]
Urcuit
Mouguerre Briscous Urt
Hasparren
L'ancien fronton.
L'église Saint-Vincent.

La commune fait partie de la province basque du Labourd.

Briscous est situé à une quinzaine de kilomètres de Bayonne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Briscous.

La commune est drainée par l'Ardanavy, le ruisseau Hasquette, le ruisseau Suhyhandia, ur Handia, un bras du Suhyhandia, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 51 km de longueur totale[14],[Carte 1].

L'Ardanavy, d'une longueur totale de 25,7 km, prend sa source dans la commune d'Hasparren et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Urcuit, après avoir traversé 6 communes[15].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 399 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx à 14 km à vol d'oiseau[19], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 410,1 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24],[Carte 2] :

  • « l'Ardanavy (cours d'eau) », d'une superficie de 626 ha, un cours d'eau des coteaux sud de l'Adour[25] ;
  • « la Joyeuse (cours d'eau) », d'une superficie de 1 444 ha, un réseau hydrographique des coteaux basques[26].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[27],[Carte 3] :

  • les « bois et landes de Faldaracon-Eguralde et d'Hasparren » (2 636,71 ha), couvrant 6 communes du département[28] ;
  • le « réseau hydrographique et vallée de la Joyeuse » (1 265,93 ha), couvrant 3 communes du département[29] ;
  • le « réseau hydrographique et vallée de l'Ardanavy » (679,96 ha), couvrant 12 communes du département[30].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Briscous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[31],[32],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,2 %), forêts (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), zones urbanisées (2,8 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Six quartiers composent la commune de Briscous[37] :

  • Hortione ;
  • Mendizelhai ;
  • Hegiederzelhaia ;
  • Imistola ;
  • Agerrezelhaia ;
  • la Place.

Quelques lieudits d'après les cartes IGN :

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Briscous est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment l'Ardanavy, le Suhihandia et le Marmaroko erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1995, 2009, 2010, 2013, 2014 et 2018[40],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Briscous.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 95,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[42].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 2014, 2017, 2019 et 2020[38].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Briscous est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[43].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Briscous apparaît[44] sous les formes Briscos (1249), Bruscos et Briscos (1348, rôles gascons), Berascois (1368), Hiriberry (« Villeneuve » en basque, 1794) et Bezkoitze[45] au XIXe siècle.

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Beskoitze[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Après la guerre 1939-1945 Briscous a tenu à participer à l'effort de solidarité nationale en construisant un aérium pour les enfants de santé fragile.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti au 1 d'or au lion d'azur ; au 2 de gueules à l'encrier et la plume posée en barre, le tout d'argent, coupé de sinople à une tour de saline d'or à la façade cousue de gueules ; à la bordure générale d'argent chargée sur les flancs de six gerbes de sinople 3 et 3[46].
Commentaires : Ses armoiries furent créées en 1993 par l'artiste Irkus Robles-Arangiz. Le lion est celui de la maison de Gramont, seigneurs de Briscous ; l'encrier et la plume évoquent Jean de Liçarrague, natif de Briscous, premier traducteur du Nouveau Testament de la Bible en basque sur ordre de la reine de Navarre Jeanne d'Albret ; la tour de salines rappelle la principale activité économique du village ; les ajoncs de sinople en bordure, les six quartiers de la commune[47].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[48]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1805 Jean-Baptiste Duhart   Chirurgien
1805 1808 Raimond Delissalde   Notaire
1808 1821 Jean Dourisboure « Estebetegia »    
1821 1826 Jean-Baptiste Duhart   Chirurgien
1826 1834 Jean Carteron   Chirurgien
1834 1843 Bernard Dourisboure    
1843 1848 Pierre Hiriart   Médecin
1848 1860 Bernard Dourisboure    
1860 1863 Baron Émile Rignon    
1863 1871 Jean Elicetche    
1871 1879 Alexandre Camino   Fabricant de sel
1879 1881 Pierre Amestoy    
1881 1886 Édouard Durruty    
1886 1887 Pierre Amestoy    
1887 1888 Pantaléon Dourisboure    
1888 1908 Pierre Bidart    
1908 1912 Jean-Pierre Durruty    
1912 1926 David Amestoy    
1926 Étienne Delicetche    
Jean-Cyprien Eyhérabide CD Conseiller général du canton de La Bastide-Clairence (1968 → 1973)
François Ledoux    
Jean Falagan DVG (app. PS) Président de la CC du pays d'Hasparren (2001 → 2008)
Pierre Diratchette SE Restaurateur
Vice-président de la CC du pays d'Hasparren (2008 → 2014)
En cours
(au 27 mai 2020)
Fabienne Ayensa REG Chef de service éducatif
Conseillère départementale du canton de Nive-Adour (2015 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune participe à huit structures intercommunales[49] :

  • la communauté de communes du pays d'Hasparren « Hazparneko lurraldea » ;
  • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal de protection des berges de l'Adour maritime et de ses affluents (SIPBAMA) ;
  • le syndicat intercommunal pour la gestion du centre Txakurrak ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat mixte d'alimentation en eau potable URA ;
  • le syndicat mixte d'assainissement collectif et non collectif URA (à la carte).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

En 2021, la commune comptait 2 876 habitants[Note 9], en augmentation de 8,16 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3911 3441 3661 2531 2851 6191 6351 6911 820
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7281 6581 6201 6061 6021 5021 5181 5171 402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3981 2251 1331 0531 1841 0101 014985928
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9729381 0851 4131 7451 9882 3962 5122 647
2018 2021 - - - - - - -
2 8792 876-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire urbaine de Bayonne.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose de quatre écoles : l'école primaire publique Ikas Bide, l'école élémentaire publique des Salines, l'école primaire privée Saint-Vincent et l'ikastola[54]. Ces trois écoles proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[55].

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement tournée vers l'agriculture. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Briscous a longtemps produit du sel gemme et de la soude, et ses eaux salées alimentaient jusqu'en 1953 les thermes salins de Biarritz, fondés par un lord anglais nommé Alan Terms qui avait une villa avenue Victoria. Des canalisations souterraines de plus de vingt kilomètres acheminaient une eau à teneur saline plus de dix fois plus élevée[56] que celle de l'eau de mer.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Briscous est le bas-navarrais oriental.

Festivités[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • D'anciennes fermes des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ont été recensées par le ministère de la Culture[57].
  • Lavoir (bourg).
  • Salines (Salines).

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose de trois écoles primaires.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Briscous » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Briscous », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Briscous », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a et b Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
  3. a b et c « Métadonnées de la commune de Briscous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Briscous et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Briscous et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Briscous et Mouguerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Communes les plus proches de Briscous », sur villorama.com (consulté le ).
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  12. Lapurdi Ekialdea (-a) (Lapurdi) : toponymes sur le site de l'Académie de la langue basque.
  13. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq cr cs ct cu cv cw cx cy cz da db dc dd de df dg dh di dj dk dl dm dn do dp dq dr ds dt du dv dw dx dy dz ea eb ec ed ee ef eg eh ei ej ek el em en eo ep eq er es et eu ev ew ex ey ez fa fb fc fd fe ff fg fh fi et fj Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
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  18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Briscous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  26. « site Natura 2000 FR7200788 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  30. « ZNIEFF le « réseau hydrographique et vallée de l'Ardanavy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  55. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=66&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.
  56. Philippe Salquain, Autrefois Biarritz, Biarritz, Éditions Atlantica - Biarritz 2000, (ISBN 978-2-84394-265-5), page 144
  57. Voir les notices extraites de l'inventaire général du patrimoine culturel, publiées par le ministère de la Culture, base Mérimée : Notice no IA64000219, Notice no IA64000223, Notice no IA64000222, Notice no IA64000221, Notice no IA64000220, Notice no IA64000218, Notice no IA64000217, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les trois verrières de l'église Saint-Vincent-Diacre
  59. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la peinture monumentale de l'église Saint-Vincent-Diacre
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  61. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, LCCN 76466747), page 186