Nabas

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Nabas
Nabas
La mairie de Nabas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Martine Hourcade
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64412
Démographie
Gentilé Nabasars
Population
municipale
86 hab. (2021 en diminution de 21,82 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 00″ nord, 0° 52′ 25″ ouest
Altitude Min. 78 m
Max. 216 m
Superficie 6,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Nabas

Nabas est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Nabasar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Nabas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 52 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 32 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 26 km de Mourenx[5], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Rivehaute (1,4 km), Charre (1,8 km), Gestas (2,2 km), Lichos (3,2 km), Tabaille-Usquain (3,2 km), Aroue-Ithorots-Olhaïby (3,8 km), Charritte-de-Bas (4,3 km), Etcharry (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Nabas fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Nabas.

La commune est drainée par le Saison, l'Apaure, un bras du Saison, le Hourquet, le ruisseau de Larrunduigt, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[10].

L'Apaure, d'une longueur totale de 11,2 km, prend sa source dans la commune d'Arrast-Larrebieu et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 280 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 7 km à vol d'oiseau[15], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[20], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[21],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Nabas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,3 %), forêts (31,1 %), terres arables (27,1 %), prairies (6,4 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Lieu-dit Curquou.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Nabas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et l'Apaure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2018[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nabas.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 83,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Nabas apparaît[35] sous les formes Navars (XIe siècle, d'après Pierre de Marca[36]), Navas (1376, censier de Béarn[37]), la nau de Nabas (bac sur le Saison, 1542, réformation de Béarn[38]), Nabaas et Saint-Laurent de Nabas (respectivement 1610 et 1656, insinuations du diocèse d'Oloron[39]).

Graphie béarnaise[modifier | modifier le code]

Son nom béarnais est Navars[40] ou Nabas[41].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[35] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

La baronnie de Nabas, datant de 1646, comprenait Nabas et Bisqueis (hameau de Charre).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001 François Fourcade    
2001 2014 Marc Lassalle    
2014 En cours Martine Hourcade    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de six structures intercommunales[42] :

  • la communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].

En 2021, la commune comptait 86 habitants[Note 7], en diminution de 21,82 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
314288295283327297312294298
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
299278257244281300288252248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
240283270237211192195174179
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
184165140124115113111110122
2015 2020 2021 - - - - - -
1108886------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture, exploitation forestière). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent.
L'église Saint-Laurent.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Des fortifications protohistoriques sont visibles[47] sur le territoire de la commune au lieu-dit Curquou.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent date du XIXe siècle[48].

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Nabas » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Nabas », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Nabas », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur habitants.fr.
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Nabas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Nabas et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Nabas et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Nabas et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Nabas », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  8. Carte IGN sous Géoportail
  9. « Fiche communale de Nabas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. Sandre, « le Saison ».
  11. Sandre, « l'Apaure ».
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Nabas et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Nabas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Nabas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Nabas », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
  36. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn.
  37. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  38. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  40. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  41. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur les fortifications protohistoriques
  48. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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