Arricau-Bordes

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Arricau-Bordes
Arricau-Bordes
Le château d'Arricau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Marie-Odile Rigaud
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64052
Démographie
Gentilé Arricaliens Bordais
Population
municipale
106 hab. (2021 en diminution de 1,85 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 39″ nord, 0° 08′ 01″ ouest
Altitude Min. 140 m
Max. 299 m
Superficie 8,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arricau-Bordes
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Arricau-Bordes

Arricau-Bordes est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
Entrée dans le village.
Quelques maisons du village.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Arricau-Bordes se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 34 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Castillon (1,6 km), Séméacq-Blachon (2,0 km), Lespielle (2,4 km), Gayon (3,1 km), Vialer (3,2 km), Escurès (3,3 km), Cadillon (4,2 km), Corbère-Abères (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Arricau-Bordes fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Arricau-Bordes[6]
Cadillon Aurions-Idernes
Vialer Arricau-Bordes Séméacq-Blachon
Gayon Castillon

Accès[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 13, 228 et 298.

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arricau-Bordes.

La commune est drainée par le Léez, le Lisau, le ruisseau de Larrigan, le ruisseau de Barsious, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[9],[10].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie ouest, constituant la limite communale avec Gayon puis avec Vialer. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[11].

Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis à Aubous, après avoir traversé 7 communes[12].

Le lac dit de Cadillon s'établit partiellement sur la commune[6] (en commun avec Cadillon]. Il est alimenté par le Lisau à sa sortie de la commune, vers le nord.

Au sud, le lac dit de Castillon s'étend à cheval[6] sur les deux communes, Arricau-Bordes et Castillon.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 086 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 7 km à vol d'oiseau[16], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arricau-Bordes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,3 %), forêts (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (13 %), eaux continentales[Note 5] (1 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Arricau-Bordes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2007 et 2009[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arricau-Bordes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 75,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2013[26].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Arricau-Bordes est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Arricau est mentionné au XIIe siècle[7] (Pierre de Marca[34]), et apparaît sous les formes Aricau et Ricau (respectivement 1385[7] et XIVe siècle[7], censier de Béarn[35]), Arricau-Viele (1538[7], réformation de Béarn[36]), Saint-Jacques-d’Arricau et Saint-Martin-d’Arricau sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[37])

Selon Michel Grosclaude[37], le toponyme Arricau serait formé des deux termes gascons, arric (« ravin, thalweg ») et cau (« creux »).

Le toponyme Bordes apparaît sous les formes Bordas (XIe siècle[7], cartulaire de Lescar[38]) et Bordes en Vic-Bilh (1673[7], réformation de Béarn[36]). Bordes provient[39] du gascon borde désignant à l'origine une bergerie ou grange isolée, une métairie[40].

Domengé est une ferme d'Arricau, mentionnée sous la graphie l'ostau de Domenger en 1385[7] (censier de Béarn[35]).

Lahitole est un hameau d’Arricau, dont il est fait mention sous les formes La Fitola et Lahitolle (respectivement 1558[7] et 1673[7], réformation de Béarn[36]) et Lafitole et La Fitole (1863[7] pour les deux formes, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Nouguès, ancienne ferme d’Arricau, apparaît en 1385[7] sous la forme Noguer dans le censier de Béarn[35].

Saint-Martin était un hameau d’Arricau, mentionné en 1863[7].

Histoire[modifier | modifier le code]

C'est vers 1150 qu'apparaissent les premiers seigneurs d'Arricau; des seigneurs de Bordes sont mentionnés dès 1343; la commune actuelle comptait une troisième seigneurie, dite de Lahitolle, qui dépendait de celle de Bordes[41]. Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arricau, Bordes et Lahitolle dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement 8, 12 et 2 feux[42]. Arricau englobait alors deux paroisses, Saint-Martin et Saint-Jacques. Le fief de Bordes dépendait de la vicomté de Béarn.

Arricau et Bordes ont fusionné entre 1861 et 1866[43].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jean-Paul Cassou    
2008 2014 Frédéric Cerisère    
2014 En cours Marie-Odile Rigaud SE Fonctionnaire

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Arricau-Bordes fait partie de quatre structures intercommunales[44] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1385, on comptait à Arricau 8 ostaus et 12 à Bordes[42].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 106 habitants[Note 8], en diminution de 1,85 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
250180263213301290269249231
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
215326336326344338312280267
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
226228192178178172150118139
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
124126105102105106104108106
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1861, la population indiquée ne reflète que celle d'Arricau, encore séparé de Bordes, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[43].

Évolution de la population
1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
136132156132150134135132133
1861 - - - - - - - -
136--------
(Sources : Cassini)

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château, en 1731, Lithographie de René Ancelin (1926).

Le château d'Arricau[49] est établi depuis le XIVe siècle. Il est classé par les monuments historiques (inscription datant de 1988). Son échauguette[50] fait l'objet d'un classement de la part du ministère de la Culture. L'inventaire général du patrimoine culturel y a recensé un fer à hosties[51] du XVIIe siècle, un bénitier[52] du XVIIIe siècle ainsi qu'une stèle discoïdale[53] du XVIe siècle. À Bordes, la demeure dite château de Bordès[54] apparaît au XVIIIe siècle.

La commune possède un ensemble de maisons et de fermes[42] inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Sur les quarante édifices recensés en 1968 par l'inventaire fondamental[42], vingt-sept dataient d'avant 1871.

Au lieu-dit Lahitole, se trouve une ferme[8] construite au XVIIIe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste[55], à Bordes, date partiellement du XIe siècle. Elle recèle divers objets (chasuble[56], deux lanternes[57] et une croix[58] de procession) et mobiliers (fauteuil[59] et un ensemble[60] autel, gradin et tabernacle) inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

L'église Saint-Jacques[61], d'Arricau, est mentionnée dès le XVIe siècle et fut détruite deux siècles plus tard.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Arricau-Bordes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arricau-Bordes et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arricau-Bordes et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Arricau-Bordes », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. a b c d e f g h i j k l m n et o Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  8. a et b « La ferme du lieu-dit Lahitole », notice no IA00026442, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  9. « Fiche communale d'Arricau-Bordes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. « Carte hydrographique d'Arricau-Bordes » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  11. Sandre, « le Laas ».
  12. Sandre, « le Lisau ».
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Arricau-Bordes et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  26. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Arricau-Bordes », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
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  35. a b et c Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  36. a b et c Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
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  39. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  40. Simin Palay, Escole Gastoû Febus, Dictionnaire du gascon et du béarnais modernes, Paris, CNRS, , 3e éd. (1re éd. 1932-1934), 1053 p. (ISBN 2-222-01608-8)..
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  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. « Le château d'Arricau », notice no PA00084317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « L'échauguette du château d'Arricau », notice no IA00026441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Le fer à Hosties du château d'Arricau », notice no IM64002098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « Le bénitier du château d'Arricau », notice no IM64002097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « La stèle discoïdale du château d'Arricau », notice no IM64002096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Le château de Bordès », notice no IA00026443, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « L'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00026444, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « La chasuble de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Les lanternes de procession de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « La croix de procession de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002101, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « L'ensemble autel, gradin et tabernacle de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002099, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. « L'église Saint-Jacques », notice no IA00027519, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.