Sauvelade

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Sauvelade
Sauvelade
L'abbaye de Sauvelade, l'église et les bâtiments.
Blason de Sauvelade
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Didier Plaa
2020-2026
Code postal 64150
Code commune 64512
Démographie
Gentilé Sauveladais
Population
municipale
268 hab. (2021 en augmentation de 1,13 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 33″ nord, 0° 42′ 24″ ouest
Altitude Min. 92 m
Max. 251 m
Superficie 11,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Sauvelade
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Sauvelade
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Sauvelade
Liens
Site web https://www.sauvelade.fr/

Sauvelade (en béarnais Seuvalada ou Seubelade) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Sauveladais et les Sauveladaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Sauvelade se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 11 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Vielleségure (4,3 km), Lagor (4,5 km), Maslacq (5,5 km), Loubieng (6,1 km), Mont (6,5 km), Castetbon (6,5 km), Castetner (6,7 km), Abidos (6,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Sauvelade fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Sauvelade[6]
Loubieng Maslacq
Audaux
(par un quadripoint)
Sauvelade Lagor
Bugnein Vielleségure

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Sauvelade.

La commune est drainée par le Laà, le ruisseau de Mesplaterre, la Barsalonne, Les Salières, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Laà, d'une longueur totale de 29,5 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Orthez, après avoir traversé 9 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 279 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 12 km à vol d'oiseau[12], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[17], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[18],[Carte 2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sauvelade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,8 %), forêts (26,5 %), terres arables (23,9 %), prairies (20,9 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Abadie ;
  • Beigbeder ;
  • lou Boscq ;
  • Cap deu Boscq ;
  • Deça deu Laà ;
  • Hiallards ;
  • Lasserre.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 110 et 275.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sauvelade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sauvelade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[28].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2018[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Sauvelade apparaît sous les formes Locus qui dicitur Sylva-Lata (1127[29], cartulaire de Sauvelade[30]), Beata-Maria de Silvalata (1178[29], collection Duchesne volume CXIV[31]), Selvalada (vers 1290[29], titres de Béarn[32]), Seubalade (1343[29], notaires de Pardies[33]), Ceubalade (1457[29], notaires de Castetner[34]) et Nostre-Dame de Saubalade (1536[29], dénombrement de Navarrenx[35]).

Son nom béarnais est Seuvalada[36] ou Seubelade[37].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[29] note que Sauvelade est une ancienne abbaye de bénédictins, de l'ordre cistercien, fondée en 1127. En 1385, on y comptait 17 feux, la commune dépendant alors du bailliage de Larbaig.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé: au 1er d'or à deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à la coquille renversée d'or, au 3e d'argent à l'arbre au naturel soutenu d'un listel du champ chargé de l'inscription « SILVALATA » de sable, au 4e parti d'or et de gueules[38].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Sauvelade
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Jean-Claude Morère    
2008 2014 Jean-Claude Morère    
2014 2020 Jean-Claude Morère    
2020 2026 Didier Plaa    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Sauvelade fait partie de cinq structures intercommunales[39] :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le SIVOM de Lagor ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement Gave et Baïse ;
  • le syndicat intercommunal de transports scolaires de la vallée du Laà.

La commune accueille le siège du syndicat intercommunal de transports scolaires de la vallée du Laà.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 7], en augmentation de 1,13 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
337388396390378367350325324
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
279266483505462416406401403
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
410408344324340317327309300
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
301275254231213221207206265
2014 2019 2021 - - - - - -
262265268------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn et de celle de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Mairie - école.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L’abbaye Notre-Dame[modifier | modifier le code]

L'abbaye fut fondée le conjointement par Gaston IV le Croisé, vicomte de Béarn, sur le point de prendre le départ pour participer à la croisade en Espagne, sa femme et son fils, et placée sous le vocable de Notre-Dame, en accordant aux bénédictins ce terrain de « Sylva lata » (Séube Lade en vieux béarnais), dont les historiens ont discuté s'il signifiait : "forêt profonde", "forêt du Laà" ou "forêt rive gauche".

L’abbaye prit, à une date indéterminée, mais en tout cas avant 1286, le nom de Saint-Jacques, signe de sa fréquentation par les jacquets.

L'abbaye fut reprise en 1286 par les cisterciens de Gimont (Gers), et, dès lors, son rôle dans l'accueil des pèlerins déclina probablement, car les disciples de saint Bernard ne favorisaient guère le culte des reliques et les pèlerinages.

Ravagée en 1569 par les huguenots, relevée en 1630 par la Contre-Réforme.

La Révolution fit de l'abbatiale une église paroissiale et vendit le monastère.

Délabré, il vient d'être racheté et restauré par la commune, avec l'aide du département, pour servir de centre culturel, permettant l'hébergement.

L'abbaye, du XIIe siècle[44], sur les bords champêtres du Laà, a une forme de croix grecque, déjà visible de l'extérieur aux très harmonieux toits en cascade : cône d'ardoise sur la coupole de la croisée du transept, pans de tuiles plates à cheval sur les quatre bras, l'escalier, les absidioles, la sacristie.

L'intérieur est d'un beau dépouillement cistercien, sauf les autels d'un naïf baroque rural et le bénitier, fait d'un fût de colonne entre deux chapiteaux corinthiens, vestiges sans doute d'une villa romaine. Cet ensemble[45] est classé au titre d'objet aux monuments historiques, tout comme une statue représentant saint Jacques le Majeur[46] et datant du XVIIIe siècle.

À côté, s'élève le vaste monastère du XVIIe siècle.

Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle[modifier | modifier le code]

Sauvelade est située sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Michel Grosclaude, né en 1926 à Nancy et inhumé en 2002 à Sauvelade, est un philosophe et linguiste occitan, auteur de travaux de grammaire, de lexicologie et d'onomastique occitane.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Sauvelade » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sauvelade », sur geoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Sauvelade », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Sauvelade et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Sauvelade et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Sauvelade », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Sauvelade », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Laà ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Sauvelade et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sauvelade », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sauvelade », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  29. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  30. Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  31. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  32. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  33. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  34. Notaires de Castetner - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  37. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  38. de France
  39. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. [1][2] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église de Sauvelade
  45. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la colonne et les chapiteaux de l'église
  46. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de saint Jacques le Majeur

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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