Sévignacq-Meyracq

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Sévignacq-Meyracq
Sévignacq-Meyracq
Le village de Meyracq.
Blason de Sévignacq-Meyracq
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Monique Moulat
2020-2026
Code postal 64260
Code commune 64522
Démographie
Gentilé Sévignacquais
Population
municipale
559 hab. (2021 en augmentation de 0,9 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 06′ 51″ nord, 0° 24′ 39″ ouest
Altitude Min. 296 m
Max. 618 m
Superficie 14,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Arudy
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sévignacq-Meyracq
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Sévignacq-Meyracq
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Sévignacq-Meyracq

Sévignacq-Meyracq (en béarnais Sevinhac-Meirac ou Sebignac-Meyrac) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Sévignacq-Meyracq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 20 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Sainte-Colome (1,4 km), Arudy (1,5 km), Bescat (1,8 km), Izeste (2,6 km), Louvie-Juzon (3,0 km), Buzy (4,4 km), Castet (4,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Sévignacq-Meyracq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Sévignacq-Meyracq[6]
Rébénacq Bosdarros Haut-de-Bosdarros
Bescat Sévignacq-Meyracq Lys
Arudy Louvie-Juzon Sainte-Colome
La salle polyvalente.
Un monument de Sévignacq-Meyracq.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Sévignacq-Meyracq.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Neez, le Soust, un bras du gave d'Ossau, le ruisseau de l'Oustau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[8].

Le Neez, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Jurançon, après avoir traversé 5 communes[9].

Le Soust, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Pau, après avoir traversé 7 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 488 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Asson à 13 km à vol d'oiseau[14], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 376,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 3] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[20],[21].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23],[Carte 2] :

  • « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[24] ;
  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 5] encore vivace[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sévignacq-Meyracq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arudy, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[31] et 4 250 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,1 %), forêts (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), terres arables (7 %), zones urbanisées (0,2 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Bour de Sévignacq ;
  • Couloumats ;
  • le Grand Hameau ;
  • le Hameau de Meyracq.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sévignacq-Meyracq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron, le Soust et le Nez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2007, 2009, 2017, 2018 et 2019[39],[37].

Sévignacq-Meyracq est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[40]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[41],[42].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[43]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[44].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sévignacq-Meyracq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 81,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[46].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[48].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Sévignacq-Meyracq est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[49].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Sévignacq apparaît[50] sous les formes Sevignag (1270, titres d'Ossau[51]), Savinhacum (1286, titres de Béarn[52]), Sebinhac (1385, censier de Béarn[53]), Sebinach (1614, réformation de Béarn[54]), Sanctus-Petrus de Sevignacq (1674, insinuations du diocèse d'Oloron[55]), Sévignac (1863, dictionnaire de Paul Raymond[50]).
Le toponyme Meyracq apparaît[50] sous les formes Mayrac (1376, montre militaire de Béarn[56]), Sanctus-Saturninus de Meyrac (1607, insinuations du diocèse d'Oloron[55]), Meirac (1675, réformation de Béarn[54]) et Meyrac (1863, dictionnaire de Paul Raymond[50]).

Sévignacq est formé du nom latin Sabinius et signifie domaine de Sabinius, de même Meyracq signifie domaine de Macer[57].

Son nom béarnais est Sevinhac-Meirac[58] ou Sebignac-Meyrac[59].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[50] note que la commune de Sévignacq comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Sévignacq comptait 29 feux et dépendait du bailliage d'Ossau[50].
Meyracq était un village dépendant de Sévignacq et comptait 6 feux en 1385[50].
À la fin du XVIIe siècle, le village fut ravagé par la peste, qui fit plusieurs dizaines de victimes. Un ermite y vécut de nombreuses années au XVIIIe siècle[réf. nécessaire]. Sévignacq et Meyracq ont fusionné en 1866.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sévignacq-Meyracq Blason
D'argent aux trois fasces abaissées d’azur surmontées d’un sanglier de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Sévignacq-Meyracq.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001 Auguste Cazalet RPR ancien sénateur
2001 2008 André Paquot    
2008 2014 Michel Pasquine    
2014 En cours Monique Moulat    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de sept structures intercommunales[60] :

  • l'agence publique de gestion locale ;
  • la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
  • le syndicat d'eau de la vallée d'Ossau ;
  • le syndicat d'électrification du Bas-Ossau ;
  • le syndicat de la perception d'Arudy ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique de Sainte-Colome et Sévignacq-Meyracq ;
  • le syndicat intercommunal d'assainissement de Sainte-Colome.

La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[62].

En 2021, la commune comptait 559 habitants[Note 11], en augmentation de 0,9 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
867723766785729950924890875
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
922885844753733724673681647
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
668655580553527501526431429
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
467486490438437535486548545
2021 - - - - - - - -
559--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. Sévignacq-Meyracq fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Des carrières de marbre et de granit sont toujours en activité dans la commune.
Une ancienne source thermale est actuellement exploitée.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Maisons des XVe et XVIe siècles.
  • Château de Sévignacq, ou château d'Étigny (ancienne abbaye laïque) datant du début du XVIIe siècle et remanié au XIXe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Pierre de Sévignacq date du XVIIe siècle.

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune possède une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  5. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[47].
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Sévignacq-Meyracq » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sévignacq-Meyracq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Sévignacq-Meyracq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Sévignacq-Meyracq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Sévignacq-Meyracq et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Sévignacq-Meyracq », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Sévignacq-Meyracq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  9. Sandre, « le Neez ».
  10. Sandre, « le Soust ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Sévignacq-Meyracq et Asson », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  16. « Station Météo-France « Asson » (commune d'Asson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  37. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sévignacq-Meyracq », sur Géorisques (consulté le ).
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