Lay-Lamidou

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Lay-Lamidou
Lay-Lamidou
Le lavoir.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Joël Sartolou
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64326
Démographie
Gentilé Layais
Population
municipale
123 hab. (2021 en diminution de 2,38 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 33″ nord, 0° 43′ 10″ ouest
Altitude Min. 146 m
Max. 266 m
Superficie 5,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lay-Lamidou
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Lay-Lamidou

Lay-Lamidou ([laj.la.mi.du]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Lay-Lamidou se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 38 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 17 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 17 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Dognen (1,6 km), Préchacq-Navarrenx (1,7 km), Gurs (2,7 km), Ogenne-Camptort (2,8 km), Préchacq-Josbaig (3,0 km), Jasses (3,1 km), Saucède (3,7 km), Sus (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Lay-Lamidou fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes de Lay-Lamidou[7]
Ogenne-Camptort
Dognen Lay-Lamidou Lucq-de-Béarn
Préchacq-Navarrenx

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lay-Lamidou.

La commune est drainée par le Laüs, le Layoû, un bras du Laüs, un bras du Layoû, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Laüs, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Navarrenx, après avoir traversé 6 communes[9].

Le Layoû, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Jasses, après avoir traversé 7 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 245 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 12 km à vol d'oiseau[14], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[19], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20],[Carte 2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lay-Lamidou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (32,5 %), terres arables (25,1 %), prairies (2,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lay-Lamidou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Layous et le Laüs. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2018[29],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lay-Lamidou.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 60,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Lay est mentionné dès 1205[32] (titres de Bérérenx[33]), et apparaît sous la forme Sent-Pee de Lay (1412[32], notaires de Navarrenx[34]).

Le toponyme Lamidou apparaît sous les formes Lamito (XIe siècle[32], d'après Pierre de Marca[35]), Laymidoo (1376[32], montre militaire de Béarn[36]), Lamidoo (1385[32], censier de Béarn[37]) et Lamidon (1546[32], réformation de Béarn[38]).

Graphie béarnais[modifier | modifier le code]

Son nom béarnais est Lai-Lamidon[39] ou Lay-Lamidou[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[32] note que Lay comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Lay comptait 24 feux et Lamidou 8. Toutes deux dépendaient du bailliage de Navarrenx.

Lay et Lamidou sont réunies depuis le .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 2001 Claude Laberdesque    
2001 En cours Daniel Arribère    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de sept structures intercommunales[41] :

  • la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIVU du Layou ;
  • le syndicat AEP de Navarrenx ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Lay-Lamidou accueille le siège du SIVU du Layou.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].

En 2021, la commune comptait 123 habitants[Note 7], en diminution de 2,38 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
254266314249173253363347344
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
293303300288278283284252239
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
267245235186190180177144149
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
142141105131117123118117124
2017 2021 - - - - - - -
118123-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole (élevage et polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.

L’église Saint-Pierre se dresse sur le territoire de la commune.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Lay-Lamidou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Lay-Lamidou et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lay-Lamidou et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lay-Lamidou et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Lay-Lamidou », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Lay-Lamidou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Laüs ».
  10. Sandre, « le Layoû ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Lay-Lamidou et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lay-Lamidou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lay-Lamidou », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  33. Titres de la commune de Bérérenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  34. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  36. Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  38. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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