Peyrelongue-Abos

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Peyrelongue-Abos
Peyrelongue-Abos
La mairie de Peyrelongue-Abos.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Pierre Armau
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64446
Démographie
Gentilé Peyrelonguais
Population
municipale
153 hab. (2021 en augmentation de 4,08 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 28″ nord, 0° 06′ 15″ ouest
Altitude Min. 199 m
Max. 338 m
Superficie 8,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Peyrelongue-Abos
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Peyrelongue-Abos

Peyrelongue-Abos (en béarnais Pèiralonga-Abòs ou Pèyreloungue-Abos) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Peyrelongue-Abos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 34 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 30 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Samsons-Lion (1,7 km), Lucarré (2,7 km), Lembeye (2,9 km), Momy (3,0 km), Luc-Armau (3,1 km), Maspie-Lalonquère-Juillacq (3,5 km), Anoye (4,2 km), Bassillon-Vauzé (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Peyrelongue-Abos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Peyrelongue-Abos[6]
Samsons-Lion Lembeye
Peyrelongue-Abos Luc-Armau
Anoye Momy Lucarré

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Peyrelongue-Abos.

La commune est drainée par le Petit Lées et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Petit Lées, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Momy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léez à Os-Marsillon, après avoir traversé 5 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 106 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maubourguet à 12,39 km à vol d'oiseau[12], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[18].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[20], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[21],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Peyrelongue-Abos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), forêts (37,3 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (3 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par les routes départementales 47 et 295.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Peyrelongue-Abos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrelongue-Abos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. 81,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[33].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 2007, 2009 et 2018[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Peyrelongue est mentionné au XIe siècle[34] (Pierre de Marca[35]), et apparaît sous les formes Peyralonca en Vic-Bilh et Peyrelonque (respectivement 1544[34] et 1548[34], réformation de Béarn[36]).

Le toponyme Abos, village de Peyrelongue, apparaît sous les formes Aboss (1286[34], titres d'Abos[37]), Avos et Abos en Vic-Bilh (respectivement 1385[34] et XIVe siècle[34], censier de Béarn[38]), Abossium (1425[34], cartulaire du château de Pau[39]), Aboos (vers 1540[34], réformation de Béarn[36]), Abos (XVIIIe siècle[40], carte de Cassini) et Abes (1801[41], Bulletin des lois).

Le nom béarnais de la commune est Pèiralonga-Abòs[42] ou Pèyreloungue-Abos[43].

Michel Grosclaude[40] propose une étymologie possible provenant du cognomen latin Avus complété du suffixe aquitain -ossum.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1385, on comptait à Peyrelongue treize feux, et quinze à Abos. Les deux paroisses dépendaient du bailliage de Lembeye[34].

Abos s'est unie à Peyrelongue en 1843.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[34] note que Peyrelongue et Abos étaient des membres de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Peyrelongue-Abos
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2001 Vincent Dabadie    
2001 En cours Pierre Armau    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Peyrelongue-Abos fait partie de quatre structures intercommunales[44] :

  • la communauté de communes du Nord-Est Béarn ;
  • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

En 2021, la commune comptait 153 habitants[Note 8], en augmentation de 4,08 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
233201261279481481478480457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
461417392380359345347324272
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
259260251221217210206191157
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
156134125142124120132134145
2017 2021 - - - - - - -
150153-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Fête de Peyrelongue-Abos le premier week-end de décembre.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Des vestiges d'ensembles fortifiés des XIe et XIIe siècles à Abos[49] et Peyrelongue[50] témoignent du passé ancien de la commune.

La demeure dite maison Billières[51], à Peyrelongue, date de la fin du XVIe siècle.

Le château[52] de Peyrelongue date, semble-t-il, du XVIIIe siècle.

La commune présente un ensemble de demeures et de fermes[53] dont la construction s'est étalée du XVIIe siècle au XIXe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-André[54], à Abos, date partiellement du XIe siècle. Elle recèle du mobilier[55], un tableau[56] et des objets[57] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Celle de Peyrelongue, l'église de Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem Saint-Martin[58], fut partiellement reconstruite au milieu du XVIIIe siècle. On y trouve également des objets[59], une lithographie[60] et du mobilier[61] inventoriés par le ministère de la Culture.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Peyrelongue-Abos » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Peyrelongue-Abos », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Peyrelongue-Abos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Peyrelongue-Abos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Peyrelongue-Abos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Peyrelongue-Abos et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Peyrelongue-Abos », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Peyrelongue-Abos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Petit Lées ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Peyrelongue-Abos et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « le « Coteau de Lembeye » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Peyrelongue-Abos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyrelongue-Abos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Peyrelongue-Abos », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  34. a b c d e f g h i et j Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  35. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  36. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  37. Titres d'Abos - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  39. Manuscrits en deux volumes, XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 151
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Abos », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  42. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  43. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié d'Abos
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Peyrelongue
  51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Billières
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Peyrelongue
  53. [1][2][3][4][5] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les demeures et fermes anciennes
  54. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-André
  55. [6][7][8][9][10][11][12][13][14] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-André
  56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le tableau de l'église Saint-André
  57. [15][16][17] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-André
  58. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
  59. [18][19][20][21][22][23] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Saint-Martin
  60. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la lithographie de l'église Saint-Martin
  61. [24][25][26][27] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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