Auga

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Auga
Auga
L'église Saint-Laurent.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
David Legros
2020-2026
Code postal 64450
Code commune 64077
Démographie
Gentilé Augarais
Population
municipale
179 hab. (2021 en augmentation de 27,86 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 42″ nord, 0° 22′ 50″ ouest
Altitude Min. 123 m
Max. 258 m
Superficie 4,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Auga
Géolocalisation sur la carte : France
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Auga
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Auga

Auga est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Auga se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 13 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Séby (1,4 km), Viven (1,7 km), Lème (2,1 km), Viven (2,6 km), Mialos (2,9 km), Doumy (3,4 km), Lonçon (3,6 km), Méracq (3,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Auga fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Auga[6]
Méracq Lème
Séby Auga Thèze
Viven

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Auga.

La commune est drainée par le Luy, un bras du Luy de France, un bras du Luy de France et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 143 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzein à 10 km à vol d'oiseau[12], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Auga est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (27,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (17,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 40 et 220. Le réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques y gère un arrêt sur la ligne 842, entre Malaussanne et Pau.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Auga est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2014 et 2018[35],[33].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Auga.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 41,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[37].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[39].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Auga apparaît sous les formes Algar (XIe siècle[40], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[41]), Augar (XIIIe siècle[40], fors de Béarn[42]), Augaar et Augar[43] (1385[40], censier de Béarn[42]), Augaa (1437[40], hommages de Béarn[44]), Sent Laurens d'Auguaa et Augua (respectivement 1538[40] et 1544[40], réformation de Béarn[45]) et Auga sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]).

Pour Michel Grosclaude[43] l'étymologie est gasconne, venant d'augar, « terrain marécageux ».

Abescat, ferme et fief dépendant de la vicomté de Béarn, est mentionné en 1673[40] (réformation de Béarn[45]).

Baradat est un ancien hameau de la commune, citée en 1863, par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Auriol Centulle, troisième fils de Centulle IV de Béarn et d'Angèle d'Oloron, était seigneur de Clarac, Igon, Baudreix, Boeil et Auga.

Paul Raymond[40] note que la commune comptait deux abbayes laïques, vassale de la vicomté de Béarn, l'Abadie-Susan et l'Abadie-Jusan. En 1385, Auga comptait vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Pau, étant également une reffebaronnie vassale de la vicomté de Béarn.

Le fief de l'Abescat était vassal de la même vicomté.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 1995 Alexis Cassoulet    
1995 2008 Michel Chéret PS  
2008 2008 Pierre Dubourdieu    
2009 2014 Pierre Chéret PS Conseiller régional
2014 2020 Jean-Paul Lacabanne SE  

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Auga fait partie de quatre structures intercommunales[46] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

En 2021, la commune comptait 179 habitants[Note 7], en augmentation de 27,86 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244239266302344318302307323
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
327303285270259245224171168
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
192190184137134131142148132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
140138114121136113140151145
2014 2019 2021 - - - - - -
140173179------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Auga fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Auga ne dispose pas d'école primaire, elle bénéficie du regroupement pédagogique intercommunal commun avec Aubin, Bournos et Doumy.

Sports[modifier | modifier le code]

Les Augarais se situent dans la zone de L'ESBDG (Entente Sportive Bournos Doumy Garlède) pour le volley, la pala et le football ; pour le rugby, les Portes du Béarn (Regroupement des clubs d'Arzacq-Arraziguet, de Thèze, de Garlin et de Sévignacq) et quant au basket Nord Béarn (Thèze, Garlin et Sévignac).

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Les vestiges d'un ensemble fortifié dit « château d'Auga Fourcade »[51] du XIe siècle et du XIIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.

Une des deux anciennes abbayes laïques mentionnées par Paul Raymond[40] fut reconstruite[52] au XIXe siècle.

La commune présente un ensemble[53] de demeures et de fermes[29] ,[54],[32],[31],[30],[26],[55],[27],[25] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.

Le moulin[28] du lieu-dit Grange Haget fut édifié en 1707.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent[56] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle un tableau[57] et du mobilier[58] (autel et mobilier d'autel[59], garde-corps de tribune[60]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Elle a vu son clocher ainsi qu'une partie de son toit rénovés au cours des années 2016-2017.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[38].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Auga » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Auga », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Auga et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Auga et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Auga », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n et o Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Auga », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Luy ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Auga et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « La ferme du lieu-dit Bidot », notice no IA00026719, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. a et b « La ferme du lieu-dit Bret », notice no IA00026724, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. a et b « La ferme du lieu-dit Claux », notice no IA00026719, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a et b « Le moulin du lieu-dit Grange Haget », notice no IA00026721, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. a et b « La ferme du lieu-dit Haou », notice no IA00026722, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. a et b « La ferme du lieu-dit Miraut », notice no IA00026725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a et b « La ferme du lieu-dit Pargade », notice no IA00026726, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. a et b « La ferme du lieu-dit Pellarouy », notice no IA00026727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Auga », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  38. Article R214-112 du code de l’environnement
  39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  40. a b c d e f g h i et j Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  41. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn, pages 291
  42. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  43. a b et c Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), n° 469..
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  45. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. « L'ensemble fortifié », notice no IA00026717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « L'ancienne abbaye laïque », notice no IA00026723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026715, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « La maison du lieu-dit Haou », notice no IA00026728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « La maison Dubourdieu », notice no IA00026720, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « L'église Saint-Laurent », notice no IA00026716, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Le tableau de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « Le mobilier de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001176, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « L'autel et son mobilier, dans l'église Saint-Laurent », notice no IM64001174, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « Le garde-corps de tribune de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001173, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.