Garris

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Garris
Garris
Maison traditionnelle.
Blason de Garris
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Gérard Bidegain
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64235
Démographie
Gentilé Garrüztar
Population
municipale
305 hab. (2021 en augmentation de 3,74 % par rapport à 2015)
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 36″ nord, 1° 03′ 36″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 219 m
Superficie 3,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Garris
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Garris
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Garris
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Garris

Garris [ɡaʁis] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Garrüztar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Garris se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 90 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 51 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 2,8 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Luxe-Sumberraute (1,3 km), Amendeuix-Oneix (1,9 km), Saint-Palais (2,7 km), Béguios (2,8 km), Aïcirits-Camou-Suhast (3,1 km), Beyrie-sur-Joyeuse (3,7 km), Gabat (3,8 km), Béhasque-Lapiste (4,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Garris fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Communes limitrophes de Garris[11]
Luxe-Sumberraute Garris Amendeuix-Oneix

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Garris.

La commune est drainée par salarteko erreka, zubiaga erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[12],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 325 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 3 km à vol d'oiseau[16], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 2] : les « pelouses calcicoles de Garris » (6,01 ha), couvrant 2 communes du département[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Garris est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,5 %), prairies (20,5 %), forêts (13,5 %), zones urbanisées (8,5 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Garris est desservie par les routes départementales D 11, D 511 et D 124.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Garris est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Garris est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[30]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[31],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Garris.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[34].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 2009[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Garris apparaît sous les formes Carasa (itinéraire d'Antonin[35]), Garris (1119 et 1249[36]), Sanctus Felix de Garris (XIIIe siècle[35], collection Duchesne volume CXIV[37]), Garritz (1249[36]), Garriz (1264[36]), Castieyllo de Guarriz (1326[35], titres de Navarre[38]), Guarriz (1350[36]), la biele de Garris (1413[36]), Garriis (1472[35], notaires de Labastide-Villefranche[39]), Garritze (1508[35], chapitre de Bayonne[40]) et Garris (1650).

Étymologie[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Orpustan[36] indique que Garris signifie 'arête rocheuse'.

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Garrüze[1].

Au XIXe siècle, Paul Raymond indique la forme Garruce[35].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1790, Garris fut le chef-lieu d'un canton dépendant du district de Saint-Palais, et comprenant les communes d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Béguios, Beyrie, Garris, Labets-Biscay, Luxe-Sumberraute, Masparraute et Orègue.

La commune fut rattachée à Saint-Palais du au [41].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent à trois sangliers de sable.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Noël Chohobigarat    
2008 En cours François Ladeuix    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Garris participe à six groupements intercommunaux[42] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
  • le syndicat d’assainissement collectif de Saint-Palais ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal de regroupement pédagogique « Ikas Bidea » ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d’Amikuze.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[43].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le recensement[44] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[45] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[46], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Garris la présence de 64 feux, le second de 68 feux.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 305 habitants[Note 8], en augmentation de 3,74 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
454396472502509535465469430
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
390391377371343353318302304
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
323323296274246256240254224
1962 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
229302282298286305---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Garris accueille une foire aux chevaux et aux pottoks le et aux autres bestiaux le 1er août. C'était une foire référence pour le cours de la viande depuis le Moyen Âge dans tout le Grand Sud-Ouest. Instituée au XIIIe siècle sous le régime de la Navarre, la foire est placée sous le patronage de Saint Brice.

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Garris est le bas-navarrais oriental.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Félix[51], au lieu-dit Garris, est mentionnée dès le XIIe siècle. Elle recèle un bénitier surmonté d'une colonne et son chapiteau, datant du XVIIIe siècle[52] et un autel et un retable[53] en bois de la même époque ;

Le pèlerinage de Compostelle[modifier | modifier le code]

L'itinéraire moderne de la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle passe aujourd'hui par Saint-Palais, ville située 3 km plus à l'est qui n'existait pas au XIIe siècle. Il est vraisemblable que le tracé historique de cet itinéraire passait alors par Garris, comme le suggère Aimery Picaud.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Arnaud de Vivié, seigneur de Bideren et de Campagne, demeurant à Garris, fut député des États généraux de 1789.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Garris » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Garris », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Garris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Garris et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Garris », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale de Garris », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Garris et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  21. « ZNIEFF les « pelouses calcicoles de Garris » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Palais », sur insee.fr (consulté le ).
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  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Garris », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
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  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  36. a b c d e et f Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux 2006, , 244 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 2-86781-396-4, lire en ligne).
  37. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  38. Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. Insee - Code Officiel Géographique
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  44. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  45. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  46. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Félix
  52. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le bénitier de l'église Saint-Félix
  53. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'autel et le retable de l'église Saint-Félix

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]