Blois
Blois | |||||
La Loire, le pont et la cathédrale Saint-Louis | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Loir-et-Cher (préfecture) | ||||
Arrondissement | Arrondissement de Blois (chef-lieu) | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Blois | ||||
Maire Mandat |
Marc Gricourt (PS) 2014-2020 |
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Code postal | 41000 | ||||
Code commune | 41018 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Blésois[1] | ||||
Population municipale |
46 351 hab. (2014) | ||||
Densité | 1 237 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
125 994 hab. (2010) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 35′ 38″ nord, 1° 19′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 135 m |
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Superficie | 37,46 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Chef-lieu de cinq cantons | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
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Liens | |||||
Site web | http://www.blois.fr/ | ||||
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Blois est une commune française, chef-lieu du département de Loir-et-Cher en région Centre. Blois est aussi la commune la plus peuplée du département.
Elle fut sous Louis XII, et pour environ un siècle, résidence royale.
Géographie
La ville est située sur la Loire, à mi-chemin entre Tours et Orléans. S'étendant sur les deux rives du dernier fleuve sauvage d'Europe, elle délimite et unit la petite Beauce (rive droite/nord) et la Sologne (rive gauche/sud). La ville de Blois est le cœur de la communauté d'agglomération d'Agglopolys qui comprend 26 communes (Averdon, Blois, Candé-sur-Beuvron, Cellettes, Chailles, La Chaussée-Saint-Victor, Cheverny, Chitenay, Cormeray, Cour-Cheverny, Fossé, Marolles, Menars, Les Montils, Monthou-sur-Bièvre, Saint-Bohaire, Saint-Denis-sur-Loire, Saint-Gervais-la-Forêt, Saint-Lubin-en-Vergonnois, Saint-Sulpice-de-Pommeray, Sambin, Seur, Valaire, Villerbon, Villebarou, Vineuil).
Toponymie
La première forme attestée remonte au VIe siècle et est indirecte. Elle fait référence aux « habitants de Blois » sous le terme blesenses. Au VIIe siècle, Blois est désigné par blesis ou blezis. Des monnaies mérovingiennes indiquent bleso castro, tandis qu'à l'époque carolingienne on désigne Blois par blesum castrum ou castrum blesense (la forteresse de Blois)[réf. souhaitée].
L'évolution linguistique normale du latin blesum aboutit régulièrement en français à bleis, blais puis Blois.
Héraldique et blason
Les armoiries de Blois se blasonnent ainsi : |
Histoire
De l'Antiquité à la fin de l’Empire napoléonien
Les grands travaux d’urbanisme commencés en 1959 permirent de découvrir des vestiges attestant la présence d’un habitat à la fin de l’indépendance gauloise et d’un centre urbain à l’époque gallo-romaine. À cette époque, la ville était située sur la voie reliant Chartres à Bourges[3].
Blois apparaît pour la première fois en 410 lorsqu'elle est conquise par le chef breton Iuomadus qui en expulse le « consul » Odo, probablement d'origine germanique. Il y fonde un état autonome ou semi-autonome qui se maintiendra jusqu'à la prise de la ville par Clovis en 491[4].
En 851, Blois est pillée par le chef viking Hasting[5], puis encore en 854 et vers 856-857[6].
En 1171, Blois fut une des premières villes d'Europe à accuser ses juifs de crimes rituels à la suite de la disparition inexpliquée d'un enfant chrétien. Trente à trente-cinq juifs (sur une communauté d’environ 130 personnes) furent brûlés vifs le (20 Sivan) près des fourches patibulaires[7]. Cette accusation en entraîna d'autres à Pontoise, Joinville et Loches. Le martyr de Blois fit une impression considérable sur les contemporains. Outre deux récits en prose des événements, des Selihot furent composées. Apprenant les tragiques événements de Blois, Rabbenou Tam déclara le 20 Sivan, jour de jeûne pour les juifs de France, de Grande-Bretagne et d'Allemagne[8].
Blois fut au Moyen Âge le siège d'un comté dont la dynastie posséda également la Champagne avant de monter sur le trône de Navarre. Charles de Blois fut un candidat malheureux au duché de Bretagne et fut béatifié.
Le , comme Beaugency, la ville est prise et pillée, mais par les catholiques du maréchal de Saint-André, et, tout comme à Beaugency, les femmes sont violées[9].
Le , les protestants du capitaine Boucard pillent et incendient la ville, violant et tuant les catholiques. Des cordeliers sont jetés dans le puits de leur couvent. Les églises sont ruinées[10].
En 1588-1589, les États généraux se réunissent à Blois. Les 23 et , Henri III fait assassiner le duc de Guise en son château de Blois.
Après le départ des rois vers Paris, Blois perd son caractère de résidence royale, avec le faste et l'activité économique qui accompagnait la Cour. Henri IV transfère à Fontainebleau la riche bibliothèque blésoise.
En 1790, la province de l'Orléanais est démantelée et le département du Loir-et-Cher est créé, avec Blois comme chef-lieu.
En 1814, l'impératrice, Marie-Louise d'Autriche, se réfugie à Blois.
Époque contemporaine
Le , le lieutenant Georges de Villebois-Mareuil libère la ville occupée par les Prussiens. Un monument commémoratif situé avenue Wilson au départ de la levée des Acacias rappelle l'assaut du faubourg de Vienne des généraux Pourcet et Chabron. Il porte une plaque en bronze gravée par Oscar Roty avec l'inscription PATRIA NON IMMEMOR « La Patrie n'oublie pas »[11]. Deux odonymes locaux (rue et impasse du 28-Janvier) rappellent également cet événement.
Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent dans le Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[12], dont Blois (ils sont logés aux Grouets, à l’extérieur de la ville)[13]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[14]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[15].
Aujourd'hui, la ZUP fait l'objet d'un grand projet de rénovation urbaine. De nombreux logements HLM ont été détruits (487 à ce jour[16] soit l'équivalent de sept bâtiments, l'objectif étant d'en démolir à terme 1481) et de nouveaux logements sont en cours de construction (265 à ce jour)[17].
Parmi les autres grands chantiers de la ville de Blois, on peut noter la réalisation de l'aménagement de la rocade au niveau de deux carrefours autrefois congestionnés (carrefour de Verdun) et le projet du centre-ville consistant en la mise en zone piétonnière et le pavage de certaines rues. Ces deux projets ont été achevés en 2007.
Un projet et des chantiers sont en cours. Le projet: Le palais omnisports, initialement appelé « La Salle du Jeu de Paume ». Les chantiers: Le réaménagement du quartier Gare/Saint-Vincent et l'aménagement de l'îlot Ducroux . La construction d'une passerelle surplombant les voies SNCF pour une ouverture fin 2014. L'aménagement des bords de Loire.
Depuis février 2010, la ville de Blois et ses partenaires (dont Agglopolys) se mobilisent pour une meilleure desserte ferroviaire : Blois / Paris (plus de trains rapides - trajet en 80 min).
La ZUP de Blois est sous vidéosurveillance depuis 2003.
Économie
Automobile
- Delphi : production des systèmes d'injection diesel et possède un Centre de Recherche & Développement
L'entreprise emploi 1700 personnes. 2e employeur de la ville de Blois
- Valeo : fabrication et assemblage des projecteurs automobiles pour le marché des pièces de rechange et injection de pièces plastiques techniques
- JTEKT HPI : production de pompes d'assistance de direction hydraulique pour véhicules
- Senior Flexonics : production et cintrage de tube pour les systèmes d'injection et les lignes d'alimentation de fluides.
Aérospatiale
- Senior Aerospace : conception et fabrication de composants destinés au transfert des fluides.
Industrie pharmaceutique et cosmétique
- Procter & Gamble : fabrication de parfums et de produits pour la toilette (shampooings et après-shampooings) ; l'usine Procter et Gamble de Blois emploie environ 450 personnes.
- Wyeth : production de pilules contraceptives.
- Chiesi : production de médicaments. Située à La Chaussée-Saint-Victor.
Industrie agroalimentaire
- Poulain : siège historique de la chocolaterie. Son usine fabrique la totalité des chocolats de la marque (qu'elle soit sous forme de poudres ou de tablettes), ainsi que les productions de la marque Cadbury (marque de confiserie populaire au Royaume-Uni).
- Germanaud & Cie : fabrication de jambons.
- St-Michel et Bonne Maman : les financiers et madeleines, entre autres, sont fabriqués dans le Loir-et-Cher (à Contres, plus précisément).
Industrie chimique
- Forbo Swift Adhesives : fabrication d'adhésifs pour le bâtiment et l'industrie
Métiers du Batiments
- Groupe IDEC : Promoteur, Constructeur et Investisseur. Située à La Chaussée-Saint-Victor.
Service bancaire
- Banque régionale de l'Ouest : siège historique.
- Crédit agricole : site administratif.
- Atos Origin : traitement de données, hébergement et activités connexes.
Santé et médecine
- Centre Hospitalier de Blois est le premier employeur du département. On y trouve aussi l'Institut de Formation en Soins Infirmiers, la Maison des adolescents. Elle se situe sur la commune de Blois et de La Chaussée-Saint-Victor.
- La polyclinique : située à La Chaussée-Saint-Victor
- La Mosaique Santé : située à La Chaussée-Saint-Victor.
- Centre Médical Théraé : située à La Chaussée-Saint-Victor.
Économie de service
Média
Divers
- Blois est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Loir-et-Cher.
Centres commerciaux
- Blois Nord : Cora, Décathlon, Conforama, Norauto, Jardiland, Aubert, Kiabi, etc.
- Blois Sud : Auchan, Go sport, Truffaut, BUT, Speedy, McDonald's, Mim, Leader price, Bricorama, Intersport, Texto, Fly, Maison du monde, Alain Afflelou, La Halle, etc.
- Blois : E.Leclerc, Krys, Gaultier, Feu Vert, etc.
Politique et administration
Blois est chef-lieu :
- du département de Loir-et-Cher ;
- de l'arrondissement de Blois ;
- de cinq cantons : 1er canton, 2e canton, 3e canton, 4e canton et 5e canton.
Par ailleurs, Blois est membre de la communauté d'agglomération de Blois (dite « Agglopolys »), dont le siège social se trouve sur le territoire de la commune.
Liste des maires
Tendances politiques et résultats
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de la commune de Blois sont les suivantes :
Élection | Territoire | Titre | Nom | Début de mandat | Fin de mandat |
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Municipales | Blois | Maire | Marc Gricourt (PS) | 2008 | 2014 |
Cantonales | Blois 1er Canton | Conseillère générale | Marie-Hélène Millet | 16 mars 2008 | 2015 |
Blois 2e Canton | Conseiller général | Michel Fromet | 27 mars 2011 | 2015 | |
Blois 3e Canton | Conseillère générale | Geneviève Baraban | 27 mars 2011 | 2015 | |
Blois 4e Canton | Conseiller général | Marc Gricourt | 27 mars 2011 | 2015 | |
Blois 5e Canton | Conseillère générale | Béatrice Amosse | 16 mars 2008 | 2015 | |
Législatives | 1re circonscription | Député | Denys Robiliard | ||
Régionales | Centre | Président du conseil régional | François Bonneau | 2015 | |
Présidentielles | France | Président de la République | François Hollande |
Personnages célèbres natifs - décédés - ayant vécu à Blois
Politiques
- Louis XII (1462-1515) est né à Blois, il a été roi de France de 1498 à 1515.
- Henri Ier de Guise, assassiné le 23 décembre 1588 au château de Blois.
- Paul Reneaulme. Docteur en médecine, de l'Université de Montpellier. Vers 1560-vers 1624.
- Michel Bégon de la Picardière, (1669-1747), Commissaire de la marine, Intendant de la Nouvelle-France, du Havre, puis des armées navales.
- Jean-Marie Pardessus (1772-1853), juriste, professeur à la faculté de droit de Paris, maire de Blois et député du Loir-et-Cher.
- Pierre Sudreau (1919-2012), Grand Résistant, Déporté, ministre du général de Gaulle (1958-1962), Préfet de Loir-et-Cher, Député et maire de Blois (1971-1989).
- Jack Lang (1939-), ministre de la Culture et de l'Éducation de François Mitterrand, maire de Blois de 1989 à 2000.
- Bernard Boucault, préfet de police de Paris (depuis 2012).
Artistes
- Étienne Gaudet (1891-1963), graveur et peintre.
- Niro (1987-), rappeur français.
Intellectuels
- Vital de Blois, écrivain français du XIIe siècle.
- Pierre de Blois (en latin Petrus Blessensis), diplomate et poète latin du XIIe siècle.
- Antoine Boësset (1587-1643), chanteur et compositeur, surintendant de la Musique de Louis XIII.
- Gaston d'Orléans (né 1608 à Fontainebleau, mort en 1660 à Blois), oncle de Louis XIV. Construit une aile du château de Blois et y décède.
- Florimond de Beaune, (1601-1652), juriste, conseiller au présidial de Blois et mathématicien.
- Denis Papin (1647-1712), physicien, mathématicien et inventeur.
- Augustin Thierry (1795-1856) historien français, né à Blois.
- Jean-Eugène Robert-Houdin (1805-1871), magicien.
- Victor-Auguste Poulain (1825-1918), chocolatier et créateur éponyme en 1848 de la marque de chocolat.
- Alfred Jean Halou (1875-1939), sculpteur français né à Blois et décédé à Paris. Il réalisa à Blois le monument aux morts de la guerre de 1870.
- René Guénon (1886-1951), métaphysicien.
- Bernard Lorjou (1908-1986), peintre, né à Blois.
- Philippe Ariès (1914-1984), historien et journaliste.
- Michel de Grosourdy, marquis de Saint-Pierre (1916-1987), écrivain français né à Blois.
- Françoise Xenakis (1930-), écrivaine et journaliste, née à Blois.
- Maxime Schwartz (1940-), directeur de l'Institut Pasteur, né à Blois.
- Pierre Rosanvallon (1948-), né à Blois, historien et intellectuel français.
- Claudine Doury (1959-), photographe, née à Blois.
- Jean-Louis Agobet (1968-), compositeur français, Victoire de la Musique classique en 2006, né à Blois le 21 avril 1968.
Sportifs
- Sonia Bompastor (1980-), footballeuse française, ayant notamment joué pour l'Olympique Lyonnais et l'Équipe de France, aujourd'hui directrice sportive de la section féminine de l'Olympique Lyonnais, ainsi que commentatrice sportive pour W9 à l'Euro féminin 2013.
- Ahmed Kantari (1985-), footballeur franco-marocain évoluant au RC Lens, est né à Blois.
- Aly Cissokho (1987-), footballeur français évoluant dans le club de Liverpool, est né et a étudié à Blois[18].
- Maurice Forget (1944-2010), passionné et sponsor de rallycross, est né à Blois.
- Alexis Tanghe (1990-), basketteur français né à Blois, évoluant actuellement à la JL Bourg-en-Bresse en Pro B, formé dans la ville voisine de La Chaussée-Saint-Victor, puis à l'ADA Blois.
- Corentin Jean (1995-) footballeur français, évoluant en Ligue 2, à Troyes. International en moins de 19 ans, il a grandi en Loir-et-Cher, et a joué 2 ans au Blois Foot 41.
- Philippe Gondet (1942-) footballeur international français, champion de France en 1965 et 1966 avec le FC Nantes. Lors de la saison 1965/1966, il a inscrit 36 buts. Record en cours
Religieux
- L'abbé Grégoire a été évêque de Blois de 1791 à l'an 1800.
Télévision
- Sophie Ferjani (1977-), née à Blois, décoratrice d'intérieur sur les émissions Maison à vendre, 100% mag, Teva déco.
Lieux et monuments
Blois est classée Ville d'art et d'histoire.
Quartiers de Blois
- Sud (plus de 9 900 habitants) :
Vienne, La Boire, Creusille, Bas-Rivière, zones industrielles et commerciales - Est (plus de 6 000 habitants) :
Hôpital, Villejoint, Basilique, Cornillettes, Poudrette, zones industrielles et commerciales - Ouest (plus de 9 800 habitants) :
Grouets, Quinière, Saint-Georges, Foch, Cabochon - Centre-ville (plus de 6 800 habitants) :
Cathédrale, Château, Gare, place Louis-XII (quartiers historique) - Nord (dit aussi « ZUP nord ») (plus de 20 000 habitants) :
Croix-Chevalier, Kennedy, Coty, Marcel Doret, Mirabeau, Sarrazines, Villiersfins, Pinçonnière, Dumont d'Urville, Montgolfiers, parc de l'Arrou
Les quartiers nord sont principalement représentés par le grand ensemble ZUP qui compte plus de 18 000 habitants.
La ZUP de Blois est classée parmi les plus grandes ZUP de France. Elle représente près du tiers des habitants de la ville de Blois.
Voies
434 odonymes recensés à Blois au 1er février 2014 | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Clos | Impasse | Montée | Passage | Place | Promenade | Route | Rue | Ruelle | Sentier | Autres | Total |
42 | 23 | 10 | 54 | 1 [N 1] | 28 [N 2] | 1 [N 3] | 2 [N 4] | 40 | 3 [N 5] | 3 [N 6] | 151 [N 7] | 14 | 7 | 55 [N 8] | 434 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & perche-gouet.net & OpenStreetMap |
Édifices civils et lieux remarquables
- Autour du château se trouvent différents points d'attrait :
- la Place du Château est l'ancienne avant-cour du château, jadis entourée de maisons de dignitaires de la cour. Côté Sud, les jardins offrent une belle vue sur les toits de la ville ;
- la Maison de la Magie évoque le magicien Robert-Houdin, natif de Blois ;
- la rue de la Voûte du Château marque l'emplacement de la porte principale de la forteresse médiévale, protégée par une tour située entre la salle des États et le pignon de l'aile François Ier ;
- le Jardin des Lices (aussi appelé jardin des Lys en référence à l'emblème royal), créé en 1992 par Gilles Clément, occupe une partie des anciens jardins royaux créés par Louis XII au début du XVIe siècle. Ses parterres évoquent un jardin clos de la Renaissance. Il offre une belle vue sur la façade des Loges (1520) et sur la ville, avec l'église Saint-Vincent (XVIIe siècle) et le pavillon d'Anne de Bretagne (1500), ancien belvédère des jardins royaux ;
- la Place des Lices offre une vue étendue sur la vallée de la Loire et l'église Saint-Nicolas ;
- la Rampe des fossés du château permet d'admirer la façade extérieure de l'aile Gaston d'Orléans (1635-38), œuvre de François Mansart ;
- les fortifications de la ville et du château, inscrites aux monuments historiques le 6 novembre 1942[19] ;
- la Fontaine Louis-XII, classée aux monuments historiques par la liste de 1840[20] ;
- des maisons de la fin du XVe siècle et du début du XVIe siècle, en bois ou en pierre, longent la rue Saint-Lubin, ainsi que des boutiques d'antiquaires, des libraires et des restaurants. La maison, 38, rue Saint-Lubin est inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[21] ; celle du 36, rue Saint-Lubin également[22].
- La cour de l'Hôtel de ville est celle de l'ancien palais des évêques de Blois, construit en 1700 par Jacques V Gabriel. Il est classé aux monuments historiques le 25 juin 1930[23]
- Les Jardins de l'Évêché en terrasse dominent la vallée de la Loire et offrent une vue étendue sur la ville. La terrasse basse, aménagée en roseraie, contient des centaines de variétés rares. Des fouilles effectuée en 2010 ont mis au jour un ancien cimetière dont l'origine exacte est encore inconnue à ce jour.
- Le pont Jacques-Gabriel (classé aux monuments historiques), œuvre de Jacques V Gabriel fut édifié à partir d'avril 1717 et achevé en 1724. Sa construction fait suite à la destruction en 1716 de l'ancien pont médiéval situé 70 mètres en aval. Il comprend 11 arches, mesure 283 mètres de long et est surmonté d'une pyramide haute de 14,60 mètres. Il est également le dernier pont en dos d'âne construit sur la Loire. Depuis sa construction, plusieurs arches ont été détruites durant les différents conflits de notre histoire : en 1793 pour s'opposer au franchissement par les Chouans, en 1870 pour retarder l'invasion prussienne, en juin 1940 pour retarder l'armée allemande et le 16 août 1944 cette fois-ci par l'armée allemande en déroute qui fit sauter les 3 arches centrales. Actuellement subsistent 3 arches d'origine.
- Pyramide du pont. Dans la traversée de Blois, sur l'arche centrale du pont Jacques-Gabriel enjambant la Loire se dresse la réplique de la pyramide décorée des armes de France qui avait été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Jardin des plantes médicinales, créé en 1981.
- Le Palais de justice est inscrit aux monuments historiques le 14 décembre 1977[24], le même jour que la préfecture de Loir-et-Cher, dans l'ancien couvent de la Visitation[25].
- Square Victor-Hugo.
- Collège des Jésuites, inscrit aux monuments historiques le 31 mai 1928[26].
- Haras national, inscrits aux monuments historiques le 27 février 1992[27].
- Hôtel-Dieu, inscrit aux monuments historiques le 25 novembre 1946[28].
- Chocolaterie Poulain (et notamment l'usine de La Villette, et la demeure patronale, le « Château Poulain ») inscrite partiellement aux monuments historiques le 24 novembre 1997[29].
- Halle aux grains inscrite aux monuments historiques le 3 juin 1982[30].
- Autres hôtels et maisons remarquables :
- Maison Calcat, aussi dite Logis du Loup, inscrite aux monuments historiques le 28 mars 1997[31] ;
- Maison de l'Acrobate, classée aux monuments historiques le 22 avril 1922[32] ;
- Maison de Denis Papin, inscrite aux monuments historiques le 28 décembre 1928[33] ;
- Maison de la Chancellerie, inscrite aux monuments historiques le 3 décembre 1930 et le 2 octobre 1946[34] ;
- Buvette de la Renaissance, inscrite aux monuments historiques le 23 novembre 1946[35] ;
- Graineterie de Marmoutier, ou maison la Tupinière, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[36] ;
- Hôtel de Bretagne, ou Hôtel de la Capitainerie inscrit aux monuments historiques le 23 novembre 1946[37] ;
- Hôtel Jacques de Moulins, ou Hôtel de Rochefort, inscrit aux monuments historiques le 30 août 1945[38] ;
- Hôtel de Condé inscrit aux monuments historiques le 1er novembre 1933[39] ;
- Hôtel d'Épernon inscrit aux monuments historiques le 8 décembre 1938[40] ;
- Hôtel d'Amboise inscrit aux monuments historiques le 8 décembre 1938[41] ;
- Hôtel de Jassand inscrit aux monuments historiques le 18 décembre 1928[42] ;
- Hôtel de Lavallière, en partie inscrit, en partie classé aux monuments historiques[43] ;
- Hôtel Sardini, en partie inscrit, en partie classé aux monuments historiques[44] ;
- Hôtel d'Alluye classé aux monuments historiques le 6 novembre 1929[45] ;
- Hôtel Denis-Dupont classé aux monuments historiques le 10 avril 1931[46] ;
- Hôtel de Guise inscrit aux monuments historiques le 2 mars 1934[47] ;
- Hôtel Viart inscrit aux monuments historiques le 6 mars 1929[48] ;
- Hôtel de Belot classé aux monuments historiques par la liste de 1889[49] ;
- Maison, 2, carrefour Saint-Michel, inscrite aux monuments historiques le 17 avril 1931[50] ;
- Maison, 20, rue du Vieux-Pont, inscrite aux monuments historiques le 28 décembre 1928[51] ;
- Maison, 25, rue des Violettes, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[52] ;
- Maison, rue Porte-Chartraine, inscrite aux monuments historiques le 27 mai 1932[53] ;
- Maison, 41 bis, rue du Commerce, inscrite aux monuments historiques le 17 avril 1931[54] ;
- Maison, 48, 50, rue Denis-Papin, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[55] ;
- Maison, 11, rue Fontaine-des-Élus, inscrite aux monuments historiques le 5 juin 1941[56] ;
- Maison, 30, rue de la Foulerie, inscrite aux monuments historiques le 28 novembre 1946[57] ;
- Maison, 6, rue Pierre-de-Blois, inscrite aux monuments historiques le 19 avril 1928[58] ;
- Maison, 15, rue des Carmélites, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[59] ;
- Maison, 4, rue des Papegaults, inscrite aux monuments historiques le 17 février 1928[60] ;
- Maison, 14, rue des Papegaults, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[61] ;
- Maison, 8, rue Pardessus, inscrite aux monuments historiques le 25 novembre 1946[62] ;
- Maison, 1, rue Pierre-de-Blois, inscrite aux monuments historiques le 19 avril 1928[63] ;
- Maison, 4, rue Pierre-de-Blois, inscrite aux monuments historiques le 17 février 1928[64] ;
- Immeuble, 6, 8, 12, rue Chemonton, inscrit aux monuments historiques le 28 décembre 1928[65].
- Le Château de la Vicomté, inscrit aux monuments historiques le 2 décembre 1946[66] est un peu à l'écart de la ville.
Patrimoine religieux
- La cathédrale Saint-Louis a été rebâtie à diverses reprises aux XIIe, XVIe et XVIIe siècles sur une crypte carolingienne. L'essentiel date d'après 1680 et est érigé en style gothique classique. Le clocher date du milieu du XVIe siècle. Les vitraux ont été faits par l'artiste hollandais Jan Dibbets.
- L'église Saint-Vincent-de-Paul est classée aux monuments historiques le 8 août 1917[67].
- L'église Saint-Nicolas est une ancienne abbatiale bénédictine, liée à l'abbaye Saint-Laumer, dont le chœur et le transept ont été édifiés entre 1138 et 1186, début de l'art gothique, alors que la nef, inspirée de la cathédrale de Chartres, et les tours datent du début du XIIIe siècle.
- L'abbaye Saint-Laumer, ensuite devenue Hôtel-Dieu, a été classée pour une partie et inscrite pour une autre aux monuments historiques[68]. La fontaine Saint-Nicolas qui servait aux moines bénédictins est accolée à l'édifice ; elle a été inscrite aux monuments historiques le 27 décembre 1946[69].
- L'église Saint-Saturnin se trouve sur la rive gauche de la Loire. Ancienne église paroissiale du quartier de Vienne, elle fut reconstruite sur ordre d'Anne de Bretagne au début du XVIe siècle jusque 1650 et ne fut jamais achevée. Elle fut un lieu de pèlerinage à la Vierge. Le cloître associé est un ancien cimetière monumental. Construit de 1516 à 1520, il abrite aujourd'hui les collections lapidaires de la ville.
- La crypte de Bourgmoyen, et des colonnes de l'église Notre-Dame de Bourgmoyen sont les seuls vestiges de l'abbaye de Bourgmoyen. La crypte est inscrite le 11 juillet 1945 aux monuments historiques[70], l'église le 28 décembre 1928[71].
- Le prieuré Saint-Jean-en-Grève est détruit, il n'en reste qu'un cellier, qui a été inscrit le 11 août 1992 aux monuments historiques[72].
- La basilique Notre-Dame de la Trinité, classée le 28 novembre 1996 aux monuments historiques[73], possède un carillon renommé.
Transports doux
L'EuroVelo 6 ou EV6, également connue sous le nom d' « Eurovéloroute des Fleuves », est une véloroute de type EuroVelo qui traverse Blois en reliant Saint-Nazaire à Constanţa[74]. C'est la plus célèbre véloroute européenne, longue de 3 653 km, elle traverse l'Europe d'Ouest en Est, de l'Océan Atlantique à la Mer Noire en passant par dix pays. Elle suit l'itinéraire de trois des plus grands fleuves européens : la Loire, le Rhin et le Danube.
Musées
- Musée archéologique
- Musée des beaux-arts
- Musée de l'objet
- Maison de la magie
- Muséum d'histoire naturelle
- Astrespace
- Musée diocésain d’art religieux de Blois
- Musées de la Résistance
Enseignement
Universités et écoles supérieures
- École nationale supérieure de la nature et du paysage (ENSNP)
- École nationale d'ingénieurs du Val de Loire (ENIVL, réseau ENI) aujourd'hui INSACVL
- Université François-Rabelais, campus de Blois, licence et master Informatique
- IUT (section SRC, R&T, SGM, et MP)
- Classes préparatoires scientifiques (MPSI et MP) au lycée Dessaignes[75]
- Licence Droit, Économie et Gestion mention Droit
- IFSI (Institut de formation en soins infirmiers)
- IUFM et CFP
- École des techniques d'image et de communication (ETIC)
- BTS dans les lycées (BTS NRC, MUC, AM, CGO au lycée Dessaignes par exemple)
Lycées publics
- Lycée horticole de Blois
- Lycée d'hôtellerie et de tourisme du Val de Loire
- Lycée Camille-Claudel
- Lycée Augustin-Thierry
- Lycée Dessaignes[76]
- Lycée professionnel Sonia-Delaunay
Lycées privés
- Lycée Notre-Dame-des-Aydes
- Lycée Sainte-Marie-de-Blois
- Lycée professionnel La-Providence
Jumelages
La ville de Blois est jumelée avec plusieurs villes étrangères[77] :
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Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[78],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 46 351 habitants, en augmentation de 0,73 % par rapport à 2009 (Loir-et-Cher : 1,71 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Immigration
Selon Michèle Tribalat, en 2005, un jeune de moins de 18 ans sur trois vivant à Blois est d’origine étrangère (dont 13 % d’origine maghrébine, 8 % d’origine subsaharienne et 6 % d’origine turque). Ces trois origines réunies (27 %) placent Blois au niveau de Marseille et de Villeurbanne[81].
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,9 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,7 %, 15 à 29 ans = 24,4 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 17,5 %) ;
- 52,9 % de femmes (0 à 14 ans = 15,8 %, 15 à 29 ans = 21,7 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 19,5 %, plus de 60 ans = 24,7 %).
Festivités
- Festival Tous sur le pont, 2003-2009, consacré à la chanson, mis entre parenthèses par la municipalité Gricourt car jugé trop onéreux (édition 2008 : environ 1 000 000 €).
- Festival Des lyres d'été : animations diverses en centre-ville et dans les quartiers, et mise en place de la Guinguette sur le port de la Creusille.
- Les Rendez-vous de l'histoire mi-octobre, consacré à l'histoire.
- BD Boum : festival consacré à la BD se déroulant en novembre.
- Festival Des lyres d'hiver de début décembre aux premiers week-ends de janvier, avec des animations diverses en centre-ville et dans les quartiers, patinoire, piste de luge et marché de Noël.
- Le 23 avril 2005, a eu lieu le 16e Concours des Vins Vinifiés par le Vigneron Indépendant qui est un concours itinérant visant à promouvoir le vin et les vignerons. C'est d'ailleurs à cette occasion que son nom a changé pour s'appeler désormais Concours des Vins des Vignerons indépendants. Lors de cette manifestation, 364 médailles d'or, 426 médailles d'argent et 228 médailles de bronze ont récompensé les meilleurs vignerons de France.
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 22/07/2008.
- La tour d’argent, « ancien hôtel de la Monnoie de Blois », lithographie de Ch. Pensée d’après un dessin de Louis de La Saussaye fait avant 1836, car la lithographie en est publiée en frontispice de la Revue numismatique, revue dirigée par E. Cartier et L. de la Saussaye, de la société royale des antiquaires de France et de plusieurs autres sociétés archéologiques françoises et étrangères, Volume 1 (1836), no 4 ; par la Société française de numismatique, 490 pages
- Yves Denis (dir.), Histoire de Blois et de sa région, Toulouse, Privat, , 318 p. (ISBN 2-708-98258-3 et 978-2-708-98258-1, OCLC 20453935), 18-19
- Léon Fleuriot, Les origines de la Bretagne l'émigration, Paris, Payot, , 353 p. (ISBN 978-2-228-12711-0, OCLC 257294643)
- Michel Dillange, Les Comtes de Poitou, ducs d'Aquitaine : 778-1204, Mougon, Geste éd., coll. « Histoire », , 303 p., ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-910919-09-9, ISSN 1269-9454, BNF 35804152), p. 56.
- Yves Denis (dir.), Histoire de Blois et de sa région, Toulouse, Privat, , 318 p. (ISBN 2-708-98258-3 et 978-2-708-98258-1, OCLC 20453935), partie 34
- Yves Denis (dir.), Histoire de Blois et de sa région, Toulouse, Privat, , 318 p. (ISBN 2-708-98258-3 et 978-2-708-98258-1, OCLC 20453935), partie 40
- Jewish Encyclopedia de 1901–1906, article « JACOB BEN MEÏR TAM » par Solomon Schechter et Max Schloessinger
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p. 232
- Bruno Guignard, Blois de A à Z, Alan Sutton, 2007, ISBN 978-2-84910-621-1
- Petits portraits et notes d'art, Gustave Larroumet, Hachette (Paris), 1897-1900 Lire en ligne
- Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
- Les démolitions
- Les constructions
- Le Journal de la Sologne, printemps 2010, p. 11
- « Maison », notice no PA00098349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Fontaine Louis XII », notice no PA00098347, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098384, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098383, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Ancien évêché », notice no PA00098346, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Palais de Justice », notice no PA00098390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098392, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Ancien collège des Jésuites », notice no PA00098340, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Haras », notice no PA000983668, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Restes des bâtiments de l'ancien Hôtel-Dieu », notice no PA000983654, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Chocolaterie Poulain », notice no PA41000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Halle aux grains », notice no PA00098350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison Calcat dite Logis du Loup », notice no PA41000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison », notice no PA00098381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison dite de Denis Papin, ou hôtel de Villebresme », notice no PA00098375, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison de la Chancellerie », notice no PA00098371, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison dite Buvette de la Renaissance », notice no PA00098361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison dite la Tupinière ou Graineterie de Marmoutier », notice no PA00098368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison dite Hôtel de Bretagne ou Hôtel de la Capitainerie », notice no PA00098386, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison, dite Hôtel Jacques de Moulins ou Hôtel de Rochefort », notice no PA00098369, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison dite Hôtel de Condé », notice no PA00098370, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Hôtel d'Épernon », notice no PA00098356, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Hôtel d'Amboise », notice no PA00098352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Ancien hôtel de Jassand », notice no PA00098357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 6 novembre 2011
- « Maison dite Hôtel de Lavallière », notice no PA00098380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Hôtel Sardini », notice no PA00098358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Hôtel d'Alluye », notice no PA00098351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Hôtel Denis-Dupont », notice no PA00098355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison dite Hôtel de Guise », notice no PA00098363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Hôtel Viart », notice no PA00098359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Ancien hôtel de Belot », notice no PA00098353, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098385, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098387, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098388, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098379, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098365, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098378, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098372, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098373, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Maison », notice no PA00098377, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- « Immeuble », notice no PA00098360, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Château de la Vicomté », notice no PA00098338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Église Saint-Vincent », notice no PA00098345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Ancienne abbaye Saint-Lomer, ou ancien Hôtel-Dieu », notice no PA00098334, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Fontaine Saint-Nicolas », notice no PA00098348, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Crypte de Bourgmoyen », notice no PA00098341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Ancienne église du Bourgmoyen », notice no PA00098342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Ancien prieuré Saint-Jean-en-Grève », notice no PA00098672, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 21 janvier 2012
- « Basilique Notre-Dame de la Trinité », notice no PA00132568, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 22 janvier 2012
- EV6 c'est quoi ? - Eurovelo6.org Site édité par le Conseil Régional du Centre. L’EuroVelo 6 Atlantique-Mer Noire est l’un des 12 itinéraires du réseau EuroVelo 6 né à l’initiative de la Fédération européenne des cyclistes (ECF) (...). Son objectif est de suivre trois des plus grands fleuves européens, creusets de la civilisation européenne : la Loire, le Rhin et le Danube. Elle traverse donc la France, la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Serbie, la Croatie, la Bulgarie et la Roumanie.
- Site des classes préparatoires de Blois
- Site du lycée
- jumelages de Blois
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Michèle Tribalat, Les Yeux grands fermés, Denoël, 2010, p. 155-160
- « Évolution et structure de la population à Blois en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population du Loir-et-Cher en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
- Château de Blois
- Liste des communes de Loir-et-Cher
- Liste des évêques de Blois
- Abeille des Aydes Blois Basket
- Hôtel de préfecture de Loir-et-Cher
- Tramway de Blois