Liste de maisons et de familles (généalogie)

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Liste de maisons.

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A[modifier | modifier le code]

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  • Maison d'Albret
    Simples propriétaires à l’origine de quelques arpents de terre noble constituant leur fief autour du château de Labrit, au cœur du désert landais, ils s’enrichissent progressivement en faisant le métier de convoyeur de caravanes, leur offrant les moyens de rassembler une armée de hors-la-loi grâce à laquelle ils étendent leur domaine vers l'océan Atlantique et la Garonne, qu’ils atteignent au milieu du XIIIe siècle. Fidèles à la cause anglaise tant qu’ils y trouvent un profit, ils se rapprochent finalement du roi de France Charles V, qui confère à l’un d’eux, Charles Ier d'Albret, la dignité de connétable de France, la première du royaume, en 1402. La maison d’Albret poursuit sa continuelle ascension, comblée des faveurs de Charles VI puis de Charles VII. Ils prennent possession du comté de Foix, finissent par se hisser jusqu’au trône de Navarre grâce au mariage de Jean III de Navarre avec Catherine de Navarre, le succès et une suite de mariages profitables les ayant favorisés jusqu’au bout. La maison d'Albret est à l'origine une famille de petite noblesse dont le berceau se situe à Labrit, dans les Landes. Chassant les dots, captant les héritages, achetant lorsqu'il le faut, jouant un jeu subtil et parfois dangereux dans le conflit qui, depuis la fin du XIIIe siècle, oppose le roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine, au roi de France, les Albret comptent en quelques décennies parmi les plus puissants seigneurs du duché.
  • Maison d'Ardenne
    La maison d'Ardenne ou Dardenne (ou Wigéricides) est l’une des premières familles nobles européennes médiévales documentées la dynastie comtale post-carolingienne qui descend du comte palatin de Lotharingie, Wigéric de Bidgau d'Ardenne (cit. 899 ; † avant 921/922).
  • Maison capétienne d'Artois
    La maison capétienne d'Artois est une branche de la dynastie capétienne issue de Robert Ier (1216 † 1250), fils de Louis VIII le Lion, roi de France, qui lui donna en apanage le comté d'Artois. À la mort de Robert II (1302), la succession fut réclamée par sa fille Mahaut et son petit-fils Robert III. Robert III, héritier légitime du comté, fut dépossédé de celui-ci à la mort de son grand-père par sa tante Mathilde (« Mahaut d'Artois »), celle-ci arguant d'une coutume artésienne écartant les morts de la représentation successorale (le père de Robert III étant décédé avant son grand-père Robert II, il n'est que le petit-fils alors que Mathilde est la fille). Il s'ensuivit un long procès qui fut perdu par Robert III, le jugement final, rendu par le roi de France Philippe IV paraissant avoir été fortement influencé par l'alliance bourguignonne (de la comté) de Mahaut d'Artois. Le Parlement de Paris trancha en faveur de Mahaut, et Robert III et la seigneurie de Beaumont-le-Roger. Il fut condamné pour avoir produit des faux documents et ses terres confisquées. Le fils de ce dernier, Jean d'Artois, obtint vingt ans après le comté d'Eu en 1350. La branche s'éteignit en 1472.
  • Maison d'Armagnac
    L'histoire de la maison d'Armagnac est l'une des plus riches de la noblesse française non seulement par ses personnalités mais plus encore par l'intérêt historique de ses liens avec la maison royale de France. Au XVe siècle, avec la maison de Bourgogne qui est alors la plus puissante et la plus illustre maison féodale du royaume de France, elle est l'une des familles françaises qui représente le mieux l'histoire des liens compliqués entre la haute féodalité et la souveraineté des Capétiens. Elle est décrite par des historiens, tel Barrau, comme fière, orgueilleuse, belliqueuse.
  • Maison d'Avesnes
    La maison d'Avesnes est une famille noble du Nord de la France, des Flandres et de la Hollande.

B[modifier | modifier le code]

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Armes de Bade
Armes de Bade
  • Maison de Beauvoir-Chastellux
    La maison de Beauvoir-Chastellux, encore représentée de nos jours, est originaire de Bourgogne. Elle doit son nom à une terre de l'Avallonnais (commune actuelle de Sauvigny-le-Beuréal) et a peu à peu acquis des terres et des charges importantes, à la fois par ses alliances avec de puissantes familles, mais aussi en récompense des services rendus aux ducs de Bourgogne et aux rois de France. Ses principaux membres ont suivi la carrière des armes.
  • Maison de Belgique
    La maison de Belgique est l'actuelle famille royale de Belgique. Autrefois appelée maison de Saxe-Cobourg-Gotha, elle est issue du premier roi des Belges, Léopold Ier, né prince de Saxe-Cobourg-Saalfeld. Comme ce fut le cas pour la branche britannique de la maison de Saxe-Cobourg et Gotha (issue du prince Albert) devenue maison Windsor, le nom de la maison de Saxe-Cobourg et Gotha fut modifié officieusement dans un contexte de fort sentiment anti-germanique né de la Première Guerre mondiale, laissant s'installer l'expression de Belgique pour la famille royale belge.
  • Famille Borgia
    Borgia est le nom italianisé de la famille Borja, d'origine valencienne (Espagne), qui a eu une grande importance politique dans l’Italie du XVe siècle. Elle a fourni deux papes, ainsi que plusieurs autres personnages, dont quelques-uns ont acquis une fâcheuse renommée. La famille Borgia a subi une légende noire forgée par ses ennemis politiques. Les Borgia furent accusés pêle-mêle d'empoisonnement, de fratricides, d'incestes... Cette légende a contribué à faire des Borgia les symboles de la décadence de l'Église à la fin du Moyen Âge.
  • Maison de Breuberg
    La maison de Breuberg est issue des seigneurs de Luetzelbach (1160) en Franconie qui ensuite deviendront bailli impérial héréditaire de la Vettéravie et gouverneur général de Thuringe. Elle a, entre autres, donné un certain nombre de prince-évêques et d'archevêques par intermédiaire de leurs descendants les barons et vicomtes de Frankenstein.
  • Maison de Brienne
    La maison de Brienne est une maison noble de France, issue de la Champagne, dont plusieurs membres se sont illustrés en France, en Italie et en Orient[1].
  • Maison de Brosse
    La maison de Brosse originaire du Berry est issue des vicomtes de Limoges est donnée comme éteinte en 1564[2],[3]. Elle a donné des chevaliers bannerets et bacheliers, un maréchal de France Jean Ier, plusieurs ducs de Bretagne. Liste des comtes et ducs de Penthièvre, un lieutenant général et plusieurs autres officiers généraux, des conseillers et chambellans de nos rois, des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel, avant l'institution de celui du Saint-Esprit, nombre d'officiers supérieurs, des gouverneurs de places ; un archevêque de Sens, en 1258 ; un évêque au Puy, en 1317 ; de Meaux, en 1318, archevêque de Bourges, en 1321, et enfin, de Sens, en 1330, etc. Cette maison a possédé entre autres terres titrées, la vicomté de Brosse, la baronnie de Boussac, la vicomté de Bridiers, le comté de Penthièvre et le comté d'Étampes, érigé en duché pour Jean de Brosse, dit de Bretagne, et Anne de Pisseleu, sa femme, en 1536. Ses principales alliances sont avec les maisons d'Angoulême, de Déols, de Sancerre, de la Tour d’Auvergne, de Blois, de Bourgogne-Nevers, de Savoie, de Montferrat, de Laval, de Bretagne-Avaugour, de Luxembourg, etc[4].

C[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Castellane. Famille subsistante de la noblesse française, d'extraction féodale, originaire de Provence qui se divisa en un grand nombre de branches, dont la plupart sont aujourd'hui éteintes. Elle tire son nom de la petite ville de Castellane, en Haute-Provence, que ses premiers seigneurs possédaient en toute souveraineté depuis le Xe siècle[5]. Selon les anciens historiens, il y a plusieurs hypothèses sur l'origine de la famille de Castellane (issue de la maison de Castille, des comtes d'Arles et de Provence, des marquis de Toscane, ou encore d'une seigneur appelé Guillaume qui au Xe siècle se serait emparé de la citadelle de Castellane), mais aucune n'a été prouvée à ce jour[5]. Sa filiation est établie depuis Boniface, sire ou baron de Castellane, vivant en 1089, qui fut cette année-là choisi avec d'autres seigneurs provençaux pour servir d'arbitre entre les abbés de Saint-Victor-les-Marseille et de Saint-Honoré de Lérins[5]. Armes : de gueules, à la tour donjonnée de trois pièces d'or, celle du milieu supérieure.
  • Maison de Castelnou
    La maison de Castelnou est une famille noble originaire du Roussillon. Les vicomtes de Castelnou dominèrent le Vallespir du Xe siècle au XIVe siècle. C’est avec la mort en 1321 de Jaspert V de Castelnou que la lignée s’éteint (sa fille et héritière étant morte avant d’avoir pu se marier).
  • Maison de Clermont-Tonnerre
    La famille de Clermont-Tonnerre est une famille noble française d'extraction chevaleresque, dont la filiation est prouvée depuis la fin du XIe siècle. Elle est originaire du Dauphiné, du petit village de Clermont (faisant aujourd'hui partie de la commune de Chirens) situé en haut d'une colline près du Lac de Paladru. Non loin de ce village subsistent les magnifiques ruines d'un château féodal construit au XIIe siècle par les premiers Clermont. D'après la légende, ce nom de Clermont viendrait de la situation géographique de leur château sur un mont, éclairé par le soleil, Clair-mont. Leurs premières armes étaient d'ailleurs parlantes : un mont surmonté d'un soleil. Le comté de Tonnerre (Tonnerre) leur est venu à la fin du XVIe siècle du mariage de Bernardin de Clermont, vicomte de Talart, avec Anne d'Husson, comtesse héritière de Tonnerre en 1496. Le duché de Clermont a été créé au XVIe siècle en faveur d'Henri de Clermont.
  • Maison de Coucy
    La maison de Coucy est le nom de deux familles :
    • la première, qui tire son origine d'un comte de Chartres, en 965, s'est divisée en deux branches, dont l'une s'éteignit en 1213, et dont l'autre, qui prit le nom de Coucy-Vervins, subsiste encore.
    • La deuxième famille, issue en 1213 d'Enguerrand de Guines, neveu du dernier sire de Coucy, s'est éteinte en 1400 dans la personne de Marie de Coucy, épouse du comte de Bar.
  • Maison de Croÿ
    La famille de Croÿ est une ancienne et illustre maison de la noblesse européenne. La maison de Croÿ est du nombre de ces grandes familles dont le nom et l'existence politique se trouvent liés depuis plusieurs siècles à tous les évènements remarquables de l'histoire. Un caractère qui lui est propre, ou du moins qu'elle ne partage qu'avec très peu de maisons illustres. C'est que plus, on remonte vers le berceau de son origine, plus on trouve de monuments qui attestent de sa noblesse, de sa puissance et de son antique splendeur. Elle fut admise à siéger, parmi les princes, aux diètes de l'Empire, depuis l'année 1486. Longtemps avant cette époque et, depuis, sans interruption, la maison de Croÿ n'a pas cessé d'être appelée aux places les plus éminentes du clergé, de la diplomatie, de la cour et des armées de France, en Bourgogne, en Allemagne, en Espagne et aux Pays-Bas. On trouve les premières traces de la maison de Croÿ au XIIe siècle, en Picardie. Elle a pris son nom du village de Crouy (Somme). La maison de Croÿ descend des rois de Hongrie, de la dynastie des Árpád, que la légende fait remonter à Attila. Marc de Hongrie, chassé par son frère et dépossédé de son royaume, se serait réfugia en France, en 1147, où il aurait épousé Catherine de Croÿ. La seigneurie de Croÿ fut élevée au rang de duché par le roi Henri IV en 1598 en faveur de Charles de Croÿ, duc d'Aerschot, droit confirmé par Louis XV en 1768.
  • Maison de Crussol
    Le duché d'Uzès, souvent appelé le 1er duché de France, est le plus ancien duché pairie subsistant en France. La vicomté d'Uzès est érigée en Duché en 1565 et en Pairie en 1572 par Charles IX. Depuis, au Parlement et au sacre du roi, le duc d'Uzès, premier pair de France, comte de Crussol, prince de Soyons, a préséance sur toutes les maisons nobles de France. À la Cour, seul le duché de la Trémoille créé en 1563 (éteint au début du XXe siècle) avait rang sur lui après la disparition sous Louis XIII du premier duché de Montmorency en 1632.

D[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Dampierre
    La maison de Dampierre (éteinte) fut une famille qui posséda à partir de vers 1227 la seigneurie de Bourbon-l'Archambault, jusqu'à ce que cette dernière passe par mariage en 1287 à la maison de Bourgogne, puis en 1310 à la maison de Clermont, branche qui reprendra plus tard le nom de Bourbon, jusqu'à son accession au trône de Navarre en 1555). La maison de Dampierre hérita de la seigneurie de Bourbon par le mariage vers 1196 de Guy de Dampierre avec Mathilde de Bourbon. La maison de Dampierre dirigea également le comté de Flandre.

E[modifier | modifier le code]

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  • Maison d'Este
    La maison d'Este est une famille originaire de la ville d'Este, en Vénétie, et dont la généalogie remonte à Azzo II († 1097), marquis d'Este.

F[modifier | modifier le code]

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Armoiries des Comtes de Foix
  • Maison de France
    La maison de France incarnait sous l'Ancien Régime la continuité des institutions politiques du royaume de France, dans ses relations avec les souverains des autres pays. Elle comportait à la fois une dimension patrimoniale (le domaine royal) et familiale (la famille royale). Cette continuité a été permise par la succession des différentes dynasties qui ont régné sur la France, à partir de 987 les Capétiens et leurs différentes branches. La politique d'alliances familiales avec les autres maisons princières ou royales permettant d'asseoir la paix, de contrôler les frontières, et d'établir durablement le domaine royal en reprenant le contrôle des anciens apanages sans héritier.
  • Maison de Frankenstein
    La maison de Franckenstein descend de la dynastie féodale des seigneurs et baillis impériaux de Breuberg, par intermédiaire de son fondateur Conrad de Breuberg en 1252, qui se nomma ensuite Conrad von und zu Frankenstein. Elle a, entre autres, donné un certain nombre de prince-évêques, d'archevêques au Saint Empire Germanique ainsi que des députés au royaume de Bavière et l'empire Allemand.

G[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Gramont
    La famille de Gramont est une maison ducale de la noblesse française. Sa terre de Gramont a été érigée en duché-pairie en 1648.

H[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Habsbourg
    La maison de Habsbourg est une importante maison de l'Europe et est connue pour avoir fourni tous les empereurs du Saint-Empire romain germanique entre 1452 et 1740, ainsi que les dirigeants de l'Espagne et de l'archiduché d'Autriche. La dynastie des Habsbourg a pris le nom de Habsbourg-Lorraine en 1780. Illustre maison, qui remonte au VIe siècle et qui tire son nom du château de Habsbourg en Suisse. On la fait descendre d'Ethico, duc d'Alsace, né vers 626, mort vers 690 ; mais sa chronologie ne commence à offrir quelque certitude qu'à partir de Gontran le Riche, comte d'Alsace de 917 à 954. La première mention des ancêtres des Habsbourg date du milieu du Xe siècle, avec Gontran, surnommé le Riche (Guntramnus dives). Dans le but de contrôler les routes commerciales reliant la Germanie et l'Italie, le roi Otton Ier confisqua, lors d'une diète d'Empire à Augsbourg en , une grande partie des possessions situées en Alsace, en Brisgau et en Thurgovie d'un comte, dénommé Gontran (Guntramnus comes), un membre de la famille des comtes éberhardiens du Nordgau (Bas-Rhin). Un solide faisceau d'arguments tend à montrer que ce dernier et Gontran le Riche ne forment qu'un seul et même personnage. Si l'identité s'avérait, la maison de Habsbourg descendrait des Étichonides, l'illustre famille des ducs mérovingiens issue d'Etichon (ou Adalric), régnant aux VIIe siècle et VIIIe siècle sur l'Alsace, dont le membre le plus éminent est sainte Odile.Deux petits-enfants de Guntram le Riche, Radbot et Rodolphe, entrèrent dans l'histoire comme d'actifs bâtisseurs. Le premier, tige du lignage des Habsbourg, jeta les bases du monastère de Muri (Argovie) en Suisse ; le second, mort sans descendance, fonda l'abbaye d'Ottmarsheim en Alsace, un chef-d'œuvre architectural qui se présente comme une réplique de la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle. L'évêque de Strasbourg Werner Ier, (« Werner de Habsbourg »), un frère, beau-frère ou oncle de Radbot et de Rodolphe - l'Histoire n'est pas en mesure de trancher - fonda en Argovie, au début du XIe siècle, la forteresse de la Habichtsburg, le « château des autours », qui donnera son nom à la dynastie issue de Radbot. Jamais les Habsbourg ne devaient habiter leur château éponyme : à sa fondation la Habichtsburg se présente comme un simple avant-poste militaire au service de la politique impériale, face à un royaume de Bourgogne mûr pour tomber dans l'escarcelle de l'Empire.
  • Maison de Habsbourg-Lorraine
    Seule branche actuellement subsistante de la maison de Lorraine, les membres de la maison impériale et royale de Habsbourg-Lorraine sont issus du mariage du duc François III, duc de Lorraine et de Bar (1708-1765), et de Marie-Thérèse de Habsbourg (1717-1780), « roi » de Hongrie et de Bohême et archiduchesse souveraine d'Autriche. Les membres de cette branche, héritant des possessions patrimoniales des Habsbourg et de leur vocation à l'Empire mais descendant en ligne mâle de la maison de Lorraine, accolèrent les deux noms.
  • Maison de Hohenstaufen
    Les Hohenstaufen sont une famille noble du Saint-Empire romain germanique. Au milieu du XIe siècle, la famille Hohenstaufen est l'une des familles les plus puissantes de la partie rhénane du Saint-Empire romain germanique. Son influence fut considérable, alors même qu'elle possédait initialement peu de territoires, limités à trois zones principales : Büren et Lorch (Allemagne), Hagenau, en Alsace (aujourd'hui Haguenau) et Schlettstadt (aujourd'hui Sélestat), et le Hochkönigsburg (le château du Haut-Koenigsbourg). La dynastie Hohenstaufen est connue pour des personnalités éminentes, dont en particulier Fréderic II, empereur romain germanique de 1220 à 1250, ou encore son grand-père Frédéric Ier Barberousse. Conrad III avait été le premier de la lignée à accéder à la dignité impériale, en 1138. Frédéric Ier, nommé duc de Souabe par l'empereur Henri IV, en 1079, valut à la famille son nom, construisant le château Stauf sur le mont Hohenstaufen près de Göppingen. La dynastie s'éteignit assez rapidement avec la mort de l'empereur Frédéric II le . Conrad IV meurt en 1254, Manfred (fils légitimé) lors de la bataille de Bénévent en 1266 face à Charles d'Anjou, frère du roi de France Louis IX. Le dernier descendant masculin en ligne directe, Conradin, fils de Conrad IV, meurt décapité en place publique à Naples en dépit des règles chevaleresques en 1268, à la suite de sa défaite à Tagliacozzo face à l'Angevin Charles Ier de Sicile venu « liquider » l'héritage Hohenstaufen en Italie du Sud. La descendance féminine des Hohenstaufen survit aujourd'hui encore, notamment au sein de la famille royale d'Espagne à la suite du mariage de Constance, fille de Manfred, qui épousa Pierre III d'Aragon.

I[modifier | modifier le code]

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J[modifier | modifier le code]

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K[modifier | modifier le code]

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Mahaut Dominique[modifier | modifier le code]

L[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Lannoy
    La maison de Lannoy est une illustre famille de la noblesse belge, qui doit son nom à la ville française de Lannoy dont ils furent seigneurs. Cette famille d'ancienne chevalerie du Hainaut, dont la filiation prouvée remonte au XIIIe siècle, donna de grands guerriers, des hommes d'État et des chevaliers de la Toison d'or. Après la bataille de Pavie en 1525, le roi de France, Francois Ier, ne voulut remettre son épée qu'au seul comte Charles de Lannoy, vice-roi de Naples. Aux Croisades, un Lannoy se plaça au premier rang des dignitaires de l'empire de Constantinople, Jean III de Lannoy, dont le père fut tué à la bataille d'Azincourt (1415), fut ambassadeur en Angleterre. En 1551, sa petite-fille épousa Guillaume d'Orange, dit Guillaume le Taciturne, et c'est ainsi que Lannoy devint la possession de la maison de Nassau, famille actuellement régnante en Hollande.
  • Maison de Lévis
    La maison de Lévis, ou aussi de Lévy, fut à ses origines une famille vassale de celle de Montfort-l'Amaury. Elle est connue depuis le XIIe siècle, mais ce fut la participation de Gui Ier de Lévis à la croisade des Albigeois qui fit de ses membres de puissants seigneurs languedociens. Plusieurs de ses branches accédèrent à la dignité ducale sous l'Ancien Régime.
  • Maison de Liedekerke
    La maison de Liedekerke, est une famille de la noblesse belge ; cadets des Gavre qui furent très puissants seigneurs de Flandre et dont la généalogie remonte probablement jusqu'à Rasse de Gavre. Une branche cadette des premiers Gavre était celle des Gavre, seigneurs de Liedekerke et de Breda. Ils s’éteignirent dans les Gavre-Rasseghem, eux-mêmes éteints dans les Hannaert, eux-mêmes éteints dans les comtes de Boussu, devenus princes de Chimay. Aujourd’hui, c’est l’aîné de ces Riquet de Caraman, soit le duc de Caraman qui aurait droit au titre de «seigneur de Liedekerke».
    L’origine des Liedekerke actuels est obscure, mais, selon toute vraisemblance, le premier de leur lignée, Raes de Herzele, était le fils d’une Liedekerke de la branche de Breda. Après trois générations, ces Herzele reprirent le nom de Liedekerke quand s’éteignirent les Gavre-Liedekerke, seigneurs de Contrecœur en 1357. La branche aînée des Liedekerke, nouveau style par de beaux héritages, devint une des grandes familles de Flandre et reçut le titre de comte de Mouscron (vers 1627). Le premier (et dernier) comte de Mouscron avait épousé une Spinola de mère Arenberg. Après lui, le comté de Mouscron passa aux Basta puis aux d'Ennetières de La Berlière qui s'éteignirent dans les Oultremont au XIXe. Les Liedekerke actuels descendent d’un cadet de Mouscron qui dut reconstituer la fortune familiale. C’est vers la fin du XVIIe siècle que les Liedekerke se dirent issus des Gavre. À noter qu’ils ne furent jamais créés « comtes de Liedekerke ». Mais comme ils s’estimaient héritiers moraux des comtes de Mouscron, ce n'est qu'en 1816, lors de la reconstitution de la noblesse nationale, que les Liedekerke reçurent tous le titre de « comte » et de « comtesse ».

M[modifier | modifier le code]

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N[modifier | modifier le code]

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O[modifier | modifier le code]

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P[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Polignac
    La première maison de Polignac, en Velay, s'est éteinte en 1385. Le nom a été repris par la branche ainée de la maison de Chalencon, devenue ainsi la seconde maison de Polignac, à la suite du mariage en 1349 de Guillaume de Chalencon avec Valpurge de Polignac, héritière de sa famille. La maison de Chalencon est aussi une très ancienne famille du Velay.
  • Maison de Châtillon
    La maison de Châtillon est une antique famille originaire de Champagne dont l'origine remonte au IXe siècle. Elle tirait son nom d'un comté champenois dont Châtillon-sur-Marne était le chef-lieu, et forma de nombreuses branches. Son dernier membre en ligne masculine fut Gaucher Louis duc de Châtillon, pair de France, lieutenant-Général en Bretagne (1737-1762) et elle s'éteignit au IXe siècle avec ses deux filles dans les maisons de Crussol, ducs d'Uzès et de La Trémoille, ducs de Thouars[8].
  • Přemyslides
    Les Přemyslides (en tchèque : Přemyslovci, en polonais : Przemyślidzi) forment une dynastie princière puis royale qui a régné sur la Bohême du IXe siècle à 1306 et sur la Pologne de 1300 à 1306.

Q[modifier | modifier le code]

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R[modifier | modifier le code]

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Les armes primitives du comté de Hainaut
Les armes primitives du comté de Hainaut
  • Maison des Régnier
    La maison des Régnier est une famille issue de la noblesse lotharingienne. C'est une famille qui est aussi proche des Carolingiens dès la première génération connue, car l'ancêtre de la lignée Gislebert de Maasgau se marie avec Emengarde, fille de l'empereur Lothaire Ier, qu'il avait enlevée. Son fils, Régnier Ier fut le premier comte de Hainaut, et fut conseiller du roi de Lotharingie Zwentibold. Il eut lui-même deux fils, Gislebert, duc de Lotharingie, et Régnier II, comte de Hainaut. Gislebert fut tué pendant une révolte, mais Régnier fut l'ancêtre d'une lignée de comte de Hainaut. Régnier III, se révolta à plusieurs reprises contre les rois de Germanie, il fut exilé en Boême et sa famille de réfugia à la cour du roi de France. Un cadet y fonda la maison de Montfort-l'Amaury, mais les deux fils aînés de Régnier III, purent reconquérir les fiefs de leur père : Régnier IV eut le Hainaut, et Lambert le Louvain. La branche aînée s'éteignit en 1093 avec Roger de Hainaut, évêque de Châlons-sur-Marne. La branche de Louvain reçut ensuite le duché de Basse-Lotharingie, qui devint ensuite le duché de Brabant. Cette branche s'éteignit au Brabant en 1406. On trouve encore une brache cadette des ducs de Brabant dans les landgraves (puis grand-ducs) de Hesse, qui sont considérés comme derniers descendants des Régniers (voir Maison de Hesse).
  • Maison de Rethel
    L'origine du comté de Rethel n'est pas connue, mais il semble qu'il ait été détaché du comté de Porcien au profit d'un des cadets de la famille. Plusieurs maisons se sont succédé à la tête du comté, et les deux premières prirent le nom de Rethel.
  • Maison de Rochechouart
    La maison de Rochechouart est actuellement considérée comme la famille la plus ancienne de France après la maison royale capétienne. Ses membres Rochechouart et Rochechouart-Mortemart restèrent possessionnés durant plusieurs siècles dans le Limousin et le Poitou, puis en Orléanais et en Île-de-France.
  • Maison de Rohan-Chabot
    La maison de Chabot est originaire du Bas-Poitou. La branche ainée des Chabot de Jarnac devint Rohan-Chabot à la suite du mariage d'Henri de Chabot avec Marguerite de Rohan, héritière du duché de Rohan, en Bretagne.
  • Maison Romanov
    La maison Romanov est une dynastie qui régna sur la Russie de 1613 à 1917, dont en succession agnatique de 1613 (Michael III Feodorovich) à 1762 (Elizabeth). La maison des Holsácia-Gottorp (Holstein-Gottorp), son héritière par les femmes, s'est substituée à elle en relevant le nom de Romanov. Elle a été renversée par la révolution russe en 1917.

S[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Sabran
    La maison de Sabran est l'une des plus illustres de Provence. Elle tire son nom de la baronnie de Sabran à proximité d'Uzès en Languedoc. Elle possédait aussi des biens importants à Beaucaire et une portion de la ville d'Uzès, qui lui échut par suite du mariage vers 1156 de Rostaing II avec Roscie du Caylar, petite-fille d'Elzéart d'Uzès. Les anciens seigneurs de Sabran se qualifiaient connétables des comtes de Toulouse. Elle s’enorgueillit de compter deux saints de l'Église catholique dans ses rangs : Elzéar de Sabran et sa femme Delphine. Plusieurs de ses membres furent maréchaux du royaume de Naples. Ils furent aussi comte d'Ariano, comte souverain de Forcalquier, comte de Sabran, de Sabran-Pontevès, baron d’Ansouis, pair de France et ducs. La famille fut reçue aux Honneurs de la Cour.

T[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Talleyrand-Périgord
    La maison de Talleyrand-Périgord serait une branche cadette des anciens comtes de Périgord. Elle s'est éteinte en descendance féminine en 2003.
  • Maison von Thurn und Taxis
    La maison princière de Thurn und Taxis (également appelée en français maison de La Tour et Tassis) est une famille allemande qui a contrôlé un important service postal en Europe dès le XVIe siècle. On la connaît aussi comme propriétaire de brasseries et pour la construction de nombreux châteaux. Les Tassi sont connus pour avoir, dès le XIIIe siècle, initié le transport de correspondances en Italie du Nord. Au XVe siècle, Ruggero de Tassis formalisa le service postal en Italie. À Innsbruck, le , son petit-fils Jeannetto de Tassis est nommé Grand Maître des Postes. Avec sa parenté, il commence l'établissement d'une poste internationale qui va fortement se développer grâce au travail de son frère François, basé à Malines puis à Bruxelles. La famille va garder le monopole du service postal international pendant des siècles, tissant un important réseau d'influence ; elle va aussi créer d'autres entreprises. Le chef actuel de la maison de Thurn und Taxis est Albert II, 12e prince de Thurn und Taxis, fils du prince Johannes et de son épouse Gloria. C’est une des plus riches familles d’Allemagne. La famille réside au château Saint-Emmeram à Ratisbonne depuis 1748.
de Trastamare Aragon
de Trastamare Aragon
  • Maison de Trazegnies
    La dernière de la première race, Agnès, épousa Eustache de Rœulx qui prit le nom et les armes de son épouse. Puis, la dernière de leurs descendants épousa Arnould de Hamal dont le fils reprit le nom et les armes de sa mère, de sorte que le nom est arrivé jusqu'à nous après deux ruptures agnatiques. Pairs du Hainaut ; marquis dès 1614 ; reconnus tous marquis et marquises (ce qui est rare).

U[modifier | modifier le code]

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  • Maison d'Ursel
    La maison d'Ursel est une famille noble de Belgique, issue de la famille des Schetz. Originaires de Smalkalde (Hesse), ceux-ci s'établirent à Hasselt et Maastricht au XVe siècle et à Anvers au début du XVIe. Véritable fondateur de la maison, Erasme Schetz (vers 1480-1550), acquit rapidement à Anvers une place prépondérante parmi les principaux marchands de la ville. Ses activités les mieux connues sont le commerce de métaux, notamment les mines de La Calamine, et le sucre, qu'il faisait venir du Brésil où il avait acquis des terres dès 1540. Les restes de l'usine qu'il y avait créée constituent un site archéologique qui suscite un intérêt croissant. En relation avec la cour, il fut anobli en 1527. Il avait acheté en 1545 la seigneurie de Grobbendonk.

V[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Vexin
    La maison de Vexin est un lignage issu du comte Raoul Ier de Vexin. Sa branche principale réunit les comtés de Vexin, de Valois et d'Amiens et s'éteignit en 1080. Une autre branche eut le comté de Senlis au Xe siècle. L'origine de cette famille n'est pas connue, mais probablement de haut lignage, puisque la mère de Raoul descendait probablement de Louis le Pieux.
  • Famille Visconti
    Les Visconti sont une famille de nobles de Lombardie en Italie, du parti gibelin, qui a régné sur le duché de Milan pendant le Moyen Âge jusqu'à la Renaissance, de 1277 à 1447. Ils portèrent le titre de seigneur puis, à compter de 1395, en la personne de Jean Galéas, celui de duc de Milan.
  • Maison de Villamor
    La maison de Villamor est issue par ligne masculine du comte Don Salvador de Bureba au Xe siècle, en 1069 son petit fils le comte Don Diego de Oca reçut la seigneurie de Villamor du roi Sanche II le Fort de Castille. Leurs membres s'illustrèrent aux croisades. Revenus en Castille, ils réalisèrent une habile politique matrimoniale et s'emparèrent des maisons de Salinas, de la Pena, de Villota, de Angulo etc. Leurs membres remplirent de hautes fonctions militaires sous la dynastie des Habsbourg espagnols, au XVIIIe siècle Don Francisco Antonio, vicomte de Villamor devient comte de Torre Cuellar et au XIXe siècle Don Hilario, seigneur de Villamor comte de Torre Cuellar Majorat de Salinas devient premier duc de Salinas de Rosio grand d'Espagne de première classe. Ses successeurs soutiendront les monarques souverains d'Espagne de la dynastie Carliste.

W[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Wavrin
    La maison de Wavrin est une famille noble de l'ancien comté de Flandre. Elle commence avec Thierry, fils de Roger seigneur de Wavrin en 1018, qui meurt en 1066 et par son petit fils Roger qui est qualifié en 1135 de sénéchal, charge comtale que ses descendants se transmettront jusqu'en 1411. Cette maison s'est éteinte en 2016. Elle s'était éteinte une première fois à la fin du xve siècle.
Blason d'Édouard, duc de Windsor
Blason d'Édouard, duc de Windsor
  • Maison Windsor
    La maison de Windsor, autrefois appelée maison de Saxe-Cobourg-Gotha, est la maison royale du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord. En 1917, pendant la Première Guerre mondiale, le sentiment anti-allemand parmi la population conduisit la famille royale à changer tous leurs titres et leurs noms de famille allemands pour des titres et des noms à consonance anglaise. La maison et la famille royales furent ainsi renommées Windsor par un décret en conseil du roi George V. Le nom allemand venait du mariage de la reine Victoria au prince Albert, le fils du duc Ernst Ier de Saxe-Cobourg-Gotha, en février 1840. Cependant, le décret ne faisait référence qu'aux descendants de la reine Victoria de lignée masculine et ne concernait pas nécessairement la descendance féminine. En avril 1952, deux mois après son accession, la reine Élisabeth II mit fin à la confusion quand elle déclara au cabinet sa « volonté et plaisir que moi et mes enfants seront appelés et connus comme la maison et la famille de Windsor, et que mes descendants qui épousent et leurs descendants, porteront le nom de Windsor. » Plus tard, le , la reine a diffusé un autre décret en conseil, confirmant qu'elle et ses quatre enfants seront connus comme la maison et la famille de Windsor, et que ses autres descendants de lignée masculine (sauf ceux qui sont « SAR » et prince ou princesse) prendront le nom « Mountbatten-Windsor ».
Armoiries Frédéric V de Wittelsbach, roi de Bohême
Armoiries Frédéric V de Wittelsbach, roi de Bohême
  • Maison de Wittelsbach
    La maison de Wittelsbach est une famille souveraine d'Allemagne méridionale, l'une des plus anciennes et des plus puissantes, qui régna en particulier sur la Bavière et sur le Palatinat.C'est une famille princière, issue d'Othon Ier de Scheyern, comte palatin de Bavière, acquéreur du château de Wittelsbach en 1124. Cette famille est en fait une branche de la maison de Babenberg. Les Wittelsbach reçoivent la Bavière en 1180 : l'empereur Frédéric Ier Barberousse donne le duché de Bavière au comte palatin Otton II le Grand. Ils règneront sur cet État pendant 738 ans (jusqu'en 1918). Ils régneront également sur le Palatinat rhénan. En 1620, l'électeur Frédéric V du Palatinat est déchu de la dignité électorale qui est donné à son cousin le duc Maximilien Ier de Bavière qui, en plus, annexe le Haut-Palatinat. Néanmoins, à l'occasion de la paix de Westphalie, un huitième Électorat est créé en faveur du fils de Frédéric V qui est rétabli dans ses états (1648). À l'extinction de la branche protestante de Palatinat-Simmern en 1685, le Palatinat échoit à la branche catholique de Neubourg puis à l'extinction de celle-ci en 1742, à la branche de Soulzbach en la personne de Charles-Théodore. Entre-temps, à la faveur de la guerre de Succession d'Autriche, l'électeur Charles-Albert de Bavière, soutenu par la France, est élu empereur du Saint-Empire romain germanique (1742). Il ne régnera que trois ans et son fils renoncera à la succession impériale. À la mort sans enfant de celui-ci (1777), la Bavière passe à Charles-Théodore, déjà électeur du Palatinat rhénan. Ce dernier était donc doublement électeur. Guère enchanté de devoir quitter sa capitale de Mannheim pour Munich, il s'entend avec l'empereur Joseph II pour échanger la Bavière contre les Pays-Bas autrichiens ce qui provoque la guerre de Succession de Bavière. Charles-Théodore conservera ses états en l'état, l'Autriche ne pouvant annexer que le district de Braunau-am-Inn. À sa mort sans enfant survivant en 1799, ses États passent à la branche dite de Zweibrücken (ou Deux-Ponts).

X[modifier | modifier le code]

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Y[modifier | modifier le code]

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Z[modifier | modifier le code]

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  • Maison de Zähringen
    La famille des Zähringen fut une dynastie de ducs dans le sud-ouest de l'Allemagne et l'ouest de la Suisse du XIe au début du XIIIe siècle. De nos jours ils sont notamment restés connus pour avoir fondé plusieurs villes modernes, telles que Fribourg (en 1157) et Berne (en 1191). Le dernier descendant de la branche aînée, portant le nom des Zähringen, est mort en 1218. La famille des Zähringen fait partie des grandes familles qui ont façonné le destin de la Suisse au Moyen Âge avec notamment les Habsbourg et les Savoie.


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Larousse encyclopédique, 1977, éditions France-Loisirs, livre 3, page 1279
  2. Alfred Leroux, Géographie & histoire du Limousin, 1890, page 39.
  3. Société héraldique et généalogique de France, 1879, p 496.
  4. ., extrait du Dictionnaire universel de la noblesse de France de Nicolas Viton de Saint-Allais p. 118, publié en 1821
  5. a b et c Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome IX, 1910, pages 3-11
  6. Les Lignages d'Outremer est un livre relativement connu par lui-même, mais dont l'inclusion parmi les livres des Assises est nettement moins connu. Souvent rattaché à des Assises traitant de la Haute Cour, comme le livre de Jean d'Ibebin ou celui de Philippe de Novare, ce texte d'un pas du tout un texte juridique, mais principalement généalogique et traite des familles nobles installées en Terre sainte
  7. admis dans la noblesse belge en tant que princes en 1958
  8. Grand Armorial de France, tome 2, page 414.
  9. Terra e identità revue no 34 de janvier/mars 2007, page 13

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]