Les Pieux
Les Pieux | |
![]() La mairie. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
Maire Mandat |
Catherine Bihel 2020-2026 |
Code postal | 50340 |
Code commune | 50402 |
Démographie | |
Population municipale |
3 244 hab. (2020 ![]() |
Densité | 213 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 30′ 50″ nord, 1° 48′ 24″ ouest |
Altitude | Min. 5 m Max. 132 m |
Superficie | 15,25 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Unité urbaine | Les Pieux (ville isolée) |
Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton des Pieux (bureau centralisateur) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.lespieux.fr |
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Les Pieux est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 244 habitants[1]. Chef-lieu du canton parfois appelé « Hague-Sud », Les Pieux a connu ces trente dernières années, en raison de la présence de la centrale nucléaire de Flamanville, à cinq kilomètres, une poussée démographique remarquable (+ 185,7 % entre 1975 et 2006). De ce fait, la commune s'est progressivement transformée en petite ville. La manne financière de l'industrie nucléaire permet aujourd'hui aux Pieux de disposer d'infrastructures (sportives, sociales, routières) largement supérieures à celles des villes de même taille.
Géographie[modifier | modifier le code]
Les Pieux présente différents visages. L'un, rural et typique du bocage normand, occupe la majeure partie de son espace. Sur la « hauteur » se situe le centre-ville, plus communément appelé le Bourg, ainsi que la majeure partie des lotissements, des espaces d'activités (zone artisanale des hauts-vents, parc d'activités en bordure de la route de Cherbourg…), mais aussi les équipements sportifs (haras, piscine couverte, stades, gymnases, tennis…) et commerciaux. Plusieurs dizaines de commerces se situent dans la rue Centrale, et trois supermarchés sont implantés : deux en entrée de ville, le troisième à proximité de la place de la Lande. Le dernier visage des Pieux, plus estival, est celui de la plage de Sciotot. Le développement plus ou moins homogène des constructions nouvelles, très nombreuses, n'altère en rien la beauté de la plage de sable. Depuis celle-ci, très prisée de surfeurs et des baigneurs en été, existe un beau point de vue sur les îles anglo-normandes. La plage, de cinq kilomètres, est délimitée au sud par le cap du Rozel, et au nord par les premiers escarpements de falaises du cap de Flamanville. Par ailleurs, cette plage sert de terrain (à marée basse, quand le terrain est favorable et le vent suffisant) à un club de char à voile implanté localement et ouvert toute l'année.
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Carte de la commune.
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Entrée de l'agglomération.
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L'anse de Sciotot.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cap de la Hague », sur la commune de La Hague, mise en service en 1936 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Les Pieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine des Pieux, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 223 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), zones agricoles hétérogènes (23,4 %), prairies (16,9 %), zones urbanisées (10,4 %), forêts (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), zones humides côtières (0,1 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]
Le toponyme Pieux (de Podiis 1093, de Poiis v. 1190) est issu du vieux français qui procède lui-même du latin podium[27]. Il signifie « la hauteur ». Il a donné les oronymes en Puy au centre et dans le Sud de la France (Puech et Pech en Occitan). Ce toponyme est moins répandu en Normandie que Hougue(t), Hogue, d'origine norroise (haugr). Cela correspond à la topographie, en effet, Les Pieux est l'une des plus hautes communes du Cotentin.
Sciotot est un toponyme d'origine anglo-scandinave composé de l'élément -tot, issu de l'ancien scandinave topt, toft « emplacement bâti, ferme » et un élément Scio- qui représente sans doute un anthroponyme, à savoir Siwold / Sæwold forme anglo-saxonne[28] ou anglo-scandinave correspondant au nom de personne scandinave Sævaldi, peut-être le même personnage qui a donné son nom à Siouville (Seolvilla vers 1200, Syovilla vers 1280) à 10 km. Il existe cependant le nom de personne scandinave SǽulfR / Siólfr[29] qui colle mieux aux formes peu anciennes dont on dispose pour Siouville. Cependant, il n'est pas sûr que ces deux lieux distincts contiennent le nom du même personnage, c'est pourquoi le simple appellatif sær / sjór a été proposé : Sciotot serait « le site, la ferme près de la mer »[30].
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Histoire[modifier | modifier le code]
En 1974, fut découvert sur un plateau rocheux de la plage de Sciotot les restes d'un site paléolithique[31].
À la période gauloise, le territoire de la commune est vraisemblablement sous le contrôle du peuple des Unelles. En 2019, un habitat gaulois, village[32] ou exploitation agricole d'importance[33], a été mis au jour lors d'une fouille préventive. L'ensemble date des alentours du Ve siècle av. J.-C.
Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[34].
À noter que c'est l'abbaye de Saint-Sauveur qui est à l'origine des quatre foires annuelles des Pieux et du marché du vendredi dont les moines percevaient les redevances[35].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune a fait partie de la communauté de communes des Pieux de 1978 à 2017.
Au , elle rejoint la communauté d'agglomération du Cotentin.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2020, la commune comptait 3 244 habitants[Note 8], en augmentation de 2,66 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie et tourisme[modifier | modifier le code]
Un gisement de kaolin fut exploité de la fin du XVIIIe au premier quart du XXe siècle [43]. Il alimentait les manufactures de porcelaine de Valognes, d'Isigny et de Bayeux.
Depuis , Les Pieux forme avec Siouville-Hague et Auderville un groupement de « communes touristiques »[44].
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Notre Dame des XIIIe, XIVe et XVIIe siècles avec un clocher octogonal. Elle abrite un maître-autel, tabernacle, retable à baldaquin, tableau la Sainte Trinité de Fréret (XVIIIe) classé en 1970 au titre objet aux monuments historiques[45], un bénitier (XVIe), des fonts baptismaux (XVIIe), les tableaux saint Sébastien et saint Clair (XIXe)[46].
- Elle est aujourd'hui rattachée à la paroisse Saint-Clair du doyenné de Cherbourg-Hague[47].
- Croix de chemin dite croix du Siquet (XVIIe siècle), de la Pissoire (XVIIIe siècle), des Martyrs (XVIIe siècle) et croix Nourry (XVIIe siècle).
- Croix de cimetière (XIXe siècle).
- Manoir de Cailletot (XVIe – XVIIe siècles).
- Ferme-manoir de Becqueville (XVIIe siècle), Le Saussey, Rouville, L'Hotel Buhot.
- Sites archéologiques de la Maison des Fées et du Témène découverts au XIXe siècle sur les pentes de la Roche à coucou[46].
Culture[modifier | modifier le code]
Des structures culturelles existent sur le territoire de la commune :
- l'espace culturel, zone de la Fosse[48] : salle de 550 m2 à géométrie variable avec scène de 149 m2 et gradins mobiles. Elle peut accueillir 550 personnes assises ou 700 personnes debout en concert, ou 300 personnes en congrès suivi de repas. Son acoustique la destine plutôt à accueillir la musique amplifiée. La salle est gérée par la commune ;
- la médiathèque Victor-Hugo est un établissement de lecture publique de 700 m2 gérée par la commune des Pieux. Elle propose le prêt de livres, CD, DVD et magazines. En partenariat avec la bibliothèque départementale de la Manche, elle propose également un abonnement à des ressources en ligne[réf. nécessaire] ;
- l'école de musique, rue des Écoles : trois salles de cours collectifs, une salle de percussions / studio, une salle de MAO, six salles de cours instrumentaux, un studio pour les élèves constituent la partie école. L'auditorium Jacques-Prévert, inclus dans le bâtiment, est une salle en gradins fixes avec banquettes pour 200 personnes assises et une scène de 144 m2. Elle peut accueillir des spectacles de danse, musique, théâtre, mais aussi du cinéma ou des conférences. Son acoustique est idéale pour la musique classique. L'école de musique est gérée par la communauté de communes des Pieux. Son directeur actuel est Donatien Prévot.
La direction de la Culture de la communauté de communes des Pieux édite chaque année Art'Scène, un fascicule regroupant toutes les animations et manifestations culturelles de son territoire[49].
Activités et manifestations[modifier | modifier le code]
La fête de la Saint-Clair a lieu les trois jours du week-end du dimanche le plus proche du . Elle consiste en une petite fête foraine, un marché, une braderie, un feu d'artifice, des concerts et une messe[50].
Le site de Sciotot (plage) possède notamment un centre de char à voile.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Georges Leduc (1906-1968), artiste peintre né dans la commune.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 364.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Les Pieux sur le site de l'Insee
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Population municipale 2020.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Pieux et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Pieux et La Hague », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Cap de la Hague - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 des Les Pieux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 176.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 219
- Site de Nordic Names : origine du nom de personne Siólfr (anglais).
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1).
- André Hamel, Le Canton des Pieux : 2000 ans de vie, Les Pieux, André Hamel, , 446 p., p. 9.
- Une découverte archéologique incroyable dans la Manche : et si l’ancêtre d’Astérix était Manchois ?, Actu.fr, 5 avril 2019.
- Âge du fer : un site archéologique exceptionnel découvert dans le Cotentin, Francetv.fr, 9 avril 2019.
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
- Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 33.
- Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p. 223.
- « Jacques Lepetit, maire des Pieux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « le nouveau conseil municipal est en place autour de Catherine Bihel », sur actu.fr, La Presse de la Manche (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- M. Hérault, « Notice sur le kaolin des Pieux », Mémoires de la Société d'histoire naturelle de Paris, tome IV, 1828, pp. 194-196 (Lire en ligne)
- [PDF] « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - mars 2010 » : page 17.
- « Maître-autel, tabernacle, exposition du Saint Sacrement, retable à baldaquin, tableau : La Sainte Trinité, portes », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Gautier 2014, p. 364.
- Site du diocèse.
- « Espace culturel - Mairie Les Pieux », Mairie Les Pieux, (lire en ligne, consulté le ).
- Saison musicale.
- « La fête Saint-Clair : du Moyen-Âge à nos jours » [PDF], sur cc-lespieux.fr, la communauté de communes des Pieux (consulté le ) (page 9).
- « Les Pieux sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix).
- Site de l'IGN.