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Martinvast

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Martinvast
Martinvast
Le chevet de l'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jacky Marie
2020-2026
Code postal 50690
Code commune 50294
Démographie
Gentilé Martinvastais
Population
municipale
1 331 hab. (2021 en évolution de +6,65 % par rapport à 2015)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 45″ nord, 1° 39′ 50″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 155 m
Superficie 10,31 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Cherbourg-en-Cotentin
(banlieue)
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cherbourg-en-Cotentin-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.martinvast.fr

Martinvast [maʁtɛ̃va] est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 331 habitants[Note 1].

Géographie

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La commune est au nord de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 7 km au sud-ouest de Cherbourg-Octeville, à 15 km au nord-est des Pieux, à 18 km au sud-est de Beaumont-Hague et à 20 km au nord-ouest de Valognes[1].

Le paysage est constitué de prairies bordées de haies (Lande Cadeau, le mont Polidor, les Mines, les Trigants, Plateau de l'Arabie, les Quatre Barrières). Il y a un bois à l'est du territoire : la Sapinière.

Martinvast est dans le bassin de la Divette qui délimite le territoire de l'ouest au nord. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal dont le Nardouet qui marque au nord-est et le Bisard. Un point d'eau : la fontaine aux Bœufs.

Le point culminant (155 m) se situe en limite est sur la « chasse » des Mines (D 352). Le point le plus bas (17 m) correspond à la sortie de la Divette du territoire, au nord. La commune est bocagère.

La commune se compose d'un bourg principal (Martinvast) et de plusieurs écarts[2] : Carneville (avec son manoir, son école d'équitation), Mélingue, Belle Feuille, Hameau Léger, Beuzeville, le Pont Blondel, les Roches de Sideville, la Vallée, l'Alleu (avec son haras), la Bihellerie, la Danetterie, les Rosées, le Château (et son parc : les Bœufs, le Capelier), Hameau Virel, la Bourbonnerie, la Couvillerie, la Fournellerie, le Bas de la Couaille, le Clos Giot, le Pont, la Mare Aubert, la Couespellerie, le Pont Cosnard, la Bellefeuille, la Roche au Chat, les Ingoufs, l'Arabie, Croix Goupil, le Caillou, la Duquesnerie, les Telliers, le Bosquet, l'Orangerie, Hameau Dubost, le Vigny, l'Oraille le Haut, l'Oraille, Tabarin.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023 mm, avec 15,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Martinvast est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cherbourg-en-Cotentin[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), terres arables (10,7 %), zones urbanisées (8 %), forêts (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Martinvast vers 1150 et vers 1180[16], Martinwast en 1172[17], Martin Wasto vers 1210 (ou en 1150[18])[16], de Martini Wasto en 1283[19].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -vast[16], anciennement -wast. L'appellatif vast signifie « terre inculte, gâtée » et constitue également le radical du verbe gâter (anciennement gaster), la forme waster étant caractéristique des dialectes d'oïl septentrionaux. Il est fréquent dans le Cotentin, mais plus rare ailleurs en Normandie. Le premier élément est Martin[16], anthroponyme devenu par la suite le plus fréquent en France comme patronyme. Il se rencontre parfois dans la toponymie normande, par exemple dans Martintot (à Siouville-Hague, en composition avec l'ancien norrois topt, toft), situé à 18 km, ou dans les plus répandus Martainville. Albert Dauzat et René Lepelley parlent respectivement de nom de personne latin ou roman Martinus[17],[20], ce qui n'est pas nécessaire, le toponyme étant à la fois une formation médiévale et populaire, la désinence -us avait disparu depuis longtemps sans laisser de trace dans ce cas.

Les autres toponymes du Cotentin en -vast sont tous composés avec des noms de personnes scandinaves[21], tels que Soti / Sote dans Sottevast (anciennement Sotevast); Tolir dans Tollevast (anciennement Toberwast, lire *Tolerwast); Barni dans Barnavast; Sigfridr dans Chiffrevast, sauf Hardinvast (anciennement Herdinvast) sur l'anthroponyme anglo-saxon ou plus généralement germanique Hardinc[16]. Il existait également un Beroldwast (XIe siècle, AG NLM) et un Fredevast (1238, Charte Lessay)[16]. Ces formations remontent donc à l'implantation scandinave et ce Martin est vraisemblablement un colon anglo-scandinave qui a reçu un nom chrétien lors de son baptême, tout comme son homonyme dans Martintot.

L'appellatif toponymique vast se retrouve dans d'autres toponymes normands employé de manière autonome ou comme déterminant complémentaire dans Le Vast, mais aussi sous sa forme française Le Gast, Saint-Denis-le-Gastetc..

Le gentilé est Martinvastais.

Microtoponymie

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Les Roches de Sideville tiennent leur nom de la commune voisine : Sideville.

Le hameau Alleu vient de l'ancien français, il signifie « fonds de terres possédé en pleine propriété, exempt de droits féodaux »[22].

Le hameau Carneville, à l'origine Kerinon-villa, était « la ferme de Kerinon » (nom germain)[18][source insuffisante][Information douteuse].

Le hameau Beuzeville, à l'origine Bozo-villa, était « la ferme de Bozo » (nom germain)[18][source insuffisante][Information douteuse].

Le hameau Vigny prend son origine dans Viniacum « le domaine de Vinius » (ferme gallo-romaine)[réf. nécessaire].

Les hameaux en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe – XIIIe siècles. Les essarts prennent le nom des familles qui s'y installent, suivi du suffixe -erie ou -ière. Les autres hameaux en Hôtel / Le / Clos / Pont / Maison...Y sont des constructions encore plus tardives, ils désignent le bien d'une famille Y.

Le bourg date du Xe siècle, époque des premiers défrichements de l'immense forêt du Clos du Cotentin (cf. forêt de Brix). André Davy signale la présence d'un dolmen à Martinvast[23]. Toutefois, une fouille à mis au jour, à 1 km du bourg actuel, une occupation rurale carolingienne (VIIe – Xe siècle), probablement une ferme isolée avec au moins rois bâtiments[24].

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[25].

En 1466, Robert, seigneur de Martinvast est décapité sur ordre de Louis XI pour avoir soutenu dans la ligue du Bien public, Charles, duc de Berry et de Normandie, et François II duc de Bretagne[26].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la généralité de Caen, de l'élection de Valognes et de la sergenterie de Tollevast.

À la création des cantons, Martinvast est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[27].

Au XIXe siècle le comte du Moncel y avait établi une ferme modèle[28].

L'affaire criminelle Louis-Jean Guéret, coupable de l'homicide d'un baron, s'est déroulée au château de Martinvast en 1906. Elle fut jugée par la cour d'assises de la Manche, le [29].

En , l'avant garde de la 7e Panzerdivision est stoppée au pont de Martinvast. La commune est bombardée en [28].

Héraldique

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Blason de Martinvast

Les armes de la commune de Martinvast se blasonnent ainsi :
d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe[30].

Ce sont celles de la famille (protestante) Le Fort qui a tenu dans cette paroisse le fief de Carneville depuis la fin du XVe siècle.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1892 1949 Hubert de Pourtalès    
1949 1953 Béatrix de Renusson d'Hauteville
(1892-1987)
   
1953 1975 Maurice Brisset    
1975 1977 François Lepaumier    
1977 1982 Louis Delaval    
1982 1983 André Marthineau    
1983 1989 Charles Delauney    
1989 2000 Étienne de Quatrebarbes    
2000 2001 Roland Rohée    
2001[31] En cours Jacky Marie[32]   Médecin
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[32].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 1 331 habitants[Note 5], en évolution de +6,65 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
624492643787753865810772823
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
848885869769732732742776761
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
866939921704746764755732848
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8418207908881 0161 1161 1651 1511 189
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2481 3251 331------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Filature de laine (fermée).
  • Les Vergers de la Passion : produits régionaux.

Lieux et monuments

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Le château d'origine, du XIIe siècle, fut ruiné lors de la guerre de Cent Ans et reconstruit en 1581 par Berthole du Moncel. Il sera restauré de 1820 à 1867 par Alexandre du Moncel qui le céda au banquier de Schickler. Le château sera en partie détruit en 1944 par les bombardements alliés, puis restauré par la famille de Pourtalès-Schickler[26].
Elle est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Sainte-Bernadette du doyenné de Cherbourg-Hague[42].
  • Manoir de Carneville des XVe – XVIe siècles, avec école d'équitation.
  • Ferme-manoir de Beuzeville des XVIe – XVIIe siècles et moulin. Sur le pignon du logis, on peut voir une dalle sculptée insérée sur laquelle figure les armes de la famille Foubert, d'argent à la fasce d'azur chargée d'un léopard d'or[43]. On retrouve ses armes au-dessus de la cheminée de la cuisine figurée sur un blason échancré « à l'allemande »[43].
Un guillaume Foubert, demeurant en la paroisse de Martinvast, écuyer, sieur de Beuzeville, était procureur du Roi en la maîtrise de Valognes. Selon Frédéric Scuvée, l'élection du manoir de Beuzeville « comme siège de la seigneurie de Martinvast est à peu près certaine, au moins avant 1429 »[43].
  • Ferme des Roches avec jardin remarquable de 4 hectares.
  • Hôtel Melingue, ancien relais de diligence.
  • Pont de Carneville. Sur le mur bordant la Divette, on peut voir les armes de Jean-René Le Fort, d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe et celle de son épouse (1753), Marguerite d'Ozouville[Note 6], de gueules à une pile d'argent (ou lame d'épée) accompagnée de six losanges de même, rangées en pal 3 et 3 avec à gauche la date de 1769[44].
  • Deux croix de chemin dont l'une à Carneville (XVIe siècle), dans le talus, en face du manoir, en souvenir de Michel de Ravalet, curé de Breuville, assassiné à cet endroit en 1579 par Robert Le Fort de Carneville, qui avait vainement tenté d'obtenir la main d'une demoiselle de Ravalet. Robert fut décapité, un de ses frères emprisonné et le troisième dut élever en expiation une croix de granit sur le lieu du crime. On distingue à sa base les armes des Le Fort (d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe)[45].
  • Croix de cimetière du XVIIIe siècle.
  • Calvaire du XXe siècle.
  • Ancien moulin à vent, vieux puits du XVIe siècle.
  • La Roche à Trois Pieds, site naturel, parfois considérée comme un dolmen.

Activité et manifestations

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L'Association sportive de Martinvast fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[46].

Les vallons de Martinvast, course pédestre créée en 2007, sont organisés en septembre par l'association Cap Martinvast[47].

Personnalités liées à la commune

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  • Alexandre du Moncel (1784-1861), comte, général du Génie, député de 1815 à 1816 et de 1827 à 1830, pair de France de 1846 à 1848, maire de la commune, restaurateur du château de Martinvast et créateur d'une ferme modèle.

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Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 132.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 393.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cherbourg-en-Cotentin comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. La famille d'Ozouville était originaire de Sainte-Croix-Hague.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. https://archive.wikiwix.com/cache/20220721154125/http://www.geoportail.fr?c=-1.6636,49.5958&l=Scan%2850%29,Admin&z=7.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Martinvast et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Cherbourg-en-Cotentin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Martinvast ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. a b c d e et f François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 38-39, 150.
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  18. a b et c Toponymie générale de la France, Volume 2, par Ernest Nègre
  19. Carole Hough et Daria Izdebska, Names and Their Environment Proceedings of the 25th International Congress of Onomastic Sciences, vol. 2, t. Toponomastics II, Glasgow, University of Glasgow Glasgow 2016, coll. « ICOS 2014 », 25-29 august 2014 (ISBN 978-0-85261-947-6, lire en ligne), p. 11.
  20. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 145.
  21. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 82.
  22. Toponymie générale de la France, Volume 1, par Ernest Nègre
  23. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 8.
  24. Céline Prigent, « Habitat et activités domestiques au haut Moyen Âge à Martinvast », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 57.
  25. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
  26. a b c et d Gautier 2014, p. 393.
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. a et b Delattre, 2002, p. 132.
  29. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, 2012.
  30. « 50294 - Martinvast (Manche) », sur L'Armorial des villes et villages de France (consulté le ).
  31. « Municipales à Martinvast. Jacky Marie vers un troisième mandat ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Martinvast. Jacky Marie élu pour un quatrième mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Domaine de Beaurepaire (également sur commune de Hardinvast) », notice no PA00110448, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Parc du domaine de Beaurepaire », notice no IA50000229.
  38. « Église », notice no PA00110449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Tableau (panneau peint) : L'Enfant Jésus adoré par la Vierge, avec des saints et des anges », notice no PM50000636.
  40. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50000635.
  41. « Bas-reliefs », notice no PM50000637.
  42. Site du diocèse.
  43. a b et c Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 85.
  44. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 87.
  45. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 86.
  46. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Martinvast » (consulté le ).
  47. « La Manche libre - Les Vallons de Martinvast ce samedi »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).