Le Tréport
Le Tréport | |||||
Le Tréport, vue panoramique depuis Tréport-Terrasse. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC des Villes Sœurs | ||||
Maire Mandat |
Laurent Jacques 2020-2026 |
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Code postal | 76470 | ||||
Code commune | 76711 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tréportais | ||||
Population municipale |
4 723 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 698 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 03′ 41″ nord, 1° 22′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 110 m |
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Superficie | 6,77 km2 | ||||
Type | Commune urbaine et littorale | ||||
Unité urbaine | Eu (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Eu (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Eu | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Tréport est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Avec Eu et Mers-les-Bains, elle est l'une des trois principales villes de l'unité urbaine d'Eu qui fait entièrement partie de l'intercommunalité dénommée communauté de communes des Villes Sœurs.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Située dans le nord du département et au bord de la Manche, la commune du Tréport possède une plage de galets au pied des falaises de craie et un port. La commune a pour origine l'estuaire de la Bresle, petit fleuve côtier, long de 72 kilomètres[1].
Station balnéaire, la commune dispose d'un casino, de restaurants et de brasseries.
Avec Eu et Mers-les-Bains, elle fait partie des « trois villes sœurs ».
Transports routiers[modifier | modifier le code]
La localité est desservie par les lignes d'autocars no 1 et no 2 (Mers-les-Bains - Oisemont - Amiens et Mers-les-Bains - Friville - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[2].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Le Tréport est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Eu, une agglomération inter-régionale regroupant 6 communes[6] et 16 718 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Mentionné au XIe siècle sous les formes latinisées Ulteris portum et Ultris portum, d'un bas latin non attesté *Ultrensis portus « le port qui est au-delà », celui-ci se situant en aval de la ville d'Eu. La forme picarde le Troiport, parfois citée au Moyen Âge, ne s'est pas maintenue[14].
Histoire[modifier | modifier le code]
L'abbaye Saint-Michel du Tréport, fondée en 1053 par les bénédictins, a disparu à la Révolution.
La vocation de station balnéaire du Tréport a débuté sous le règne de Louis-Philippe, quand la famille de ce souverain, résidant régulièrement à Eu, inaugura la mode des bains de mer. La grande bourgeoisie parisienne ne tarda pas à faire construire des villas sur le front de mer et à y mener une vie mondaine jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Le tramway a été installé à cette époque en corollaire..
On voit ici les voyageurs descendus d'un train de plaisir, avant la Première Guerre mondiale.
La plupart des villas ont été détruites lors des opérations militaires de 1944, ce qui explique la présence d'une architecture typique de la Reconstruction, particulièrement en bord de mer.
Un collège du Tréport porte le nom de Rachel-Salmona, en mémoire d'une fillette de 10 ans déportée en , subissant le sort de son père Vitali quelques mois après lui, au camp d'Auschwitz avec sa sœur, sa mère et sa grand-mère, après avoir été internée à Dieppe et au camp de Drancy.
L'armée allemande craignant pendant l'ensemble de la Seconde Guerre mondiale un débarquement en Normandie, a fait percer la falaise de plusieurs galeries pour y bâtir des défenses dirigées vers la mer. Ces galeries, dont l'ensemble porte le nom de Kahl-Burg, sont accessibles et visitables aujourd'hui[15].
La paix et la reconstruction ont ramené un retour du tourisme populaire et de la vie balnéaire.
Une huîtrière, où l'on dégustait les produits de la mer à la sortie même des bassins, se situait tout au bout de la jetée, juste au-dessous des falaises, après le funiculaire. Lieu pittoresque et populaire, l'huîtrière ferma ses portes dans les années soixante-dix.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2018, la commune comptait 4 723 habitants[Note 3], en diminution de 7,68 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Le port « départemental »[25] du Tréport a été construit sur l'embouchure de la Bresle, fleuve qui marque historiquement la limite entre la Normandie et la Picardie. Mers-les-Bains est donc sur la partie picarde de ce petit estuaire dont la partie sud fait fonction de port de pêche, de port de plaisance et de port de commerce (bois, argiles et phosphates essentiellement). Il fut géré par la chambre de commerce et d'industrie du Littoral normand-picard.
Le Tréport fut le siège de la chambre de commerce et d'industrie du Tréport jusqu'en 2006. La gestion de l'aérodrome du Tréport et de son port est dévolue désormais à l'antenne de la chambre de commerce et d'industrie Littoral Hauts-de-France.
L'activité de pêche au Tréport est ancienne, partagée avec d'autres ports dont celui de Dieppe[26]
Un projet d'éolien offshore qui était à l'étude depuis plusieurs années, porté par EMDT, filiale du groupe Engie, et appuyé par le conseil régional de Normandie, a reçu le feu vert du gouvernement le : il s'agit d'un parc éolien de 62 éoliennes (de 8 mégawatts (MW) chacune[27]) qui sera implanté, entre 14 et 24 m de fond, à 17 km au large de Dieppe et à 15,5 km du Tréport[28]. Le , après deux enquêtes publiques ouvertes en octobre, le conseil départemental de la Seine-Maritime a également émis (à l'unanimité) un avis favorable au projet, estimant qu'il s'agit d'un « projet d'avenir, aux enjeux économiques importants, qui s'inscrit dans l'objectif du Grenelle de l'Environnement qui fixe à au moins 23% la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique d'ici 2020 »[29]. La production attendue est de 2 000 gigawatt heures (GWh) d'électricité par an, de quoi alimenter environ 850 000 personnes (environ les deux tiers de la population de Seine-Maritime, selon EMDT)[27]. Malgré les études montrant l'« existence d’un effet de type « récif artificiel » associé aux fondations des éoliennes a été très nettement observée au sein des parcs déjà construits, et ce après un an seulement. Selon ces observations, l’implantation de parcs éoliens en mer semble favoriser l’augmentation locale de biomasse et de biodiversité marine, ce qui pourrait avoir un effet positif sur les communautés de poissons »[30] (par exemple, selon une étude danoise, au pied des parcs éoliens de Horns Rev et Nysted, la biomasse en organismes benthiques fixés sur le substrat a augmenté d'un facteur 50 à 150[31]), ce projet a reçu de vives critiques des pêcheurs locaux (relayés par leurs municipalités de Dieppe et du Tréport), qui craignent[32] que ce parc fasse fuir les poissons ou les rende plus difficiles à approcher[27].
La mise en exploitation est prévue pour 2021 (son autorisation [33] prendra fin si les installations ne sont pas mises en service dans leur intégralité le ). Le Département de Seine-Maritime en attend 120 emplois directs sur le bassin Dieppe-Le Tréport, pour l'exploitation, la maintenance, le contrôle et la surveillance, alors que « l'implantation d'usines de fabrication d'éoliennes au Havre permettra quant à elle la création d'environ 750 emplois et le recours à plus d'une soixantaine d'entreprises locales durant la phase de construction ».
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Vestiges de l'abbaye Saint-Michel du Tréport[34]
- L'église Saint-Jacques du Tréport[35], des XIVe et XVIe siècles, restaurée en 1699, est classée au titre des monuments historiques.
- Ancien presbytère[36], du XVIe siècle, classé au titre des monuments historiques depuis 1910.
- Ateliers du verre à la flamme.
- Chapelle Saint-Julien.
- Musée du vieux Tréport : ancien hôtel de ville, ancienne prison, porte voûtée du XVIe siècle ; musée d'histoire locale.
- Le phare du Tréport, en bout de jetée.
- Le funiculaire (1908, réhabilité en 2006) reliant les quartiers bas de la ville au sommet des falaises.
- La halle aux poissons est accessible toute l'année aux particuliers.
- Monument aux morts dû à Maxime Real del Sarte (1921).
- Kahl-Burg : réseau défensif de galeries creusées dans les falaises pendant l'occupation.
- Musée contemporain de la poupée d'artiste, inauguré en 1989.
- Verreries d'Henri Scobart et de M. Desjonquères[37].
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
- ZNIEFF de type 1
- ZNIEFF de type 2
- Le littoral de Criel-sur-Mer au Tréport[39] : Le Tréport possède de hautes falaises de craie culminant à 100 m.
Talus boisé à la base de l'église,
Site classé
Belvédère du Kahl-Burg.
- Site classé
- Talus boisé à la base de l'église Saint-Jacques
Site classé (1924).
Le Tréport à la télévision et au cinéma[modifier | modifier le code]
La cité portuaire, à l'image de quelques villes environnantes, attire souvent les caméras. Y sont tournés entre autres :
- Le film d'Agnès Merlet Le Fils du requin, tourné au Tréport, ainsi qu'à Ault
- Un épisode de la série L'Instit (Saison 1, épisode 3 "Concerto pour Guillaume" avec Robinson Stévenin) avec l'acteur Gérard Klein a été tourné dans la ville du Tréport. Les élèves de l'école y tiennent les rôles de figurants.
- Le téléfilm de Jérôme Foulon "Il n'y a pas d'amour sans histoires" avec Clémentine Célarié
- La série policière Les Témoins créée par Marc Herpoux et Hervé Hadmar et diffusée à partir du sur France 2 avec Thierry Lhermitte et Marie Dompnier a pour cadre la ville du Tréport. De nombreuses scènes y sont tournées.
- Le film Ma vie avec James Dean (2017) de Dominique Choisy.
- Le film Été 85 (2020) de François Ozon.
Représentations artistiques de la ville et de ses environs[modifier | modifier le code]
- Jules Achille Noël : Arrivée d'une diligence au Tréport, 1878, Musée des beaux-arts de Quimper[40].
- Un tableau d'Eugène Isabey représente la visite officielle de la Reine Victoria au Tréport en 1843 à bord du yacht royal HMY Victoria and Albert.
- Eugène Berthelon (1829-1916) : Ancienne jetée du Tréport, un jour de tempête, présentée au Salon des Artistes français de 1889. - 1898 Gros temps pendant les travaux de la jetée du Tréport, - Marée basse au Tréport, 1908.
- L'heure du bain, 1882, peinture d'Évariste Carpentier qui séjourna au Tréport.
- Falaise près du Tréport, toile d'Albert Huyot qui vint au Tréport en 1928.
- Le Tréport est un thème important dans les œuvres de Charles Wislin, Paul Denarié, Frank-Will (qui eut un temps sa petite galerie sur le quai François-Ier), de Jean Chapin et d'Alexandre Garbell qui y effectua de multiples séjours.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Paul Paray est un chef d'orchestre et compositeur français, né le au Tréport et mort le à Monte-Carlo. Son père, sculpteur sur ivoire, remplit aussi les fonctions de maître de chapelle au Tréport. Paul Paray composa en hommage à sa ville natale sa symphonie no 2, Le Tréport, (1936-1939).
Georges Onésime Choquart est un résistant français, né le au Tréport et mort le à Mers-les-Bains.
William Sheller mentionne Le Tréport dans sa chanson Photos-souvenirs.
Le chanteur Allan Vermeer chante Le Tréport dans la chanson du même nom, présente dans l'album Je vous ai attendue (2005, Marianne Mélodie / Sony BMG).
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de la commune du Tréport se blasonnent ainsi :
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Alain Minard, Une ville normande - Histoire du Tréport des premiers âges à l'aube du XXe siècle, Association Aquarelle Découvertes éditeur, Ault, 2009.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes de la Seine-Maritime
- La Bresle
- Gare du Tréport - Mers
- Tramway d'Eu-Le Tréport-Mers
- Les deux autres « villes sœurs » : Eu et Mers-les-Bains
- La falaise en 1989 Bicentenaire de la Révolution
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Le Tréport sur le site de l'Institut géographique national
- Site de l'office de tourisme le Tréport
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- SANDRE, « Fiche cours d'eau La Bresle (G01-0400) » (consulté le 27 août 2018).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 4 avril 2021).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 4 avril 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 4 avril 2021).
- « Unité urbaine 2020 d'Eu », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 4 avril 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 4 avril 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 4 avril 2021).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duEu », sur insee.fr (consulté le 4 avril 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 4 avril 2021).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le 4 avril 2021).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le 4 avril 2021).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le 4 avril 2021).
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- « kahl-burg - accueil », sur kahl-burg (consulté le 25 juillet 2018).
- « Disparition. Le maire du Tréport est décédé », Ouest-France, 18 janvier 2016.
- « Le maire Alain Longuent est décédé : Après un long et courageux combat contre la maladie, Alain Longuent, le maire du Tréport, est décédé hier soir à l'âge de 67 ans », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le 27 mai 2020) « Âgé de 67 ans, il était maire de la commune depuis 1998 et élu depuis 1977 ».
- Jerôme Buresi, « Alain Longuent réélu, en son absence : Suite aux élections municipales, les nouveaux élus ont été installés samedi matin. Alain Longuent a été réélu maire, en son absence. Un hommage a été rendu à Jean Garraud. », L'Informateur - L’Éclaireur, (lire en ligne).
- Jérôme Buresi, « Laurent Jacques, nouveau maire du Tréport : Samedi 30 janvier, un conseil municipal a eu lieu au Tréport. Suite au décès d'Alain Longuent, c'est Laurent Jacques qui a été élu maire », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le 27 mai 2020).
- Xavier Togni, « Laurent Jacques réélu maire du Tréport : Réuni dans l’immense salle Reggiani, lundi 25 mai, le conseil municipal a réélu Laurent Jacques maire du Tréport. Il a appelé l’opposition à se montrer constructive », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le 26 mai 2020) « Arrivé largement en tête du premier tour, avec 73 % des voix, il a tout de même pointé le fort taux d’abstention, de nombreux Tréportais n’ayant pas osé se déplacer à cause du virus, et reconnu qu’il avait « forcément influencé le résultat ». (...) Laurent Jacques a été reconduit avec 24 voix, contre trois à Cédric Mompach, chef de file de l’opposition ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Bras J.P & Orange G (2005) Risques et légitimité de l'action publique locale: heurs et malheurs d'une collectivité territoriale dans ses interventions économiques. Politiques et management public, 23(4), 53-72
- Collins, J. (1984). La flotte normande au commencement du XVIIe siècle: Le Mémoire de Nicolas Langlois (1627). In Annales de Normandie (Vol. 34, No. 34, pp. 361-380). Université de Caen.
- AFP & Connaissance des énergies (2018) Projet éolien offshore au Tréport: avis favorable du conseil départemental paru le 23 novembre 2018, consulté le dimanche 25 novembre 2018
- « Eolien en mer : le gouvernement autorise deux parcs contestés », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le 7 novembre 2018).
- « Avis favorable au parc éolien offshore en Seine-Maritime », sur FIGARO, (consulté le 24 novembre 2018).
- Guénard (2018) Les parcs éoliens en mer: état des lieux et perspectives. LPO
- Dong Energy, Vattenfall, Danish Energy Authority & Danish Forest and Nature Agency (2006) Danish Offshore Wind: Key Environmental Issues. 142 p. URL: http://193.88.185.141/Graphics/Publikationer/Havvindmoeller/index.htm . Consulté le 20 décembre 2012.
- reportage de France 3
- arrêté publié au Journal officiel
- [1] Cartulaire de l'abbaye Saint-Michel du Tréport.
- Notice no PA00101069, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00101070, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Verriers de la Vallée de la Bresle - un Lock-out - le 7/9/1908 », Le Figaro, , p. 3 (lire en ligne).
- « Les ouvrages militaires souterrains du Kahlbourg et du centre Calamel », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 août 2018).
- « A », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 30 août 2018).
- [2].
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=1627