Yvetot-Bocage

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Yvetot-Bocage
Yvetot-Bocage
L'église Saint-Georges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Alain Croizer
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50648
Démographie
Gentilé Yvetotais
Population
municipale
1 182 hab. (2020 en augmentation de 6,01 % par rapport à 2014)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 24″ nord, 1° 30′ 13″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 75 m
Superficie 12,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Valognes
(banlieue)
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.yvetot-bocage.fr

Yvetot-Bocage (prononcé [ivtobokaʒ]) est une commune française située dans le département de la Manche (région Normandie), peuplée de 1 182 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au centre de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 3,5 km au sud-ouest de Valognes, à 10 km à l'est de Bricquebec et à 14 km au nord de Saint-Sauveur-le-Vicomte[1].

Yvetot-Bocage est dans le bassin de la Douve, par deux de ses affluents. La majeure partie, orientale, a ses eaux collectées par le Merderet qui délimite le territoire à l'est et par ses propres affluents dont le ruisseau de Grismarais qui fait partiellement fonction de limite au sud. L'ouest est drainé par le ruisseau du Marais Renard, plus modeste, qui prend sa source dans la commune et rejoint la Douve — appelée à cet endroit l'Ouve — sur le territoire de la commune de Négreville voisine.

Le point culminant (75 m) se situe en limite nord, au lieu-dit la Brique. Le point le plus bas (13 m) correspond à la sortie du Merderet du territoire, au sud-est. Au nord de la commune existent quelques vestiges de l'ancienne forêt de Brix, avec le bois des Fosses et celui de la Tuilerie, extensions du bois de la Brique (à Négreville).

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • la Barre, la Basfeuille (manoir), Bas-Marais, la Brique
  • le Carrefour des Vergers, Hameau des Carrières, le Petit Château, la Chaussée, la Cointerie, la Cour (manoir), le Coutre, la Croix Blanche, le Clos du Puits
  • les Dours
  • le Hameau de l'École, l'Épiscopat (manoir)
  • Fenard, la Fontaine aux Cœurs, la Fontenelle (manoir), les Fosses (bois)
  • la Garderie, la Girotterie, Grismarais
  • Hameau Gallis, Hameau Larcher, le Hameau ès Pages, la Haulle (manoir), la Houtevillerie
  • la Lamberterie, la Lande (manoir), la Lande de Millières, la Londe, la Petite Londe, la Grande Londe (manoir), la Lysonnerie
  • Maisons Gargatte, Maison Vignon, le Manoir (manoir), la Mare, les Mares, la Marterie, Mesnil Grand (très beau manoir), Montigny (manoir), Muray
  • la Planche Gargatte
  • le Séminaire (belle maison), Servigny (château inscrit)
  • le Tot, Toves, la Tuilerie (manoir et bois)
  • la Valette (manoir), la Vautière, Vic, la Vicquerie, la Vignonerie, Village Bouteiller, Village d'Henrionnet, Village Laurent, Village des Saints.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 11 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 921 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[11].

Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Yvetot-Bocage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valognes, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[19] et 7 948 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,2 %), terres arables (29,1 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Yvetot et Ivetot en 1056, Ivetooht, Ivetoht et Ivetoth vers 1180, Ivetot en 1203[25],[26].

Il s'agit d'une formation médiévale en -tot[27], appellatif toponymique normand issu du norrois topt, toft, devenu -toht dans les plus anciens documents (cf. Yvetot, Seine-Maritime, Ivetoht 1025-1026). L'élément Yve- représente le nom de personne germanique continental Ivo ou norrois Ívarr par attraction paronymique du précédent, peut-être par le biais d'une forme *Ivi hypothétique. Ivo explique les prénoms et patronymes Yves et Yvon, bien attestés en Normandie, et Ívarr, le patronyme Yver centré sur la Normandie encore au début du XXe siècle[28]. On les retrouvent dans Yvetot, Yvecrique, La Chapelle-Yvon, Boisyvon, etc.[29],[30],[31].

Yvetot a reçu le déterminant complémentaire -Bocage en 1919[32] pour la différencier d'autres Yvetot de Normandie.

Le gentilé est Yvetotais.

Les noms de hameaux suivant sont d'origine norroise : la Brique, Grismarais, la Haulle, la Londe, Gargatte, la Mare, le Tot, Toves, Vic.

Histoire[modifier | modifier le code]

Riche terroir situé à proximité de Valognes, la commune d'Yvetot-Bocage est pourvue d'un nombre important de belles maisons, notamment en raison des carrières de pierre calcaire, exportées dans tout le Cotentin depuis plusieurs siècles.

La « pierre d'Yvetot » a été employée depuis le XIe siècle sous le nom de « calcaire de Valognes » pour la construction de la plupart des églises et manoirs de la région. À partir du XVe siècle, on l'utilise notamment pour l'ornement extérieur et intérieur des maisons (cheminées, ouvertures), là ou l'on n'utilise pas le granite, de taille plus difficile. La pierre d'Yvetot a été utilisée jusqu'au XXe siècle.

C'est à Yvetot-Bocage qu'est signée la reddition de Cherbourg le reçue par le général américain Lawton Collins du général allemand Karl-Wilhelm von Schlieben.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1780 1790 Michel de La Barre    
1790 1792 André Hallot    
1792 1804 Nicolas Basley    
1804 1816 Joseph Leveel de La Haulle    
1816 1820 Édouard Abasquene de Parfouru    
1820 1834 Pierre Varin    
1834 1859 Louis Navet-Desvallées    
1859 1876 Jean Regnouf    
1876 1884 Clément Navet    
1884 1889 Marin Hallot    
1889 1897 Bon Herequin    
1897 1919 Octave Picot    
1919 1926 Joseph Alexandre    
1926 1937 Alexandre Langlois    
1937 1944 Joseph Marc Abasquene de Parfouru    
1944 1966 Jules Langlois    
1966 1973 Pierre Couppey    
1973 2001 Raymond Passilly    
2001 En cours Alain Croizer[33] SE Agent de maîtrise
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[33].

Culte catholique[modifier | modifier le code]

Yvetot-Bocage relève du diocèse de Coutances-et-Avranches. Avant 1801, la paroisse relevait de l'ancien diocèse de Coutances puis de l'éphémère diocèse de la Manche.

L'ancienne paroisse catholique d'Yvetot, qui était à l'origine de la commune actuelle, a été supprimée en 1995. Yvetot relève désormais de la nouvelle paroisse de Valognes. L'église reste toutefois église paroissiale, au même titre que les autres églises des anciennes paroisses.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2020, la commune comptait 1 182 habitants[Note 9], en augmentation de 6,01 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Yvetot a compté jusqu'à 1 253 habitants en 1846.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0621 1851 1851 2111 2351 2371 2021 2531 208
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1261 1371 0259801 026981885874856
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
827801807689708700664742804
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8227707717951 0441 0271 0221 0071 111
2014 2019 2020 - - - - - -
1 1151 1821 182------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Monuments[modifier | modifier le code]

Église paroissiale[modifier | modifier le code]

Vue intérieure de l'église.

Classée aux monuments historiques depuis 1973[37], l'église Saint-Georges possède un chœur voûté du XIIIe siècle bordé de collatéraux du XVe. La nef a été entièrement reconstruite au XVIIIe siècle. L'édifice abrite trois statues, une poutre de gloire, une chaire et un coffret aux saintes huiles, avec trois ampoules aux saintes huiles, classées au titre objet[38], ainsi que des fonts baptismaux en pierre calcaire d'Yvetot et son couvercle en bois de chêne, de la fin du XVIIIe ou début XIXe siècle[39].

Le clocher est du XIIIe siècle.

Chapelles[modifier | modifier le code]

  • Chapelle particulière datée de 1645, ajoutée à l'église.

Châteaux et manoirs[modifier | modifier le code]

Portail du château de Servigny.
Le château de Servigny.
  • Château de Servigny, du XVIe siècle, reconstruit au XIXe siècle en un véritable château, inscrit au titre des monuments historiques[40]. La seigneurie de Servigny appartenait au XIVe siècle à la famille Meurdrac, puis au XVIIe siècle à celle des Plessart. Lieu de la signature du traité de Servigny en 1944 (voir ci-dessus). Jules Barbey d'Aurevilly y situe l'action de son roman Le bonheur dans le crime (paru en 1874).
  • Manoir de Mesnilgrand construit au XVIIe siècle[41] dans le style Renaissance cotentinaise, comme aux châteaux de Sotteville et de Crosville-sur-Douve. Transformé en exploitation agricole. Manoir du début du XVIIe siècle[42] avec ses lucarnes en œil-de-bœuf et ses cinq cheminées, qui s'éclaire par des fenêtres pour la plupart surmontées d'un fronton triangulaire à meneaux dont la pierre est dite à la Crosville. L'entrée du domaine est encadrée de deux poteaux imposants couronnés d'une boule. En 1640, il est la demeure de Jean de Varin, fils d'un lieutenant général de l'élection de Valognes, qui y vit avec son épouse Catherine du Quesnay. À la fin du XVIIe siècle, il est la possession de la famille Gallis de Mesnilgrand, famille d'officier de robes de Valognes[Note 10][43].
  • Manoir d'Azir XVIIIe siècle[41], ayant appartenu à Félix Vicq d'Azyr (1748-1794), médecin, membre de l'Académie française.
  • La Cour d'Yvetot XVIIe siècle[41], ancien manoir seigneurial. Au-dessus de la porte d'entrée, une pierre calcaire sculptée insérée porte un écu martelé ou usé, supporté par deux lions affrontés et timbré d'un casque posé de profil senestre, signe de bâtardise. Les armes qui sont figurées sont celle de la famille Le Tellier de La Luthumière, « d'argent à la croix de gueules cantonnée de quatre lionceaux de sable[44] ».
  • La Grande Londe XVIIIe siècle[41], manoir-ferme.
  • Manoir de la Tuilerie[41], construit en 1810.
  • Manoir de la Basfeuille (XIIIe siècle), manoir des archidiacres du Cotentin.
  • Le Séminaire, ancien séminaire[réf. nécessaire].
  • L'Épiscopat, ancien manoir des évêques de Coutances[réf. nécessaire].
  • Manoir de Montigny[41], construit dans les années 1654-1656.
  • Manoir de la Haulle XVIIIe siècle[41].
  • Manoir de la Fontenelle XVIIe siècle[41].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Le Football Club d'Yvetot-Bocage fait évoluer une équipe de football en division de district[45].

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale, le 23 avril ou le dimanche suivant.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  10. Barbey d'Aurevilly les mettra en scène dans l'une de ses Diaboliques.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Yvetot-Bocage et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Yvetot-Bocage et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Valognes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 237.
  26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1018.
  27. François de Beaurepaire, op. cit.
  28. Site de géopatronyme : répartition par naissance du patronyme Yver
  29. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
  30. François de Beaurepaire, op. cit., p. 80.
  31. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 72a.
  32. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. a et b Réélection 2014 : « Yvetot-Bocage (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  37. « Église », notice no PA00110645, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Œuvres mobilières à Yvetot-Bocage.
  39. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 163.
  40. « Château de Servigny », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. a b c d e f g et h René Gautier, 601 communes et lieux de vie de la Manche : et les 46 communes fusionnées ou associées depuis 1960, Marigny/14-Bayeux, Éditions Eurocibles, , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 689.
  42. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 203.
  43. Girard et Lecœur 2005, p. 20.
  44. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 206.
  45. « FC Yvetot-Bocage », sur Site officiel de la Ligue de Normandie (consulté le ).