Montaigu-la-Brisette

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Montaigu-la-Brisette
Montaigu-la-Brisette
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Dominique Godan
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50335
Démographie
Gentilé Montaiguais
Population
municipale
496 hab. (2020 en diminution de 2,55 % par rapport à 2014)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 54″ nord, 1° 25′ 11″ ouest
Altitude Min. 37 m
Max. 131 m
Superficie 14,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.montaigu-la-brisette.fr

Montaigu-la-Brisette (Montaigu jusqu'en 1956) est une commune française du département de la Manche, dans la région Normandie, peuplée de 496 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est à l'ouest de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 8 km au nord-est de Valognes, à 9 km à l'ouest de Quettehou, à 15 km au sud de Saint-Pierre-Église et à 20 km au sud-est de Cherbourg[1].

Le territoire est bocager et très boisé (bois de Barnavast, bois de Saint-Martin).

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 894 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Le Theil, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 919,7 mm pour la période 1981-2010[11].

Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montaigu-la-Brisette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[16],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59 %), forêts (17,7 %), terres arables (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous la forme Mons Acutus au XIe siècle[22], Monsacuto dans les années 1040[23].

Montaigu est issu du latin mons, « mont » et acutus (« aiguisé, rendu aigu »), qui a suivi la même évolution que l'adjectif en français, adjectif dû à la position élevée du site où se trouve l'église.

La Brisette, complément rajouté en 1956[24], est le nom d'un château situé dans la commune voisine de Saint-Germain-de-Tournebut. Il s'agirait d'un dérivé de l'ancien français brise signifiant « labour » ou « terre labourée » qui caractériserait une terre essartée[25], à une époque où les forêts occupaient une grande partie du territoire.

Le nom de Montaigu-la-Brisette est précédemment employé dans l'acte de décès no 96 du , folio 32, de l'état-civil de Cherbourg.

Le gentilé est Montaiguais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Grande villa gallo-romaine sur le ruisseau de la Fontaine aux Prêles, avec aménagements hydrauliques importants[26].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Montaigu qui comprenait six fiefs, et devient un bailliage secondaire, était la possession des Montgomery-Bellême, comtes d'Alençon, enclave judiciaire du comté d'Alençon en 1054, par la suite vicomté d'Alençon-en-Cotentin jusqu'à la Révolution. La vicomté s'étendait sur Anneville-en-Saire, Carquebut, Hacqueville-Hague, Quettehou, Réville, Saint-Martin-d'Audouville, Tamerville, Theurteville-Bocage ; ainsi que dans des lieux disséminés dans la Hague, le Plain ou le Val de Saire[27].

Dans les années 1040, deux chevaliers libres et nés libres (liberi et ingenuii), Auvray et Anquetil, du consentement de leurs parents offrirent et concédèrent respectivement 60 et 40 acres de terre située à Montaigu-la-Brisette (Monsacuto) à l'église Sainte-Trinité de Fécamp[23].

Au XIIIe siècle, la vicomté passa à la famille de Malet de Graville à la suite du mariage de Robert de Malet avec la fille du comte d'Alençon, Philippine de la Roche-Mabille[27].

En 1458 comme rapporté par l'abbé de Fécamp, la paroisse, sis en la vicomté de Valognes, au bailliage du Cotentin était la possession de l'abbaye[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[29]
Période Identité Étiquette Qualité
1934 1947 Léon Gréard    
1947 1959 A. Lepoitevin-Descourcières    
1959 1989 Henri Piquenot    
1989 mars 2001[30] André Lepoitevin-Descourcières    
mars 2001[31] mars 2014 Alain Dufour DVD Notaire assistant
mars 2014[32] En cours Dominique Godan SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[33].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2020, la commune comptait 496 habitants[Note 9], en diminution de 2,55 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Montaigu-la-Brisette a compté jusqu'à 1 187 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0801 1801 1871 1051 1081 1641 1421 0711 001
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
935906891821859770785758703
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
640647615602592569539556559
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
472420395401407428466468506
2015 2020 - - - - - - -
511496-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Des fouilles au hameau Dorey ont révélé la présence d'une petite agglomération gallo-romaine, avec notamment des fondations d'anciens thermes[37], habitat et sanctuaire, occupée du Ier au IIIe siècle, datation confirmée par les céramiques mise à jour[29]. Le site avait été reconnu dès le XIXe siècle par Charles de Gerville[38].

Église Saint-Martin des XIIIe, XVe – XVIIIe siècles, avec un haut-relief la Charité de saint Martin (XIIIe), un maître-autel, tabernacle, retable, tableau l'Assomption et reliquaires (XVIIIe-XIXe), autels secondaires (XVIIIe), les statues de saint Jean apôtre (XVIIe), saint Martin évêque (XVIIe), saint Sébastien (XVIIIe), saint Nicolas (XVIIIe), saint Jacques (XIVe), saint Michel (XIVe), Vierge à l'Enfant (XIVe), christ en croix (XVIIe), classés au titre objet aux monuments historiques[39]

Dans le cimetière curieux ossuaire « à ciel ouvert » qui paraît antérieur au XVe siècle, orné de statues de saints décapitées. À l'ouest du cimetière se trouve la fontaine Saint-Martin, une petite construction enterrée, bâtie par des ancêtres à l'emplacement où il y aurait eu une fontaine ayant des vertus contre l'eczéma.

L'ensemble de la butte de l'église est un site pittoresque inscrit[40], et l'enclos paroissial comprenant en outre l'église, le cimetière, l'ossuaire (XIVe), le calvaire, la fontaine (asséchée) et sa statue saint Martin (XVIe)[29], est inscrit en 1970 et 1975 aux monuments historiques[41].

Un ancien moulin est présent au lieu-dit le Moulin Fleuri, ainsi qu'une chapelle dédiée à sainte Anne (XIIIe siècle)au hameau du même nom, et oratoires. On trouve également sur le territoire communal le manoir de Brisay du XVIe siècle, de la Sainte-Yverie du XVIe siècle ainsi que l'ancien presbytère du XVIIIe siècle[29].

Montaigu accueille sur son territoire, depuis 1983, un parc animalier bien développé et réputé.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Chaque année, la commune accueille une course automobile, la course de côte qui a lieu le premier dimanche suivant le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 402.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Gonneville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Montaigu-la-Brisette et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Gonneville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Montaigu-la-Brisette et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  23. a et b Éric Barré, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-Fécamp en Cotentin au Moyen-Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,‎ , p. 9 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 146.
  26. Axel Beauchamp, Ludovic Le Gaillard et Julie Cavanillas, « Un aménagement de ruisseau dans l’agglomération antique de Montaigu-la-Brisette : apport de l’analyse micromorphologique », sur researchgate.net, (consulté le ).
  27. a et b André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 41-42.
  28. Revue de la Manche, 148, p. 8.
  29. a b c et d Gautier 2014, p. 402.
  30. « Élections municipales 2001 - Montaigu-la-Brisette », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « Alain Dufour a présenté ses derniers vœux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Dominique Godan a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. « Montaigu-la-Brisette (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  37. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 12 et 13.
  38. Thin 2009, p. 13.
  39. Œuvres mobilières classées à Montaigu-la-Brisette.
  40. [PDF] « Dreal de Basse-Normandie - Arrêté du 28 août 1975 » (consulté le ).
  41. « Église et enclos paroissial », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.