Maupertus-sur-Mer
| Maupertus-sur-Mer | |
L'anse du Brick à Maupertus. | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays | |
| Région | Normandie |
| Département | Manche |
| Arrondissement | Cherbourg |
| Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
| Maire Mandat |
Thierry Gervaise 2020-2026 |
| Code postal | 50330 |
| Code commune | 50296 |
| Démographie | |
| Gentilé | Maupertusais |
| Population municipale |
229 hab. (2022 |
| Densité | 67 hab./km2 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 49° 39′ 28″ nord, 1° 29′ 04″ ouest |
| Altitude | Min. 0 m Max. 152 m |
| Superficie | 3,42 km2 |
| Type | Commune rurale à habitat dispersé |
| Unité urbaine | Hors unité urbaine |
| Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
| Élections | |
| Départementales | Canton du Val-de-Saire |
| Législatives | Quatrième circonscription |
| Localisation | |
| modifier |
|
Maupertus-sur-Mer (Maupertus jusqu'en 1948, prononcé [mopɛʁty]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 229 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Bretteville, Carneville, Fermanville et Gonneville-Le Theil.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le point culminant de la commune est à 152 m, et son point le plus bas au niveau de la mer.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ruisseau du Vivier[1],[Carte 1].

Climat
[modifier | modifier le code]Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[3]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique[4] et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Elle est en outre dans la zone H2a au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[6],[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 069 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Gonneville-Le Theil à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[9],[10]. La température maximale relevée sur cette station est de 33,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,3 °C, atteinte le [Note 3].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]- Anse du Brick, partagée entre Maupertus et Fermanville, où la plaine côtière a presque complètement disparu, et offre des altitudes supérieures à 40 mètres dominant directement la mer[11]. Cavité de la pointe du Brick classée espace naturel.
- Anse du Poulet.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Maupertus-sur-Mer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle est située hors unité urbaine[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,8 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), terres arables (18,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,6 %), zones urbanisées (12 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), forêts (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones humides côtières (0,1 %)[18].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Malpertus en 1217, Malo Pertuso vers 1280[19], Malpertusus sans date.
Le toponyme est issu de l'ancien français mal pertuis, « mauvais passage »[20],[19], dont mal pertus est une forme locale[21] et désignerait l'entrée du port[19].
La prononciation est [mopɛʁty][22].
La référence à la mer est rajoutée en 1948[23].
Micro-toponymie
[modifier | modifier le code]L'anse du Poulet, avec poulet issu du scandinave pollr qui signifie : anse arrondie, petite baie[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Comme dans les communes de Réthoville ou de Flamanville, on a trouvé à Maupertus des coins en bronze, attestant d'une occupation ancienne[25].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Vers 1180, Hamon Le Bouteiller, bailli de Cotentin, qui tenait le fief de Maupertus, donna l'église aux religieux de Longues[26]. Plus tard, le fief passa dans la famille de Pirou.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En 1567, Ollivier de Pirou, écuyer, sieur de Beaumont en Néville, de Fermanville, de Mangneville à Cosqueville, de Gonneville, de Maupertus et de Rideauville, est taxé pour ces fiefs de 134 livres dans le rôle des nobles et roturiers, au titre du ban et de l'arrière ban de la vicomté de Coutances, réalisé par Gilles Dancel, seigneur d'Audouville, lieutenant général du bailli de Cotentin, tenu à Coutances les -. Le fief noble de Maupertus était tenu du fief de Sottevast[27]. À la mort de son fils, Jean de Pirou, la succession est partagée entre ses trois sœurs. C'est Jeanne, mariée au sieur de Vauville, Louis Le Poupet, qui reçut Maupertus et Beaumont[Note 5]. Comme à Gonneville, c'est le neveu de Jeanne, Charles Jallot (1600-1673), fils de Charlotte de Pirou qui recueillit le fief de Maupertus et l'ajouta à celui de Gonneville. Charles Jallot marié à Suzanne de Bellefonds avec qui il eut plusieurs enfants, dont la dernière fille, Suzanne comme sa mère, qui épousa le marquis Antoine de Longaunay, gouverneur des ville et château de Carentan. C'est son fils, François-Antoine de Longaunay, qui succéda en 1673 à son grand-père Charles Jallot[24].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Au moment de la Révolution, Jean-Nicolas de Berruyer, capitaine de dragons du régiment de la reine, seigneur châtelain de Maupertus, Quinéville, Gonneville, Fermanville, le Breuil, Mesnil-Eury et autres lieux, dut en , émigrer[29]. Après la Révolution, le presbytère, l'écurie, le pressoir et un herbage de trois vergées furent achetés par M. Lecourt, mais ayant de faibles ressources, il les revendit à des particuliers, qui eux-mêmes les revendirent en 1824 à la commune[30]. Jean-François Lecourt (1747-1819) curé de Maupertus au moment de la Révolution qui avait prêté serment à la Constitution civile du clergé et s'était rétracté publiquement, continua d'exercer son ministère et se cachait avec l'aide du maire, Charles Dorey, qui le prévenait en cas de perquisition.
Jusqu'en 1800, la commune appartenait au canton de Digosville. À cette date, elle fut rattachée et ce jusqu'au élections de 2015 au canton de Saint-Pierre-Église[31] avant d'être rattaché au nouveau canton du Val-de-Saire.
De 1827 à 1837, il y eut une école avec pensionnat où des jeunes gens de Cherbourg venaient pour y apprendre le latin, mais qui dut fermer, car son fondateur n'avait pas demandé l'autorisation, comme exigée par la loi[30].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Le , on pose la première pierre de la nouvelle église Saint-Martin, qui sera consacrée le .
En 1943, à la suite de la volonté des Allemands d'agrandir le terrain d'aviation, il est ordonné à la population de transférer le cimetière resté sur le site de l'ancienne église. Les corps seront alors transférés par la population dans le nouveau cimetière autour de l'église[32].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[33].
Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Maupertusais[26].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2022, la commune comptait 229 habitants[Note 6], en évolution de +4,09 % par rapport à 2016 (Manche : −0,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %). Maupertus a compté jusqu'à 467 habitants en 1821.
Économie
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 1922 a fonctionné une carrière, achetée par la ville de Lille pour fournir les pavés nécessaires à cette dernière[31].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Aéroport de Cherbourg - Manche, qui s'étend sur les communes de Maupertus et Gonneville, et dont la construction a débuté en 1937[32]. Lors de la Seconde Guerre mondiale il a été vivement défendu par les Allemands qui y avaient installé des batteries de DCA.
- Menhir de la Grande Pierre en poudingue (2500 à 4000 ans av. J.-C.), sur le bord de la D611 classé au titre des monuments historiques depuis 1889[37]. D'une hauteur de quatre mètres, il avait été abattu pendant la Seconde Guerre mondiale et fut relevé en 1997 en limite de l'aéroport.
- Manoir de Maupertus des XVe, XVIe – XIXe siècles. La ferme-manoir avec un vieux puits en pierre, construite par la famille de Pirou, seigneur de Maupertus, est partiellement inscrite au titre des monuments historiques depuis le [38].
- Église Saint-Martin reconstruite à partir de 1872 en style néogothique au centre de la paroisse, en grande partie aux frais personnels de Marie-Barbe de Longaunay (1794-1891)[30],[Note 7] et avec le concours de la population qui offrit son travail, pour remplacer l'ancienne église Saint-Martin dont il ne reste plus de trace[39] et qui se dressait au Clos de l'église. La nouvelle église fut consacrée en 1886.
- Elle arbore au fronton de son portail un haut-relief saint Martin et le pauvre du XVIe. À l'intérieur, christ en croix (du XVIIIe, tableau donation du rosaire du XVIIIe, fonts baptismaux du XVIIIe.
- Croix de cimetière du XVIIe siècle.
- Puits en pierre au hameau de La Rue.
- Restes d'une position allemande, sur un éperon rocheux, surmontant le site du Grand Castel.
- Site du Grand Castel interprété comme une vigie romaine[Note 8]. En 1788, on y a découvert plus de 80 médailles du Haut-Empire[31].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jeannine Bavay, « Maupertus-sur-Mer », Vikland, la revue du Cotentin, no 5, avril-mai-juin 2013, p. 30-33 (ISSN 0224-7992).
- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 133.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 395.
- Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 100-103.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Résumé statistique de Maupertus-sur-Mer sur le site de l'Insee
- Sédimentation quaternaire et magmatisme à l'Anse du Brick sur le site Lithothèque de Normandie
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur Météo-France, (consulté le ). Site élaboré à partir des données de projections climatiques de référence DRIAS-2020. Entrer le nom de la commune pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Les records sont établis sur la période du au .
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Catherine reçut Fermanville, et Charlotte Gonneville[28].
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ Marie-Barbe de Longaunay avait épousé le riche marquis de Briges (1784-1857).
- ↑ Certains auteurs y ont vu un château féodal, bien que le site ne soit pas assez vaste pour une telle construction.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ « Réseau hydrographique de Maupertus-sur-Mer » sur Géoportail (consulté le 13 avril 2025).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- ↑ « Fiche communale de Maupertus-sur-Mer », sur sigessn.brgm.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
- ↑ Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116, (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
- ↑ « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le ).
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Maupertus-sur-Mer et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Theil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Gonneville », sur la commune de Gonneville-Theil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ Thin, Le Val de Saire, p. 158.
- ↑ « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Maupertus-sur-Mer ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- ↑ « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1367.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- ↑ René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 193.
- ↑ René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 169.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Bavay, Vikland n°5, p. 31.
- ↑ Jeannine Bavay et Edmond Thin, « Réthoville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6, juillet-août-septembre 2013, p. 38 (ISSN 0224-7992).
- Gautier 2014, p. 395.
- ↑ Léonor de Mons, « Rôle du ban et de l'arrière-ban de la vicomté de Valognes », Revue de la Manche, Société d'archéologie et d'histoire de la Manche (SAHM), t. 57, no 227, janvier-février-mars 2015, p. 42 (ISSN 1161-7721).
- ↑ Bavay, Vikland n°5, p. 38.
- ↑ Thin, Le Val de Saire, p. 24.
- Bavay, Vikland n°5, p. 32.
- Bavay, Vikland n°5, p. 30.
- Bavay, Vikland n°5, p. 33.
- Réélection 2014 : « Maupertus-sur-Mer (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ « Menhir », notice no PA00110451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Manoir », notice no PA00110450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Thin, Le Val de Saire, p. 101.

