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Breteuil (Eure)

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Breteuil
Breteuil (Eure)
La mairie de Breteuil, au style néogothique, construite en 1869 sur les fondations de l'ancienne chapelle Logo monument historique Inscrit MH (2001).
Blason de Breteuil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Interco Normandie Sud Eure
Maire
Mandat
Gérard Cheron
2020-2026
Code postal 27160
Code commune 27112
Démographie
Gentilé Bretoliens
Population
municipale
4 284 hab. (2022)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 13″ nord, 0° 54′ 53″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 197 m
Superficie 55,05 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Breteuil
(ville isolée)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Breteuil (Eure)
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Breteuil
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Breteuil
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Breteuil
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Breteuil
Liens
Site web ville de Breteuil.fr

Breteuil, dite aussi Breteuil-sur-Iton, est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Avec le statut administratif de commune nouvelle, elle est issue le de la fusion des trois communes : l'ancienne commune Breteuil, Cintray et La Guéroulde[1]. La nouvelle entité administrative prend également le nom de Breteuil.

Géographie

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Cartographies de la commune
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte OpenStreetMap
  • 3Carte topographique
  • 4Carte avec les communes environnantes

Elle est située au sud de l'Eure, dans la région Normandie. C'est le chef-lieu du canton de Breteuil. Elle appartient à la communauté de communes du canton de Breteuil-sur-Iton. La commune est située à environ 100 km à l'ouest de Paris, 80 km au sud de Rouen et à 80 km au nord-ouest de Chartres.

Le territoire de la commune est principalement composé de vastes plaines et de massifs forestiers.

Breteuil-sur-Iton est l'une des 88 communes du pays d'accueil touristique d'Avre, d'Eure et d'Iton.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Iton, l'Iton bras Force de Breteuil, l'Iton bras Force de Verneuil, le Trou de Botte, le Rouloir, le bras 02 de Sauve-Qui-Peut[3], le bras 03 de Sauve-Qui-Peut[4], un bras de l'Iton[5], le canal 01 de la commune de Bemecourt[6], le cours d'eau 01 de Sauve-Qui-Peut[7], le fossé 02 de Sauve-Qui-Peut[8], l'Iton[9], le Ruel[10] et divers autres petits cours d'eau[11],[Carte 1].

L'Iton, d'une longueur de 132 km, prend sa source dans la commune de Mahéru et se jette dans l'Eure à Acquigny, après avoir traversé 39 communes[12].Les caractéristiques hydrologiques de l'Iton sont données par la station hydrologique située sur la commune de Mesnils-sur-Iton. Le débit moyen mensuel est de 1,34 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 21,4 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 32 m3/s, atteint le même jour[13].

L'Iton Bras Force de Breteuil, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Bourth et se jette dans l'Iton à Mesnils-sur-Iton, après avoir traversé quatre communes[14].

L'Iton Bras Force de Verneuil, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Bourth et se jette dans un bras de l'Avre à Verneuil d'Avre et d'Iton, après avoir traversé trois communes[15].

Le Rouloir, d'une longueur de 49 km, prend sa source dans la commune de Saint-Ouen-sur-Iton et se jette dans un bras de l'Iton à Glisolles, après avoir traversé 15 communes[16].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Breteuil[Note 2].

Huit plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la gravière 1 des Prés Baudouin (5,3 ha), la gravière 1 du Bas des Pâtures, d'une superficie totale de 1,7 ha (0,7 ha sur la commune), la gravière de la ballastière, d'une superficie totale de 9,6 ha (9,5 ha sur la commune), la gravière des Sablons (3,8 ha), le plan d'eau 2 des Berges de l'Iton (4,5 ha), le plan d'eau de la Haie Moray (0,7 ha), le plan d'eau du Marteau (2,5 ha) et les étangs de Cintray, d'une superficie totale de 6,2 ha (3,2 ha sur la commune)[Carte 1],[17].

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[19]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique[20] et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[21]. Elle est en outre dans la zone H1a au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[22],[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,2 mm[24],[25]. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 3].

Statistiques 1991-2020 et records station BRETEUIL (27) - alt : 168 m, lat : 48°50'14"N, lon : 0°54'27"E
Records établis sur la période du au
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 0,9 2,4 3,9 7,3 10,2 12,2 12,1 9,3 7,2 4 1,6 6
Température moyenne (°C) 4,4 4,8 7,5 9,9 13,4 16,6 18,7 18,7 15,4 11,7 7,5 4,7 11,1
Température maximale moyenne (°C) 7,5 8,8 12,5 16 19,5 22,9 25,2 25,3 21,6 16,3 11,1 7,9 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−18
06.01.1979
−18
24.02.1963
−14
08.03.1971
−5,5
11.04.03
−3
07.05.1957
0
06.06.1957
2
01.07.1960
1,2
28.08.1974
−1
25.09.03
−5,6
20.10.1969
−9,5
15.11.1965
−16,5
29.12.1964
−18
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
27.01.03
21
27.02.19
25,4
31.03.21
29,5
20.04.18
31
25.05.10
37,5
29.06.19
41
25.07.19
41
10.08.03
35,1
15.09.20
29,5
01.10.11
22
01.11.15
17
19.12.15
41
2019
Précipitations (mm) 60,7 52,8 52,3 46,5 63 56,6 57,6 45,5 52,9 65,5 65,6 79,2 698,2
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
41,3
23.01.1990
26
13.02.02
28,4
07.03.1989
41,4
08.04.22
77
28.05.18
96
04.06.18
83
03.07.1975
45
07.08.1970
40
01.09.1991
46,4
09.10.24
51,2
20.11.1965
30
15.12.11
96
2018
Source : « Fiche 27112001 » [PDF], sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base (consulté le )
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
7,5
1,2
60,7
 
 
 
8,8
0,9
52,8
 
 
 
12,5
2,4
52,3
 
 
 
16
3,9
46,5
 
 
 
19,5
7,3
63
 
 
 
22,9
10,2
56,6
 
 
 
25,2
12,2
57,6
 
 
 
25,3
12,1
45,5
 
 
 
21,6
9,3
52,9
 
 
 
16,3
7,2
65,5
 
 
 
11,1
4
65,6
 
 
 
7,9
1,6
79,2
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Au , Breteuil est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Breteuil, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].

Le lieu est attesté sous les formes Britullum au XIe siècle (charte de Raoul de Conches) ; Bretoil 1050 - 1066[31] ; Britolium en 1060[32] ; Bretolium en 1081[32] ; Britholium en 1130 (charte de Henri Ier) ; Bristollium en 1160 (traité de Louis VII et de Henri II) ; Brittol en 1167[32] ; Brutuillum en 1193 (bulle de Célestin III) ; Bretholium au début du XIIIe siècle[32] ; Britulium en 1202 (cartulaire de Saint-Père de Chartres) ; Brithulium en 1258[32] ; Breteul en 1317 (lettres de Philippe le Long); Bretueil en 1336 (charte de Jean, duc de Normandie) ; Breteul au XIVe siècle[32] ; Bretuel en 1356[32] ; Britoille en 1359 (traité entre le roi Jean et Édouard III) ; Bretheuil en 1378[32] ; Brethueuil en 1403[32] ; Bretheueil en 1455 (archives nationales) ; Bretheieul et Brethueul en 1469[32] ; Bretheul en 1492[32] ; Bretheuil en 1586 (procés-verbal de réformation de la coustume); Bretheuil en 1689 (arrêt du parlement); Breteuil sur Iton en 1789 (procés-verbal de l’assemblée du clergé du diocèse de Rouen)[32].

Ce type toponymique est représenté ailleurs dans la toponymie du nord de la France, puisqu'on y trouve Breteuil (Oise, Brituogilum VIe siècle), Breteil (Ille-et-Vilaine), Brethel (Orne) et Bretel (Oise, Saint-Germer-de-Fly)[31].

Albert Dauzat et Charles Rostaing[33] proposent, pour le premier élément, le nom d'homme gaulois *Brittos, conjectural, selon François de Beaurepaire[31]. En réalité, il est bien attesté selon Xavier Delamarre[34], mais sous les formes Brittus, Britus, Brittius, Britto.

Le second élément -euil est bien identifié : il résulte de l'évolution phonétique de l'appellatif gaulois ialon « terrain défriché », puis « village » (cf. gallois tir ial « terrain défriché ») [35], qui explique la plupart des terminaisons -euil ou -ueil des noms de lieux anciens.

La base Britu- de la plus ancienne attestation de Breteuil (Oise) semble montrer qu'il s'agit du gaulois britu- « jugement », « pensée »[34], le sens serait alors celui de « clairière ou village, où l'on rend les jugements », voire « clairière de Mars », puisqu'il s'agit d'une des épithètes du Mars gaulois Britouius. Mais les Breteuil remontent à un *Britto-ialon, ce qui explique la conservation de [t].

Une confusion a pu se produire plus tard avec la dénomination latine des Bretons : Britto, Brittones[34].

L'histoire de la commune est la synthèse des informations contenues dans les articles des communes Breteuil, Cintray et La Guéroulde.

Politique et administration

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Jusqu'aux prochaines élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de tous les conseillers municipaux issus des conseils des anciennes communes. Le maire de chacune d'entre elles devient maire délégué[1].


Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Breteuil
(siège)
27112 CC Interco Normandie Sud Eure 27,46 3 221 (2013) 117


Cintray 27159 Communauté de communes Normandie Sud Eure 16,27 467 (2013) 29
La Guéroulde 27305 Communauté de communes Normandie Sud Eure 11,32 846 (2013) 75

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
12 janvier 2016 En cours Gérard Chéron[36] LR puis DVD Artisan
Conseiller départemental (depuis 2004)

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2022, la commune comptait 4 284 habitants[Note 4], en évolution de −4,69 % par rapport à 2016 (Eure : −0,25 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2018 2022
4 3534 284
(Sources : Insee à partir de 2014[37].)

Enseignement

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Équipements sportifs

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Louis-Émile Décorchemont, Monument à Théodule Ribot (1893).

Les lieux et monuments de la nouvelle commune sont ceux des communes fusionnées.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A & J Picard, , 224 p. (ISBN 978-2-7084-0067-2)
  • Xavier Delamarre (préf. Pierre-Yves Lambert), Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, coll. « Hespérides », (réimpr. 2008), 2e éd. (1re éd. 2001), 440 p. (ISBN 978-2-87772-369-5)
  • Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, French & European Publications Inc., , 2e éd. (1re éd. 1978), 751 p. (ISBN 978-2-85023-076-9)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 29/07/2024 à 02:05 TU à partir des 128 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/2013 au 01/06/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Breteuil » sur Géoportail (consulté le 14 avril 2025).

Références

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  1. a et b « recueil des actes administratifs de l'Eure, voir page 23 » (consulté le ).
  2. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  3. Sandre, « le bras 02 de Sauve-Qui-Peut ».
  4. Sandre, « le bras 03 de Sauve-Qui-Peut ».
  5. Sandre, « un bras de l'Iton ».
  6. Sandre, « le canal 01 de la commune de Bemecourt ».
  7. Sandre, « le cours d'eau 01 de Sauve-Qui-Peut ».
  8. Sandre, « le fossé 02 de Sauve-Qui-Peut ».
  9. Sandre, « l'Iton ».
  10. Sandre, « le Ruel ».
  11. « Fiche communale de Breteuil », sur sigessn.brgm.fr (consulté le ).
  12. Sandre, « L'Iton ».
  13. « Station hydrométrique « L'Iton à Damville» », sur L'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  14. Sandre, « L'Iton bras Force de Breteuil ».
  15. Sandre, « L'Iton bras Force de Verneuil ».
  16. Sandre, « Le Rouloir ».
  17. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  19. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116,‎ (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  20. « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le ).
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
  24. « Station Météo-France « Breteuil » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Breteuil » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  27. « Unité urbaine 2020 de Breteuil », sur insee.fr (consulté le ).
  28. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. a b et c de Beaurepaire 1981, p. 77.
  32. a b c d e f g h i j k et l Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 35.
  33. Dauzat et Rostaing 1996, p. 114.
  34. a b et c Delamarre 2003, p. 88.
  35. Delamarre 2003, p. 185.
  36. « Breteuil-sur-Iton : Gérard Chéron annonce des travaux pour 2016 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne).
  37. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.