Valcanville
| Valcanville | |
Panorama. | |
Héraldique |
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| Administration | |
|---|---|
| Pays | |
| Région | Normandie |
| Département | Manche |
| Arrondissement | Cherbourg |
| Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Cotentin |
| Maire Mandat |
Jacques Lecoq 2020-2026 |
| Code postal | 50760 |
| Code commune | 50613 |
| Démographie | |
| Gentilé | Valcanvillais |
| Population municipale |
391 hab. (2022 |
| Densité | 61 hab./km2 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 49° 38′ 38″ nord, 1° 19′ 45″ ouest |
| Altitude | Min. 8 m Max. 86 m |
| Superficie | 6,45 km2 |
| Type | Commune rurale à habitat dispersé |
| Unité urbaine | Hors unité urbaine |
| Aire d'attraction | Cherbourg-en-Cotentin (commune de la couronne) |
| Élections | |
| Départementales | Canton du Val-de-Saire |
| Législatives | Quatrième circonscription |
| Localisation | |
| modifier |
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Valcanville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 391 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Anneville-en-Saire, Canteloup, Clitourps, Montfarville, Sainte-Geneviève, Tocqueville, Le Vast et Le Vicel.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Saire, un bras de la Saire[1], le fossé 01 de la Rue Doncanville[2], le fossé 01 de Valcanville[3], le fossé 02 de la Planque[4], la Saire[5] et divers autres petits cours d'eau[6],[Carte 1].
La Saire, d'une longueur de 31 km, prend sa source dans la commune du Mesnil-au-Val et se jette dans la baie de Seine à Saint-Vaast-la-Hougue, après avoir traversé douze communes[7].

Climat
[modifier | modifier le code]Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[9]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique[10] et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[11]. Elle est en outre dans la zone H2a au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[12],[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 914 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Gatteville-le-Phare à 6 km à vol d'oiseau[14], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,7 mm[15],[16]. La température maximale relevée sur cette station est de 33,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −4,5 °C, atteinte le [Note 3].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Valcanville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17].
Elle est située hors unité urbaine[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[18]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,1 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,1 %), prairies (19,9 %), forêts (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (3,2 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Valecanvilla au XIIe siècle[22], Walecanvilla vers 1213[23], Walequanville en 1231[24], Walecanville en 1307 (Notes Delisle); Wallequanville en 1474[25],[26].
Selon Édouard Le Héricher, Valcanville serait un pléonasme, un terme latin val greffé sur un synonyme celtique cambe « vallée » : la « ville du val de la vallée »[27].
En réalité, ce type d'explication ancienne n'a plus cours et elle est contredite par les formes anciennes, d’autant plus que le celtique (gaulois) cambe, en réalité cambo-, n’a pas ce sens mais celui de « courbe de rivière, champ dans une courbe de rivière », d’où les nombreux Chambon, c’est combe, conservé par l’occitan qui possède le sens de « val, vallée », en outre il n’y a aucune trace de la syllabe -be- dans les formes anciennes.
Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », appellatif toponymique précédé d'un nom de personne selon le cas général, mais son étymologie reste indéterminé[26],[28]. On note cependant un Robertus Wallecan en 1232 dans le Cotentin (A.M. H 3436) et un Quemin Vallecan à Anneville-en-Saire, village voisin de Valcanville[26].
L’élément Valcan- s’analyse sans doute par un anthroponyme germanique continental, anglo-saxon ou (anglo-)scandinave comme pour la plupart des noms en -ville de Normandie. Le patronyme Wallecan, bien attesté dans le département du Nord, représente vraisemblablement un ancien prénom tombé en désuétude.
À signaler que François de Beaurepaire a identifié un certain nombre de noms de personnes simples ou commençant par Val- / Valle- à la fois germaniques continentaux, anglo-saxons et scandinaves dans la toponymie normande[29],[30]. Val / Valle représentent l'élément pangermanique walha ou wala (scandinave valr) et que l'on retrouve dans Valmont (Seine-Maritime, Walemunt XIIe siècle), Valletot (Eure, Valetot 1398), Valleville (Eure, sans forme ancienne). Le même auteur identifie un nom de personne anglo-saxon en -kin dans le toponyme cauchois Harcanville (Seine-Maritime, Harkenvilla fin XIIe siècle)[29].
Pour Georges Bernage, il représente le nom irlandais Valkan[31].
Microtoponymie
[modifier | modifier le code]Le hameau de Tronville au nord du bourg est attesté sous la forme Tronvilla en 1189[32],[33]. Il ne partage vraisemblablement pas la même étymologie que les Tronville lorrains et picards qui ont des formes anciennes différentes vers la même époque, dont Tronville (Meurthe-et-Moselle, Trudonis villa en 1169, Trunvilla en 1169) ; Tronville (Trucivilla en 1105 ; Trounvilla en 1132 ; Truncivilla en 1183), etc. Les Tronville lorrains contiennent manifestement l'anthroponyme germanique Trudo[34] au cas régime, commun dans les formations toponymiques en -ville de cette région. Pour le Tronville picard, les formes anciennes pointent plutôt vers un réemploi d'un nom de lieu gallo-romain antérieur en -(i)acum comme c'est parfois le cas, avec un nombre d'exemples toutefois limité. En revanche, malgré l'unicité de la forme Tronville pour ce hameau de Valcanville, il est peu probable que Tron- renvoie au nom de personne Trudo / -on, car le cas régime dans les noms en -ville de Normandie est de nature exceptionnelle, c'est pourquoi des auteurs ont proposé d'y reconnaître le nom de personne norrois Þróndr[32],[33] (vieux danois Thrond[35]), d'autant plus que Tronville est située dans la zone de diffusion de la toponymie normannique.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par la voie romaine Valognes - Barfleur[36].
Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]En 1125, Henri Ier Beauclerc, duc de Normandie et roi d'Angleterre, fils de Guillaume le Conquérant, donne aux Templiers le fief de Valcanville.
En 1313, la dévolution des biens de l'ordre du Temple attribue la commanderie de Valcanville aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Villedieu qui créèrent une nouvelle commanderie et qu'ils posséderont durant 400 ans[36].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Il y eut sur les bords de la Saire jusqu'à une dizaine de moulins. Vers 1870, l'industriel Mosselman créa au Houx une usine à laminer le zinc[37].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Valcanvillais.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2022, la commune comptait 391 habitants[Note 5], en évolution de −4,63 % par rapport à 2016 (Manche : −0,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Foire Saint-Firmin (second patron de la commune, après saint Jean-Baptiste) : elle avait lieu le 25 septembre. Elle cessa en 1972.
Économie
[modifier | modifier le code]- Tricoterie du Val de Saire.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
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- Église Notre-Dame-de-l'Assomption des XIIe, XIIIe, XIXe et XXe siècles, d'origine romane, avec un clocher au toit en bâtière du XVe siècle restauré, le reste ayant été reconstruit au XIXe siècle. L'édifice abrite une crédence du XIXe et une Vierge à l'Enfant du XVe classées au titre objet aux monuments historiques[44], ainsi qu'un maître-autel et autels latéraux du XIXe, un bénitier du XVIIe, un aigle lutrin du XVIIIe, une statue de saint Firmin du XIXe, les tableaux de l'Assomption et de saint Louis visitant les croisés atteints de la peste du XIXe, une verrière des XIXe et XXe[45], et une clé de voûte ornée des armoiries de la commanderie : de gueules à la croix d'argent[36].
- Manoir du Marais des XVIe – XVIIe siècles. L'ensemble fortifié qui a ses façades sur cour en granit, date de 1567[46].
- Il fut la possession de la famille d'Aigremont, comme l'atteste un blason armorié encore visible sur un cadran solaire[47], scellé à flanc de cheminée[Note 6]. C'est probablement François d'Aigremont qui aurait fait construire le manoir en 1567 selon une date qui orne la souche d'une cheminée[48],[Note 7]. Pour certains auteurs, le manoir aurait été bâti antérieurement par un sieur Maresq ou Marresc[47]. Pour d'autres, il tirerait son nom de sa situation près du marais[49].
- On accède à l'ensemble manorial par une porte double, charretière en plein cintre et piétonne en arc surbaissé. Dans l'angle de la porte charretière subsiste un reste de crénelage à meurtrières, et une arquebusière défend l'entrée. Une échauguette montée sur contrefort orne un angle de la tour carrée (XVIe et XVIIe siècles)[50] bâtie près de l'entrée et percée de plusieurs meurtrières. Les logis en équerre, avec des fenêtres ouvragées, comportaient au moins deux lucarnes, dont une seule subsiste, décorée avec un fronton caractéristique de la fin du XVIe siècle.
- Vestiges d'une commanderie des Templiers du XIIe siècle voisinant avec les restes du logis des hospitaliers, à proximité d'une maison récente[51], en face de l'église.
- Oratoire Notre-Dame-de-la-Délivrance.
- Croix de chemin dite croix Crestey du XVIIIe siècle.
- Croix de cimetière du XVIe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Charles Lepeley (1889-1970), écrivain, chroniqueur patoisant et prêtre de la commune à partir de 1927.
Héraldique
[modifier | modifier le code]| Blason | De gueules à la bande cousue d'azur chargée de trois ponts droits à deux arches d'argent, en perspective cavalière et posés à plomb, accompagnée en chef d'une croix de Malte du même et en pointe de deux coquilles d'or rangées en bande[52]. |
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|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 257.
- E. Mannier, Ordre de Malte : les commanderies du grand-prieuré de France, éditions Auguste Aubry, Paris, 1872.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 661.
- Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 68-69.
- Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 132-135.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Résumé statistique de Valcanville sur le site de l'Insee
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur Météo-France, (consulté le ). Site élaboré à partir des données de projections climatiques de référence DRIAS-2020. Entrer le nom de la commune pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Les records sont établis sur la période du au .
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ La famille d'Aigremont avaient pour armes : d'or à la fasce échiquetée d'argent et de gueules de trois tires sommée d'un lion passant de gueules.
- ↑ Anne Besnard de Maisons, l'épouse de François d'Aigremont, aurait entretenu au manoir une Compagnie franche de garde-côtes[47].
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ « Réseau hydrographique de Valcanville » sur Géoportail (consulté le 13 avril 2025).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- ↑ Sandre, « un bras de la Saire ».
- ↑ Sandre, « le fossé 01 de la Rue Doncanville ».
- ↑ Sandre, « le fossé 01 de Valcanville ».
- ↑ Sandre, « le fossé 02 de la Planque ».
- ↑ Sandre, « la Saire ».
- ↑ « Fiche communale de Valcanville », sur sigessn.brgm.fr (consulté le ).
- ↑ Sandre, « La Saire ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
- ↑ Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116, (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
- ↑ « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le ).
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Valcanville et Gatteville-le-Phare », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Barfleur », sur la commune de Gatteville-le-Phare - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Barfleur », sur la commune de Gatteville-le-Phare - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Valcanville ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Cartulaire de Montebourg, folio 112.
- ↑ Archives nationales manuscrit 894, I, 37.
- ↑ Notes Hulmel (archives départementales de la Manche – série J).
- ↑ Archives nationales S 5028.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 228.
- ↑ Édouard Le Héricher, Étymologies familiales de la topographie de la France, des noms de lieu de la manche, 1881, p. 114.
- ↑ René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 262a.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- ↑ François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 203.
- ↑ Georges Bernage, « Vikings - Danois, mais aussi Norvégiens et Irlandais », Vikland, la revue du Cotentin, no 6, juillet-août-septembre 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
- Georges Bernage, « La « Côte des Vikings » », Vikland, la revue du Cotentin, no 7, octobre-novembre-décembre 2013, p. 8 (ISSN 0224-7992).
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Cully, OREP, (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 120b
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , p. 687b
- ↑ Site de Nordic Names : nom de personne Thrond (lire en anglais) [1]
- Delattre, 2002, p. 257.
- ↑ Thin 2009, Le Val de Saire, p. 88.
- ↑ « Maire depuis 24 ans, Jacques Lecoq se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- ↑ Réélection 2014 : « À l'unanimité, Jacques Lecoq a été réélu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ « Crédence », notice no PM50001209 et « statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50001208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Gautier 2014, p. 661.
- ↑ Thin 2009, Le Val de Saire, p. 135.
- Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 192.
- ↑ Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, t. II, Caen, Presses universitaires de Caen, , 118 p. (ISBN 978-2-84133-275-5), p. 97.
- ↑ Lecœur 2009, Val de Saire, p. 68.
- ↑ Maurice Lecœur (ill. Michel Lemonnier, photogr. Norbert Girard), Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Isoète, , 296 p., 25 × 29 cm, couverture couleur, cartonné (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 144.
- ↑ Lecœur 2005, Trésors du Cotentin, p. 70.
- ↑ « Blason… », sur armorialdefrance.fr.

