Néhou

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Néhou
Néhou
Ancienne mairie de Néhou.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Dominique Jeanne
2020-2026
Code postal 50390
Code commune 50370
Démographie
Gentilé Néhouais
Population
municipale
608 hab. (2020 en augmentation de 2,18 % par rapport à 2014)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 15″ nord, 1° 32′ 27″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 74 m
Superficie 15,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bricquebec-en-Cotentin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Néhou
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Néhou
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Néhou
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Néhou

Néhou est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 608 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le petit village de Néhou est au cœur de la Manche, avec sa végétation typique, ses champs entourés de haies bocagères, ses petits bois et ses marais.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 882 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[10].

Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Néhou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), terres arables (14,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (4 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Néhou

Les armes de la commune de Néhou se blasonnent ainsi :
D'or à six macles de gueules, 3, 2 et 1.

Ce blason est inspiré des armoiries de la famille des Reviers-la-Beurrière[21]. Le nom de Néhou fut inspiré par son prénom[pas clair] et le village fut élevé en une baronnie importante[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes : Neahou / Nigellihulmus au XIIe siècle ; Nigelli Humo en 1159/1181 ; Neauhou vers 1175 (Wace) ; Neahou / Nealhou vers 1212 ; Neauhou de manière récurrente[23].

L'explication du premier élément Né- par l'anthroponyme scandinave Njáll, emprunté au gaëlique Nial, emporte l'adhésion de tous les toponymistes modernes[24],[25],[26]. Il se perpétue dans le nom de famille normand Néel fréquent dans le Cotentin et dans le pays de Caux.

En revanche, si la plupart des sources s'accordent pour voir dans l'élément -hou un appellatif anglo-saxon hōh, variante « talon », puis « promontoire en forme de talon, dominant la plaine ou la mer ; escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »[27],[28], seuls René Lepelley et Jean Renaud considèrent qu'il s'agit du vieux norrois holmr « île, îlot », en se basant dans ce cas, sur les formes latinisées Nigellihulmus au XIIe siècle et Nigelli Humo en 1159. On remarque cependant que l'élément Nigelli- correspond à une latinisation erronée de Njáll, d'après l'ancien français neel « nielle » issu effectivement du bas latin nigellu, d'où le prénom anglais Nigel utilisé d'abord pour nommer les Néel normands.

Remarque : holmr utilisé en tant que second élément d'un toponyme a régulièrement abouti à -homme / -onne, comme dans Robehomme (Calvados ; Raimberti Hulmus 1083, Ramberti Hulmus 1149) ; Suhomme, ancien hameau à Varaville (Calvados, Suhomme 1753/1785) ; les Échommes, hameau à Saint-Senier-sous-Avranches (Manche, Eschehoume 1517) ; Engehomme (Eure, Engo homme sans date) , nom d’une île de la Seine devant Martot ; les communes de Grand-Couronne et Petit Couronne (Seine-Maritime, Corhulma 1032/1035 , Corone 1261/1270)[24]. En revanche, les formes en -hou sont strictement parallèles à l'emploi de l'anglo-saxon hōh dans la toponymie anglaise, devenu -hoo, -hoe ou -(h)ow, comme dans Northoo (Suffolk) ; Poddinghoo (Worcestershire) ; Millhoo (Essex) ; Fingringhoe (Essex) ; Rainow (Cheshire), etc.[24].

Le Néel en question est probablement un Néel de Saint-Sauveur, prénom héréditaire des seigneurs de Saint-Sauveur-le-Vicomte[29].

On retrouve ce prénom dans Néville-sur-Mer (Manche ; Neevilla XIIe siècle, Nigevilla XIIe siècle)[29] et Néville (Seine-Maritime), où un R. Neel tenait un fief vers 1210.

Le gentilé est les Néhouais[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, Néhou est un gros village avec un château fort, édifice aujourd'hui disparu[31]. La paroisse disposait à la Clergerie d'une école, l'une des plus anciennes du Cotentin, fondée par le baron du lieu, Richard Ier de Reviers, et que tenait le chanoine, Raoul le Grammairien, qui y enseignait le latin, le grec ainsi que la théologie[32]. Au tout début du XIIe siècle, ce même Richard fonde une collégiale à Néhou. Le texte de cette fondation est daté par : l'épiscopat de Raoul de Coutances vers 1093-1110 et la mention de Henri Ier roi d'Angleterre, soit une date de fondation aux environs de 1100-1110. Ce texte est d'autant plus important qu'il est le plus ancien connu à l'heure actuelle faisant mention du château de Néhou[33].

Partition administrative[modifier | modifier le code]

Une partition géographique et administrative de l'importante commune de Néhou, votée par la Chambre des députés et ratifiée, le , par le président de la République, Émile Loubet, donne naissance à deux entités administratives distinctes : les communes de Saint-Jacques-de-Néhou et de Saint-Georges-de-Néhou. En 1903, la commune de Saint-Georges-de-Néhou reprend le nom de Néhou (décret du du président du Conseil des ministres, ministre de l'Intérieur et des cultes, Émile Combes).

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Après le débarquement en , le général Patton est placé à la tête de la 3e armée américaine, composante, sur l'aile droite, du 12e groupe d'armées américain, celui-ci sous les ordres d'Omar Bradley. Patton mène cette armée durant l'opération Cobra dont le but est de percer le front allemand dans le Cotentin. Il prépare les plans de cette fameuse percée d'Avranches en , à côté du hameau Blandamour, à deux kilomètres du bourg de Néhou.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Néhou.
L'ancienne poste de Néhou (fermée le ).
Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
    Michel Travers Teinturier    
1795 1796 P. Gaucher Travers    
1796 1797 Pierre A. Quettier    
  1808 Jean Ogé    
1808 1815 C. de Gouberville    
1815 1831 Jean Joseph Ogé    
1832 1836 Gilles Antoine Renouf    
1837 1838 François Honoré Leroux    
1839 1845 Louis Blandamour    
1845 1848 Corentin Hamel    
1848 1850 Robert Hue    
1850 1856 Jean-Joseph Ogé    
1856 1866 Alexandre Lefèvre de La Grimonière    
1867 1870 Auguste Leroux    
1870 1871 Georges Hue    
1872 1878 Jean Aimable Papillon    
1878 1880 Jacques Travers    
1880 1896 Alexandre Laniepce    
1896 1898 Jean Racine    
1898 1904 Louis Leroux    
1904 1908 Auguste Bellay    
1908 1929 Félix Férey    
1929 1932 Alfred Hébert    
1932 1941 Désiré Tesson    
1941 1947 Alfred Cornière    
1947 1953 René Amchin    
1953 1957 Bon-Pierre Travers    
1957 1977 MauriceTesson    
1977 1983 Louis Doguet    
1983 mai 1994 Jean Lechevallier (1) SE Retraité
mai 1994 mars 2001 Louis Doguet SE Retraité,
maire par intérim de mai 1994 à mars 1995
mars 2001 janvier 2008 Jean-Marie Carton (1) SE Retraité EDF
janvier 2008 mars 2008 Ferdinand Lelaidier SE Retraité SNCF
maire par intérim
mars 2008 En cours Dominique Jeanne[34] SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
(1) : Décédé au cours de son mandat.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2020, la commune comptait 608 habitants[Note 9], en augmentation de 2,18 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). En 1899, Néhou se scinde en deux communes : Saint-Jacques-de-Néhou et Saint-Georges-de-Néhou. Saint-Georges-de-Néhou se fait renommer Néhou (1903), et Saint-Jacques reste depuis indépendante.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1042 2722 3832 7122 6262 4002 2722 2202 133
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9972 0072 0481 8771 9011 7151 7481 6251 430
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
653684708653702689677724650
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
590544461445443440510521553
2015 2020 - - - - - - -
611608-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 327 hommes pour 293 femmes, soit un taux de 52,74 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,79 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
4,7 
75-89 ans
9,4 
15,9 
60-74 ans
19,5 
18,1 
45-59 ans
16,4 
17,8 
30-44 ans
20,6 
18,7 
15-29 ans
14,3 
24,6 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de la Manche en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,7 
75-89 ans
12,1 
20 
60-74 ans
20,4 
20,9 
45-59 ans
20 
17 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,5 
16,9 
0-14 ans
15,5 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Camp du général Patton : lieu stratégique de la préparation de la percée d'Avranches en à côté du hameau Blandamour, à deux kilomètres du bourg de Néhou.
  • Église Saint-Georges (XIIe, XVIIe, XVIIIe – XXe siècle) : petite église à l'architecture romane et gothique.
  • Musée Patton (ouvert uniquement l'été).
  • Château de la Grimonière (XVIIIe siècle) et sa chapelle. Il abrite une statue de sainte Venice et un groupe sculpté (La Mise au tombeau) du XVe classés à titre d'objets aux Monuments historiques[42].
  • Château de la Sillotte.
  • Vestiges du château de Néhou du Xe siècle.
  • Ferme-manoir de la Baronnie (XVe siècle).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Michel Lebrédonchel, Histoire de la paroisse de Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Cherbourg, Noblet, (lire en ligne). Ouvrage réédité par Le Livre d'histoire-Lorisse, en 2006, à l'initiative des Amis de l'ancienne baronnie de Néhou. Préface Yves Marion.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[43].
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Néhou et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Néhou et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Abbé Michel Lebrédonchel, Histoire de la paroisse de Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Cherbourg, Noblet, (lire en ligne).
  22. Histoire de Néhou, voir archives de Néhou
  23. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 167.
  24. a b et c ibidem
  25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 185.
  26. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 72.
  27. F. de Beaurepaire, op. cit.
  28. Dominique Fournier, Élément -hou, Wikimanche (lire en ligne)
  29. a et b François de Beaurepaire, op. cit.
  30. a et b « Néhou », sur archives-manche.fr, archives départementales de la Manche (consulté le )
  31. Histoire du château disparu.
  32. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 82.
  33. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 182.
  34. Réélection 2014 : « Dominique Jeanne réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. « Néhou (50390) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Néhou (50370) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Manche (50) », (consulté le ).
  42. « Œuvres mobilières à Néhou », base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. Site de l'IGN.