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Le Mesnil-au-Val

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Le Mesnil-au-Val
Le Mesnil-au-Val
L'église Notre-Dame-des-Anges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Évelyne Mouchel Dit Simon
2020-2026
Code postal 50110
Code commune 50305
Démographie
Gentilé Mesnillais
Population
municipale
725 hab. (2021 en évolution de −0,28 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 24″ nord, 1° 31′ 28″ ouest
Altitude Min. 73 m
Max. 178 m
Superficie 13,34 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cherbourg-en-Cotentin-5
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Mesnil-au-Val est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 725 habitants[Note 1].

Géographie

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La commune est en Nord-Cotentin. Son église (hameau Paris) est à 9,5 km au sud-est de Cherbourg-en-Cotentin, à 13 km au nord de Valognes et à 13 km au sud-ouest de Saint-Pierre-Église[1].

Le Mesnil-au-Val est traversé par la Saire qui y prend sa source à une altitude de 140 mètres[2] (le moulin de la Bruyère y est installé). Elle est bordée à l'est par le ruisseau du Querbé et au sud par le Trottebec.

Le territoire s'étend sur 1 334 hectares et possède de nombreux lieux-dits non-bâtis. Entre autres, de vastes prairies (les Becquets, les Bougons, la Malarderie, le Pendu), des bois (Bois du Coudray et les Fosses Pivain, Bois Saint-Martin, la Table des Fées) et des prés humides (les Marais du Mesnil, les Marais). La commune est composée de plusieurs hameaux[3] : Brucan de Bas, Brucan de Haut, Hameau Feuillie, Maison de la Lande, Hameau Jeannet, la Verboterie, la Lande, Hameau Vincent, la Galle, la Vierge Drouet, Hameau Auvray, Lépinet, Hameau Mesnage, la Valloterie, Hameau Paris, Hameau Joly, la Sansonnerie, les Bruyères, Maison du Garde (avec son gué), Hameau le Sage, la Gallerie, Hameau Vallot, la Drouetterie, l'Orion, l'Angleterre, Hameau Duval, la Mare, la Vente du Parc, le Boissais, la Croix de la Flague, les Ecocheux, la Besnarderie, la Guéretterie, la Bourdonnerie, la Dérocherie, Barville (et son manoir), Chatillonnerie, la Pagnolerie, la Banque.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 963 mm, avec 14,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Le Mesnil-au-Val est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,3 %), forêts (19,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (3,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes, Mesnillo Auvar au XIIe siècle (A.M. H 2916), Mesnillo Awari en 1220 (A.M. H 3359), Mesnil Auvair en 1257, 1288 (cartulaire chapitre de Coutances, copie Delisle), Mesnil Avar vers 1280 (pouillé)[17],[18], Menil au Val en 1758[19], Mesnil au Val en 1793 et Mesnil-Ova en 1801[20].

L'ancien français mesnil « domaine rural », est à l'origine de nombreux toponymes, notamment en Normandie. Les noms de lieux en Mesnil-, -Mesnil sont souvent différenciés par un anthroponyme comme premier élément ou comme second élément.

François de Beaurepaire identifie dans l'élément -au-Val le nom de personne anglo-saxon Alware, variante du nom attesté également sous les formes Alward, Award et qui procède selon Gillian Fellows-Jensen de l'anthroponyme norrois Alfvardr[17]. En revanche, Ernest Nègre penche pour le nom de personne germanique continental Alwardus. René Lepelley reprend la suggestion de F. de Beaurepaire[21]. Le nom de personne Alware semble se retrouver dans un pratum al War mentionné en 1220 dans un titre de l'abbaye de Cherbourg et dans Varville à Saint-Lô-d'Ourville (Avarville 1270), ainsi qu'un fief au Vair en 1386[17]. On le rencontre là encore altéré dans Allerthorpe (GB, Yorkshire, Alwarestorp sans date)[17].

La forme moderne au-Val parait ne s'imposer définitivement qu'au XIXe siècle. On trouve encore une forme Ova en 1801 qui semble indiquer également la prononciation traditionnelle. Le qualificatif au-Val consiste en une mécoupe du nom de personne et en l'ajout d'un -l final par attraction de l'appellatif val « petite vallée, vallée » bien connu et fréquent dans la Manche.

Remarque : la proposition d'Ernest Nègre souffre d'une faiblesse, car il n'y a aucune trace d'un -t ou d'un -d dans les formes anciennes Auvar, Auvair, Awari. En effet on attendrait des formes du type *Mesnillo Alwardi ou *Mesnil Auvart cf. par exemple Mesnil-Esnard (Seine-Maritime, Maisnilio Enardi 1205) ou Bosc-Guérard (Seine-Maritime, Bosco Guerardi 1188), mais il n'y en a aucune.

Le gentilé est Mesnillais.

Micro-toponymie

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  • Barville (sans forme ancienne connue). Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». L'absence de formes anciennes rend difficile l'identification du premier élément Bar-. C'est pourquoi une comparaison avec les autres Barville s'avère nécessaire, notamment les Barville normands. Barville (Seine-Maritime, Barevilla XIIe siècle) et Barville (Eure, Barevilla 1195) contiennent peut-être le nom de personne germanique continental Baro, Barulfus ou Baroldus[22],[23]. Albert Dauzat qui ne se base que sur les formes anciennes du type Barvilla (Barville, Eure, XIIIe siècle) a cru reconnaître dans les Barville normands (et curieusement celui du Loiret) le nom de personne vieux norrois Bardr[24] (comprendre Bárðr, qui convient d'ailleurs mieux car ð (th) et -r des anthroponymes et noms communs se sont régulièrement amuïs, de sorte qu'ils ne sont pratiquement jamais notés dans les formes anciennes).
  • Brucan procèderait de l’[anglo-]saxon *Brycghām « hameau du pont », comme Brigham (GB, Cambrie)[25].
  • Le ruisseau du Trottebec (la riviere du Trotebec 1544). L'hydronyme Trottebec est un composé en -bekkr, appellatif vieux norrois qui signifie « ruisseau ». Le premier élément Trotte- (anciennement Trote-) est possiblement un anthroponyme, soit germanique continental du type *Trot(t)o mais qui n'est pas attesté, soit anglo-saxon *Trott, lui non plus pas attesté mais qui renvoie directement à un élément présent dans la toponymie anglaise : Trottiscliffe (Kent, Trottesclib 788) et Trottsworth (Surrey, Trotteswurth 1242)[26]. On connaît les nombreuses convergences entre la toponymie anglaise et la toponymie normande[22].
  • Le ruisseau de Querbé est un autre ruisseau dont le nom Querbé s'explique par l'évolution phonétique de Carbec cf. par exemple Carbec. La finale -bec est normalement prononcée [-be], -bé, d'où la modernisation de la graphie, de même pour Car- qui a subi l'évolution due à l'action fermante de [r] en syllabe initiale au Moyen Âge. Cette évolution se manifeste par exemple dans les parlers de la Manche dans les mots querbon < carbon ; lerme < larme ; ergent < argent ; etc. Car- représente le nom de personne norrois Kári, très courant en Normandie dans les Carville et Cartot / Quartot.
  • Les hameaux en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs lors du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, qui était fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe – XIIIe siècle. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi du suffixe -erie ou -ière. Les autres hameaux en Hôtel/Maison/Le Y sont des constructions encore plus récentes, ils désignent la ferme de la famille Y.

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[27].

Guillaume du Fou, capitaine du donjon de Cherbourg, qui vivait au XVe siècle fit construire un château au Mesnil-au-Val, qui passa par la suite dans les familles de Crosville et du Parc[28]. En 1507, Jeanne du Fou, dame du Mesnil-au-Val, épouse Guillaume Picot, seigneur de Gouberville. De cette union est issu de nombreux enfants dont Gilles de Gouberville (1521-1578) né le au manoir de Barville.

Dans un aveu de 1519, la seigneurie du Mesnil-au-Val est décrite comme « fief de haubert auquel fief à manoir, chapelle et volière à pigeons, domaines en terres labourables et non labourables[29]. »

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la généralité de Caen, de l'élection de Valognes, et de la sergenterie du Val de Saire.

L'affaire criminelle Jean Fleury, qui s'est déroulée au Mesnil-au-Val en 1887, fut jugée par la cour d'assises de la Manche, à Coutances, le [30].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, le Mesnil-au-Val fut bombardé onze fois les : , et neuf fois en 1944[28].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1966 1983 Alexandre Mouchel    
1995 mars 2001 Arlette Dupont    
mars 2001 mars 2014 Christian Renouf SE  
mars 2014[31] En cours Évelyne Noyé SE Employée
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[32].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 725 habitants[Note 3], en évolution de −0,28 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
514547666616626581539506473
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
423410418420405373353333298
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
317348358307289291321345372
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
335324367488528553631653693
2018 2021 - - - - - - -
729725-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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La tour de Barville.
  • Église Notre-Dame-des-Anges, du XVe siècle, remaniée notamment aux XVIIe et XVIIIe siècles[36]. Elle abrite des autels des XVIIIe-XIXe et une chaise de célébrant du XVIIe.
L'église est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Saint-Gabriel du doyenné de Cherbourg-Hague[37]. Gilles de Gouberville y est inhumé[38], « au long du banc auquel ses prédécesseurs et lui avaient accoustumé s'asseoir pour ouïr le service divin[29] ».
Lors de la première guerre de Religion, l'église est vandalisée le [39]. Elle abrite deux statues en bois polychrome du XVIIIe : saint Nicolas et saint Gilles.

Activité et manifestations

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L'Association sportive animation du Mesnil-au-Val fait évoluer une équipe de football en division de district[42].

Personnalités liées à la commune

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  • Gilles de Gouberville (1521-1578), Gilles Picot, sieur de Gouberville, du Mesnil-au-Val et de Russy, mémorialiste.
  • Léon Levavasseur (Le Mesnil-au-Val, 1863 - 1922) ingénieur, concepteur et fabricant de moteur pour avions et canots de course.

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Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 136.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 324.
  • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 49.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 82-83.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. Thin 2009, p. 82.
  3. « Géoportail », sur geoportail.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  8. « Orthodromie entre Le Mesnil-au-Val et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin », sur Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  17. a b c et d François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, A. et J. Picard, , p. 152.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1666.
  19. « Carte de Cassini » sur Géoportail..
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses universitaires de Caen, (ISBN 2-905461-80-2), p. 173a.
  22. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
  23. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154).
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 56a.
  25. Louis Guinet, Contribution à l'étude des établissements saxons en Normandie, Presses universitaires de Caen, 1967, p. 19-59, n° 15 - 16 (lire en ligne) [1].
  26. Eilert Ekwall, The Concise Oxford Dictionary of English Place-names (4th edition), Oxford University Press, Oxford, 1960, p. 481a.
  27. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
  28. a et b Gautier 2014, p. 324.
  29. a et b Lecœur 2009, p. 49.
  30. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, avril 2012.
  31. « Les clés de la mairie reviennent à Évelyne Noyé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Le Mesnil-au-Val (50110) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. a et b Thin 2009, p. 83.
  37. Site du diocèse.
  38. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 16.
  39. Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 93.
  40. « Ancien manoir de Barville », notice no PA00110452, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Thin 2009, p. 84.
  42. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – AS Animation Le Mesnil-au-Val » (consulté le ).