Aramon (Gard)
Aramon | |||||
Ancien hôtel de ville[1]. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pont du Gard | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Rosier 2020-2026 |
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Code postal | 30390 | ||||
Code commune | 30012 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 224 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 136 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 53′ 31″ nord, 4° 40′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 155 m |
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Superficie | 31,16 km2 | ||||
Unité urbaine | Aramon (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Avignon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beaucaire | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | aramon.fr | ||||
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Aramon ou Aramoun (en provençal, selon la norme Mistralienne) est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Commune du Gard située en bordure du Rhône, le village se situe à 13 km d'Avignon dans le Vaucluse et 31 km de Nîmes.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Le village est repérable de très loin dans le paysage par la présence d'une centrale thermique qui possède une cheminée haute de 250 mètres. À mi-distance d'Avignon et de Beaucaire, le village d'Aramon s'étale en amphithéâtre au pied de son château construit sur un éperon rocheux. Offrant de tout temps un abri sûr aux navigateurs, le village développe dès l'époque romaine une activité portuaire qui atteint son apogée au XVIIe siècle. Huile, vins, sel, céréales partaient d'Aramon vers la France entière.
Sismicité[modifier | modifier le code]
Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Aramon est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine d'Aramon, une unité urbaine monocommunale[2] de 4 238 habitants en 2017, constituant une ville isolée[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Paul Fabre donne comme origine du nom du village le nom de personne germanique Aramund[7]. Ce nom est lui-même formé de deux composantes, dont la seconde paraît de signification assurée (mund, "protection") tandis que la première pourrait représenter ara, "aigle", era, "honneur" ou bien encore hari, "armée"[8],[9]. Selon cette hypothèse, ce nom se serait donc attaché à ce lieu au cours de la période wisigothique ou franque, entre les Ve et Xe siècles de notre ère.
Cependant, la découverte à Collias, sur le site du sanctuaire antique de la Combe de l'Ermitage, d'une plaque de pierre dédiée au dieu Aramo conduit Michel Christol, Jean-Luc Fiches et Dominique Rabay à rapprocher le nom d'Aramon de celui de cette divinité indigène, dont cette dédicace, qu'ils proposent de dater de la seconde moitié du Ier siècle, constituerait la seule attestation épigraphique[10]. Le nom d'Aramon daterait donc au moins de la période gallo-romaine, voire d'une période antérieure.
Histoire[modifier | modifier le code]
Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]
La présence humaine lors de la Préhistoire est attestée par les découvertes archéologiques de vestiges des premiers âges (outils taillés dans de gros galets, tessons de céramique phocéenne). L’occupation du site est certain, au pied du mont Couvin emplacement idéal, exposé au sud et protégé en partie du mistral et qui a dû attirer très tôt les populations primitives, au bord du fleuve nourricier et des Paluns, étang très poissonneux. À l’époque de la Gaule transalpine les Volques Arekomiques s’y établirent, leur capitale étant Nîmes, ils étaient d’origine celtique.
Les découvertes anciennes, inscriptions, épitaphes et leurs exégèses ont fait supposer l’existence d’une agglomération pré-romaine et romaine, peut-être même au deuxième âge du fer. L'un des témoignages les plus anciens en est l’inscription découverte à Collias, consistant en une dédicace au dieu Aramo (Aramoni au datif singulier, dans le texte latin de cette dédicace, cf. supra Toponymie). L'inscription dédiée par Sabinianus aux utriculaires d’Aramon est aujourd'hui regardée comme un faux du XVIIIe siècle[11]. Les découvertes récentes sur le site du Paradis et la nécropole du Ier siècle avant notre ère, par l’importance des mobiliers trouvés, viennent conforter l’idée de cette occupation. Hellénisation ou romanisation, les découvertes nous font imaginer le rôle de Marseille dans les propagations des coutumes et des techniques de ces peuples.
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Après de longues persécutions dans l’Empire romain, le christianisme aurait pénétré Aramon au commencement du IVe siècle avec la tolérance de l’empereur des Gaules Constance-Chlore, dont la première femme Hélène, était chrétienne. Son fils Constantin proclame en 313 à Milan un édit établissant la liberté de culte. Aramon fut alors sous la juridiction des évêques de Nîmes. Les limites des premiers diocèses étaient calquées sur celle du gouvernement civil.
Les invasions successives des Visigoths, des Sarrasins, des Normands et des Hongrois n’épargnèrent pas le pays, bâti sur les bords du Rhône, une des grandes routes d’alors. Au temps de l’usurpation de la Provence par les empereurs du Saint-Empire germanique au Xe siècle, Aramon devient une des portes du Languedoc, du fait de son port et de la facilité de traverser le fleuve sous ses murs, d’où l’intérêt porté par les rois de France pour ce site, qui faisait partie du royaume de France. En effet par le traité de Paris de 1229, le comte Raymond VII de Toulouse céda au roi Saint Louis le Languedoc, dont Aramon faisait partie.
Les seigneurs rendaient hommage au roi et leurs pouvoirs consistaient en justice haute, moyenne et basse. Ceux d’Aramon étaient répartis entre le roi et les co-seigneurs en 24 parts suivant une convention. Ce pariage établissait la protection du plus puissant au plus faible en échange des revenus de la seigneurie. Dès le milieu du XVe siècle on trouve cinq familles nobles en possession de trois parties de la juridiction basse. Ce sont les co-seigneurs jouissant de droit de privilèges effectifs ou honorifiques et ce jusqu’au XVIIIe siècle. Ces familles étaient les Posquières, les Laudun, les Joussaud, les Du Jardins et les Malavettes. De 1547 à 1566, Diane de Poitiers, duchesse du Diois et Valentinois fut seigneur d’Aramon.
La richesse d’Aramon était due à son port sur le Rhône avec la proximité d’Avignon et des terres papales, et celle de Beaucaire dont la célèbre foire attirait l’Europe marchande. Un péage situé sur l’Ile de Carlamejean, face au village, obligeait les bateliers à payer une taxe sur les marchandises transportées, et en particulier sur le sel qui voyageait des salins de Camargue jusqu’en Savoie. Cette taxe se partageait entre le roi et les co-seigneurs.
Époque moderne[modifier | modifier le code]
Aramon souffre terriblement du conflit entre catholiques et protestants. La ville change de mains plusieurs fois. Les protestants qui y étaient établis sont chassés en 1563. Ils reviennent avec mille soldats cernant la ville (on peut voir les traces de balles sur les murs de la clastre).
En 1567, les protestants sont chassés, et une garnison catholique de 60 soldats s’installe alors dans la ville. Sous Sully de 1589 à 1610, la population s’accroît, puis sous Colbert, grâce à sa politique énergétique, la richesse d’Aramon est alors grande grâce à son port, et à l’amélioration des voies de communication. La foire de la Saint-Martin est créée en 1703. Elle existe encore de nos jours.
En 1629, la peste revient et dure 7 mois. Le pays fut ravagé au point de perdre les 2/3 de ses habitants. À la suite de ce fléau, tout semble accabler le village : les inondations, un hiver terrible qui vit geler les oliviers, richesse du pays, la misère pour les habitants.
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Avec Napoléon, et bien que n’étant pas bonapartiste, Aramon retrouve peu à peu sa prospérité. Mais de nouveau, les catastrophes fondent sur le village : tragiques inondations, nombreux incendies, hiver rude et terrible qui détruisit ce qui restait des oliviers et une grande partie des récoltes. Après les terribles inondations de 1856, les digues établies par Pitot sur les anciens remparts furent exhaussées et on construisit le magnifique quai en pierre.
La création de la ligne de chemin de fer de Nîmes au Teil en 1878 fut le départ de la nouvelle prospérité d’Aramon. La culture des céréales fit place aux cultures maraichères et fruitières. Un marché quotidien d’avril à novembre fut créé. L’artisanat aussi prospéra avec des ateliers de vannerie utilisant l’osier récolté sur les îles du bord du Rhône, et aussi une chaiserie. L’évolution des techniques à la fin du XIXe siècle fit péricliter des industries et le village connut l’exode de sa population active.
Aramon paiera un lourd tribut à la guerre de 1914-1918. Il souffrira des traditionnelles inondations dont les plus destructrices furent celles de 1856 et 1935, et des hivers rigoureux dont celui de 1956 qui vit la perte de tous les oliviers.
La prospérité ne reviendra qu’au XXe siècle avec l’établissement de la nouvelle industrie. Ainsi viennent tour à tour les laboratoires pharmaceutiques : Sanofi, Expansia, l’énergie avec la centrale thermique EDF, l’emballage avec la société Escudier, la sélection des graines avec la société Rijk Zwann, d’où un accroissement de la population de 1 800 habitants en 1954 à 3 800 habitants en 2002. Le bras du Rhône qui jusqu’à la fin du XIXe siècle était navigable, devant le port d’Aramon, au fil du temps s’ensabla, rejetant la navigation vers la rive gauche. En 1968, les travaux gigantesques de la Compagnie Nationale du Rhône, en canalisant le fleuve et en utilisant son énergie pour produire de l’électricité, mirent le village à l’abri de la fureur du Rhône, qui longtemps et périodiquement le ravageait. Le pont suspendu qui avait remplacé le bac en 1900 et avait été détruit le 15 août 1944 par 5 vagues successives de bombardiers, fut reconstruit et inauguré le 20 février 1971.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].
En 2018, la commune comptait 4 224 habitants[Note 3], en augmentation de 7,4 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Aramon est situé dans l'Académie de Montpellier
Ecoles maternelles[modifier | modifier le code]
Le village bénéficie de 2 écoles maternelles publiques:
- Ecole maternelle Village
- Ecole maternelle des Paluns
Ecoles Primaires[modifier | modifier le code]
Le village compte 2 écoles élémentaires publiques:
- Ecole Élémentaire François Rabelais
- Ecole Élémentaire des Paluns
Collège[modifier | modifier le code]
Le village compte 1 collège public:
- Collège Henri Pitot
Santé[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
Médias[modifier | modifier le code]
Cultes[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[17] :
- total des produits de fonctionnement : 5 944 000 €, soit 1 480 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 5 111 000 €, soit 1 273 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 1 661 000 €, soit 414 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 532 000 €, soit 381 € par habitant.
- endettement : 2 162 000 €, soit 538 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 4,34 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,23 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 29,19 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 19,88 %.
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 271 €[18].
Emploi[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Agriculture[modifier | modifier le code]
L'olive[modifier | modifier le code]
C'est une culture ancestrale et traditionnelle. L'olivier, comme la vigne, caractérise ce paysage méditerranéen. Grâce à monsieur Picholini installé à Collias, depuis des siècles, la « picholine » a aidé à maintenir les racines méditerranéennes du pays. Elle a obtenu une Appellation d'Origine Contrôlée (AOC) qui valorise sa typicité gustative. À la suite du travail des confiseurs, elle est consommée verte. Dès le mois de décembre, au moulin, les fruits sont triturés pour en extraire l'huile qui a également obtenu une AOC. Sa notoriété lui est acquise par ses arômes fruités et son ardence typique.
Les vergers[modifier | modifier le code]
Les fruits sont abondants sur ces terres argilo-calcaires : raisins, pêches, kiwis, melons, poires, tomates, cerises, pommes, abricots, figues… Mais aussi les légumes : asperges, haricots, salades, aubergines, courgettes, potirons, courges, ainsi que l'oignon de Vers-Pont-du-Gard, oignon doux qui a su garder sa typicité comme son grand frère des Cévennes. La multiplicité des productions agricoles a permis le développement d'un savoir-faire de transformation des produits : boissons à base d'abricots, de miel… des gâteaux typiques au goût de fruits…
L'apiculture[modifier | modifier le code]
Dès le printemps très fleuri (acacias, thym, romarin…), les abeilles se démènent pour apporter à la ruche des nectars aux parfums caractérisés : épicé, poivré, floraux, fruité… Malgré les fortes chaleurs, l'activité apicole continue pendant l'été pour aboutir en novembre à une floraison exclusivement méditerranéenne. Celle de l'arbousier qui offre un miel intense en parfum, arôme de torréfaction et une amertume persistante.
Tourisme[modifier | modifier le code]
Commerces[modifier | modifier le code]
- La Centrale thermique de production d'électricité (EDF) et sa cheminée.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'Église Saint-Pancrace[19],[20] qui possède notamment une très ancienne cloche de 1486, et une autre de 1568, toutes deux classées au titre objet en 1911[21].
- La Maison natale de l'ingénieur Henri Pitot célèbre par son tube : le tube de Pitot.
- Le Château d'Aramo[22] et les hôtels particuliers des XVIIe et XVIIIe siècles.
- Arènes[25].
- La tour dite du Bréchet[26].
- Ancienne halle, sur la place dite le Plagnet[27].
- Le sentier des capitelles[28] "Les capitelles d'Aramon"[29]
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Henri Pitot, ingénieur hydrodynamicien (1695 – 1771).
- Agathe de Rambaud, femme de chambre de la Maison des enfants du roi Louis XVI, est morte à Aramon, au lieu-dit Dèves.
- Joseph Domergue, curé doyen d'Aramon de 1691 à 1728, mort à Avignon en 1729. Il n'est autre que l'auteur des paroles de La Marche des rois, cantique populaire de Noël.
- Jacques Laurent Gilly (1769-1829), général des armées de la République et de l'Empire.
- Gabriel de Luetz (1508-1553), baron et seigneur d'Aramon et de Vallabregues, ambassadeur de François Ier auprès de Soliman le Magnifique.
- [Shirine Boukli], championne d'Europe 2020 de judo.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes d'Aramon se blasonnent ainsi : D'argent à une montagne de sinople sommée d'un autel antique d'or sommé d'une flamme de gueules[30].
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Librairie Hachette et société d'études et de publications économiques, Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette, , 324 p.Préface du Duc de Castries vice-président de l'Association des Vieilles maisons françaises : Languedoc méditerranéen : Montagnac : Lavagnac, Sa châtelaine aurait aimé Molière..., pages 222 à 225
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Site Officiel de la commune d'Aramon », sur www.aramon.fr (consulté le 7 février 2015)
- « Site Officiel de l'Office de Tourisme du Pont du Gard à Aramon », sur www.ot-pontdugard.com (consulté le 7 février 2015)
- « Site Officiel l'actualité Midi Libre Aramon », sur aramon.blogs.midilibre.com (consulté le 7 février 2015)
- « Insee - Chiffres clés : Aramon », sur www.insee.fr (consulté le 8 février 2015)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Mairie », notice no PA00102960, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Unité urbaine 2020 d'Aramon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 4 décembre 2020)
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 4 décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 4 décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le 4 décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 4 décembre 2020)
- Paul Fabre, Noms de lieux du Languedoc, Paris, Editions Bonneton (Christophe Bonneton éditeur), , 232 p. (ISBN 978-2-86253-174-8), p. 89
- Albert Dauzat et Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille et prénoms de France, Paris, Larousse, , 626 p., p. 12 (Arnaud), 237 (Erard), 321 (Hary), 507 (Raimbaud, Raimond)
- Mike Campbell, « Behind the Name: View Submitted Name », sur www.behindthename.com (consulté le 3 juillet 2015)
- M. Christol, J.-L. Fiches, D. Rabay, « Le sanctuaire de la Combe de l'Ermitage à Collias (Gard) », Revue archéologique de Narbonnaise, no 40, , p. 15-32 (lire en ligne)
- Michel Provost (s. dir.), Carte archéologique de la Gaule : Le Gard 30/2, Paris, Editions de la Maison des sciences de l'Homme, , 400 p. (ISBN 978-2-87754-065-0)
- Section du Gard rhodanien, « Aramon », sur gardrhodanien.pcf.fr (consulté le 7 février 2015), PCF, 8 novembre 2011, consulté le 21 décembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Eglise paroissiale Saint-Pancrace », notice no PA00102957, base Mérimée, ministère français de la Culture
- L'Église Saint Pancrace
- Arrêté du 30 septembre 1911, « cloche (2) », notice no PM30000039, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 5 octobre 2014.
- « Château », notice no PA00135380, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel Sauvan ou de Choisity », notice no PA00102959, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de Laudun », notice no PA30000003, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Arènes », notice no PA00125480, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Tour dite du Bréchet », notice no PA30000121, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancienne halle, sur la place dite le Plagnet », notice no PA00102958, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le sentier des capitelles
- Collectif des Garrigues, L’« art » de la pierre sèche en garrigues, Collectif des Garrigues, , 128 p. (ISBN 978-2-9565644-0-9, lire en ligne), p. 39
- Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le 7 février 2015)