Saint-Nazaire-des-Gardies

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Saint-Nazaire-des-Gardies
Saint-Nazaire-des-Gardies
Blason de Saint-Nazaire-des-Gardies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Pierre Mazauric
2020-2026
Code postal 30610
Code commune 30289
Démographie
Population
municipale
84 hab. (2021 en augmentation de 5 % par rapport à 2015)
Densité 7,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 50″ nord, 4° 01′ 06″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 194 m
Superficie 11,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Nazaire-des-Gardies est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Riviély, le ruisseau de Vergalous et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Nazaire-des-Gardies est une commune rurale qui compte 84 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Saint-Nazarans ou Saint-Nazaranes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 970 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 3,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cardet à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] : la « mare de Vibrac » (20 ha), couvrant 3 communes du département[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Nazaire-des-Gardies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[I 1],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,6 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), forêts (16,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Nazaire-des-Gardies est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 2001 et 2002[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Nazaire-des-Gardies.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 40 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 40 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a connu une occupation néolithique et antique[17]. À l'époque historique, la première mention de Saint-Nazaire-des-Gardies remonte à 1384[18]. En 1307, le prieur de l'église de Saint-Nazaire-des-Gardies est le seigneur des Gardies. La première mention du château des Gardies date de cette période. Le château, situé au mas des Gardies, sera habité jusqu'au XVIIe siècle par les seigneurs de Saint-Nazaire, puis occupé par les fermiers du domaine. Ces grands domaines se consacrent à l’élevage des bêtes à laine. Les conflits sur le prélèvement de droits de péage témoignent de la situation de la commune sur le passage des drailles à moutons, entre Anduze et Sommières et entre Quissac et Anduze.

À la Révolution, Saint-Nazaire-des-Gardies est amputée de Canaules. La propriété de l’église et des biens attenants est transférée à la commune : les bâtiments ecclésiastiques sont vendus, et l’église affectée au culte protestant. Au XIXe siècle, la commune est marquée par la culture du mûrier, apparu à Canaules dès le XVIIe siècle. L’activité des mas passe de l'élevage du mouton à la culture du mûrier et à l’élevage des vers à soie, ce dont témoignent les nombreuses traces d’aménagement de magnaneries dans les édifices du territoire. La vigne succède à l’élevage des vers à soie, en coexistant avec une polyculture qui persiste. Une petite cave est bâtie à Sillargues, une gare au mas des Gardies en 1881. La mairie-école est bâtie en 1884. La modernisation de la commune se poursuit avec son électrification en 1929, et avec l’adduction d'eau conduite en 1936 par le Syndicat Intercommunal de Saint-Nazaire, Logrian et Saint-Jean-de-Crieulon[19],[20].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Nazaire-des-Gardies Blason
D'azur, à quatre navettes aboutées en croix d'or, bordées de douze glands du même, 3 dans chaque canton, et une grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople, brochant sur la croix.
Détails
L'azur et les glands proviennent des armes de la famille Grégoire des Gardies, seigneur du château de Gardies pendant plusieurs siècles. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d'en emprunter un ou plusieurs éléments.

Les navettes symbolisent les anciennes magnaneries, l'élevage du ver à soie ayant remplacé l'élevage des brebis. En les plaçant en croix, cela permet de rappeler la physionomie des armes des Grégoire des Gardies.

Les glands sont ordonnés différemment. En les plaçant le long des navettes en croix ils symbolisent la cohésion des douze lieux habités qui forment la commune: Le Masjon, Cabrière, Puech-Long, Bétargues, La Pénarié, Gardies, La Fauguière, Caunelle, Sillargues, Barel, L’église et la Plaine.

La grappe de raisin indique la culture de la vigne qui produit un vin de qualité.

Les ornements représentent deux brebis rampantes et affrontées d'argent qui rappellent les origines du village de Saint-Nazaire, carrefour des drailles de transhumance où un péage était installé. Elles sont posées sur un listel d'argent qui porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Geneviève Cazaly DVG  
mars 2014 En cours Pierre Mazauric PS Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Les résultats électoraux établis à Saint-Nazaire-des-Gardies sont relativement en conformité avec ceux relevés dans le reste du pays. Les Saint-Nazarans ont plutôt tendance à voter à gauche comme le témoignent les élections législatives de 2002 et les élections législatives de 2012Damien Alary (PS) obtint 55,77 % et William Dumas (PS), 69,70 %.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 84 habitants[Note 3], en augmentation de 5 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1051251387910981108107119
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
13311411210196112120118125
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11811210910210910910810388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9010071776480818081
2021 - - - - - - - -
84--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 8,9 % 4,2 % 3,8 %
Département[I 5] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 56 personnes, parmi lesquelles on compte 67,9 % d'actifs (64,2 % ayant un emploi et 3,8 % de chômeurs) et 32,1 % d'inactifs[Note 4],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 37, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 8].

Sur ces 37 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 51 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 54,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 40 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

7 établissements[Note 5] sont implantés à Saint-Nazaire-des-Gardies au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 7 entreprises implantées à Saint-Nazaire-des-Gardies), contre 30 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 14 16 12 15
SAU[Note 7] (ha) 491 706 943 1 004

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 14 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 16 en 2000 puis à 12 en 2010[27] et enfin à 15 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 1 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[28],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 491 ha en 1988 à 1 004 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 67 ha[27].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église et le mas de l'église : l'église, qui fait également office de temple, est un ancien prieuré de l'abbaye de Tornac. Elle est abandonnée à partir du milieu du XVIe siècle, la paroisse étant majoritairement protestante. Le mas actuel est construit en partie dans les arcs boutants de l'église[29].

Le mas des Gardies (privé, ne se visite pas) : la tour médiévale est intégrée dans un grand bâtiment postérieur.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Nazaire-des-Gardies » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Nazaire-des-Gardies » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Nazaire-des-Gardies » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Nazaire-des-Gardies et Cardet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cardet » (commune de Cardet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cardet » (commune de Cardet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Nazaire-des-Gardies », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF la « mare de Vibrac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Nazaire-des-Gardies », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Nazaire-des-Gardies », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. Carte archéologique de la Gaule, le Gard, Michel Provost et alii, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1999
  18. Dictionnaire topographique du Gard, Germer-Durand, 1868
  19. Saint-Nazaire-des-Gardies, une ancienne paroisse du Languedoc, Robert Gras
  20. Le Salavès. Étude monographique du Canton de Sauve. Pierre Clément - 1953
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  26. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  27. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Nazaire-des-Gardies - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
  29. BOURGUET Jack, Le prieuré de Saint Nazaire des Gardies, Nimes, Conseil général, , 91 p..

Liens externes[modifier | modifier le code]

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