Utilisatrice:Ambre Troizat/Todo

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Moi Réalisé Discussions À faire Notes

Gysis Nikolaus, Historia (Allégorie de l'Histoire) 1892[modifier | modifier le code]

Mes outils[modifier | modifier le code]

Bibliothèque de briques

Expositions[modifier | modifier le code]

Liste des tâches à accomplir[modifier | modifier le code]

Joël Des Rosiers. Descendant du colon français révolutionnaire Nicolas Malet.

Mende, traite négrière actuelle[modifier | modifier le code]

2008-03-14 : PARUTION EN POCHE D'UN TEMOIGNAGE SUR UNE TRAITE NEGRIERE ACTUELLE (EDITEUR ET WIKIPEDIA) Mende Nazer, Damien Lewis : Ma vie d'esclave, (ISBN 2-84187-690-X)

Mende Nazer (née environ en 1982 dans un village dans les monts Nuba) est une écrivaine d'origine soudanaise et ancienne esclave...

Améliorer "mes pages Wikipédia"[modifier | modifier le code]

  1. - 1745-1799 : Joseph Bologne de Saint-George
  2. - 1753-1809 : Nicolas Marie Dalayrac
  3. - 1873-1953 : Gratien Candace
  4. - 1913-2001 : Rosan Girard

Pages à créer[modifier | modifier le code]

Wikipédia[modifier | modifier le code]

Nicolas Malet

  1. - S. Linstant
  2. - 1er janvier 1804

@ - 4 février 1794

Fichier images à réaffecter[modifier | modifier le code]

Huet - Étude sur les différentes écoles de violon[modifier | modifier le code]

Le violon dans Les noces de Cana[modifier | modifier le code]

1810, Nicolas-Germain Léonard (1744-1793)[modifier | modifier le code]

Riccoboni & Cie[modifier | modifier le code]

Epistolières[modifier | modifier le code]

1820, Liste des Chevaliers de Saint-Georges[modifier | modifier le code]

1780, Biographie de Saint-George, Louis Petit de Bachaumont & ss.[modifier | modifier le code]

1790, Baron D'holbach. Essai sur l'art de ramper[modifier | modifier le code]

Biographie de Saint-George par Oruno Lara[modifier | modifier le code]

1825, 1857 Biographie de Saint-George, Michaud[modifier | modifier le code]

Dates de naissance et de décès de Saint-George[modifier | modifier le code]

1843, Critique de "Le Chevalier de Saint-Georges par Roger de Beauvoir[modifier | modifier le code]

1819, Qui est ce Saint-George ?[modifier | modifier le code]

Œuvres de Saint-George[modifier | modifier le code]

Roi des Violons[modifier | modifier le code]

Eglise Saint-Julien des Ménétriers[modifier | modifier le code]

Bibliographie complémentaire[modifier | modifier le code]

Le point d'honneur et le duel[modifier | modifier le code]

Henri Angelo[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Pages à suivre[modifier | modifier le code]

Le schéma de Marcus Fabius Quintilien[3]

Qui ? Acteurs[modifier | modifier le code]

Quoi ? Evénement[modifier | modifier le code]

Où ? Lieu[modifier | modifier le code]

Par quel moyens ? Technologies[modifier | modifier le code]

Comment ? Processus[modifier | modifier le code]

Quand ? Date[modifier | modifier le code]

Publications sous Wikisource[modifier | modifier le code]

Editions en mode .djvu[modifier | modifier le code]

  1. - 1766 : s:Livre:Mercure de France - Mars 1766.djvu, index de mars 1766. Suivre la correction de la page.
  2. - 1793 : s:Livre:Convention - Colonies.djvu. Partie texte à éditer

Editions en mode texte à transformer en mode .djvu[modifier | modifier le code]

  1. - 1761 : Marie-Jeanne Riccoboni, s:Les Caquets
  2. - 1762 : Marie-Jeanne Riccoboni, s:Histoire d’Ernestine
  3. - 1781 : Stéphanie-Félicité de Genlis, s:L’Amant anonyme
  4. - 1780 : Louis-Marcelin de Fontanes, s:La Forêt de Navarre
  5. - 1802 : Pierre Labarthe, s:Voyage au Sénégal pendant les années 1784 & 1785
  6. - 1841 : Louise Fusil, s:Souvenirs d’une actrice
  7. - 1841 : S. Linstant, s:Essai sur les moyens d'extirper les préjugés des blancs contre la couleur des Africains et des sang-mêlés
  8. - 1955 : Conférence Afro-Asiatique de Bandoeng, s:Communiqué final de la conférence Afro-Asiatique de Bandoeng

• Modèle

# - [[Année]]  : [[Auteur]], [[:s:Titre]]

Exposition Nicolas Marie Dalayrac[modifier | modifier le code]

Salon de Sophie de Condorcet[modifier | modifier le code]

Salon physiocratique des La Rochefoucauld[modifier | modifier le code]

Le salon physiocratique des La Rochefoucauld animé par Louise Elisabeth de La Rochefoucauld duchesse d'Enville (1716-1797)

La Rochefoucauld sur Commons

Château de La Rochefoucauld en Charente (France)

Marie Antoinette[modifier | modifier le code]

Marie Antoinette sur Commons

Fontenay-sous-Bois chez Dumas[modifier | modifier le code]

La Comtesse de Charny[modifier | modifier le code]

  • La Comtesse de Charny Chapitre CXII: Où nous arrivons, enfin, à cette protestation que recopiait Mme. Roland. Extrait: "... "Danton déclara qu'il allait passer la journée du lendemain à Fontenay-sous Bois ; son beau-père le limonadier avait là une petite maison de campagne."
  • Chapitre CXIII: La pétition. Extrait: "... Les Cordeliers ont abdiqué. Danton, nous l'avons dit, est à Fontenay, chez son beau-père ; Legendre, Fréron et Camille ..."

Danton chez Dumas[modifier | modifier le code]

Rousseau chez Dumas[modifier | modifier le code]

Fontenay-sous-Bois, Rousseau & Grimm[modifier | modifier le code]

Le Maître de musique[modifier | modifier le code]

  • Le Maître de musique
  • 9 novembre 1989 : chute du mur de Berlin.
  • Fichier:New Madrid Erdbeben.jpg, tremblement de terre, 1812.

Fêtes & célébrations autour de la Révolution[modifier | modifier le code]

Paul Foucart[modifier | modifier le code]

Paul Foucart.- Sources

10 mai 2011, Fontenay-sous-Bois[modifier | modifier le code]

Affiche Csgd94120 2011[modifier | modifier le code]

Eléments pour concevoir l'affiche

    Âgé de cent-mille ans, j'aurais encore la force
    De t'attendre, o demain pressenti par l'espoir.
    Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses,
    Peut gémir: neuf est le matin, neuf est le soir.
    Mais depuis trop de mois nous vivons à la veille,
    Nous veillons, nous gardons la lumière et le feu,
    Nous parlons à voix basse et nous tendons l'oreille
    A maint bruit vite éteint et perdu comme au jeu.
    Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
    De la splendeur du jour et de tous ses présents.
    Si nous ne dormons pas c'est pour guetter l'aurore
    Qui prouvera qu'enfin nous vivons au présent.

    Je fis un feu, l'azur m'ayant abandonné,
    Un feu pour être son ami,
    Un feu pour m'introduire dans la nuit d'hiver,
    Un feu pour vivre mieux.

    Je lui donnai ce que le jour m'avait donné:
    Les forêts, les buissons, les champs de blé, les vignes,
    Les nids et leurs oiseaux, les maisons et leurs clés,
    Les insectes, les fleurs, les fourrures, les fêtes.

    Je vécus au seul bruit des flammes crépitantes,
    Au seul parfum de leur chaleur;
    J'étais comme un bateau coulant dans l'eau fermée,
    Comme un mort je n'avais qu'un unique élément.

Thé, Café, Cacao, Bissap[modifier | modifier le code]

Cacao[modifier | modifier le code]

− Emploi subst. Faire le chocolat. Faire le naïf, le crédule (cf. Temps, 1886 ds G. Fustier, Suppl. au dict. de la lang. verte d'A. Delvau, 1889, p. 522)."

La Planete Sauvage[modifier | modifier le code]

La Planete Sauvage

  1. La Planete Sauvage 1
  2. La Planète sauvage 2
  3. La Planète sauvage 3
  4. La Planète sauvage 4
  5. La Planète sauvage 5
  6. La Planète sauvage 6. Vérifier enchaînement.
  7. La Planete Sauvage 7

La plantation : XVIIIe siècle - XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La sucrerie[modifier | modifier le code]

Vidéo Ina : esclavage[modifier | modifier le code]

Recherche

Années 1980[modifier | modifier le code]

Actualités régionales Ile de France - 24/05/1986 - 02min17s. France Régions 3 Paris. journaliste : Michel Reinette, Participant : Claude Valentin Marie, Line Lirus Galap.

Années 1990[modifier | modifier le code]

  • 1998 : Nantes et le commerce triangulaire : anniversaire abolition de l'esclavage. SOIR 3 - 24/04/1998 - 02min56s. Producteur France 3 Nantes, Générique, journaliste : Garcia Jousset, Evelyne.
  • 1998 : Anniversaire abolition esclavage Antilles. JA2 20H - 23/04/1998 - 04min59s. producteur ou co-producteur : Annonceur, Paris : France 2. journaliste : Le Masson, Eric.
  • 1998 : Il y a 150 ans : abolition de l'esclavage. SOIR 3 - 23/04/1998 - 01min50s. Réseau France Outremer. Journaliste:

Sophie Roland, Serge Bile.

  • 1998 : Match abolition esclavage. MIDI 2 - 01/12/1998 - 02min08s. producteur ou co-producteur : Annonceur, Paris : France 2. journaliste : Bollée, Laurent.

Années 2000[modifier | modifier le code]

Exposition Abolitions esclavages : Réalisation 2011[modifier | modifier le code]

Louis XVI & l'abolition de l'esclavage[modifier | modifier le code]

royaumedefrance.fr

4 février 1776 : Louis XVI abolit l'esclavage ; Royaume de France ... ... En effet, le Roi Louis XVI, dès 1776, avait promulgué un édit ... par les médias (wikipedia en tête) et les livres d'histoire… ... Louis XVI abolit également le servage et le droit de suite en ... De même, par cette même ordonnance, il affranchissait tous les « mains mortables » des domaines royaux[4]. Le 04/02/2011 à 16:46

Wikipédia
  1. 12 avril 2009 à 15:19 (diff | hist) Servage (→France : ordonnance du 8 août 1779 abolissant l'esclavage sur les domaines royaux).

Traces des chants d'esclaves dans les Caraïbes[modifier | modifier le code]

On trouve surtout chez Jacqueline Rosemain. Quelques uns chez Auguste Lacour dans son s:Histoire de la Guadeloupe.

Alexandre Dumas comme source[modifier | modifier le code]

Ne pas oublier comme source, même ténue, Alexandre Dumas. S'il ne parle pas souvent de musique, il en parle abondamment. Il n'aimait pas Nicolas Marie Dalayrac et le dit une fois : "... cette horrible musique de monsieur Méhul et de monsieur Dalayrac te tourmente ; c'est une maladie de jeunesse qui sera vite ..."

Liens en vrac[modifier | modifier le code]

Jacqueline Rosemain[modifier | modifier le code]

  • inauthor:"Jacqueline Rosemain"
  • La musique dans la société antillaise: 1635-1902, Martinique ... - Page 42

A explorer[modifier | modifier le code]

  • Laryssa Kossatch-Drahomanova Chants des esclaves, 1895
    Lessia Oukraïnka (pseudonyme de Laryssa Petrivna Kossatch-Kvitka) est née le 25 février 1871, dans la ville de Novohrad-Volynskyi, au Nord-ouest de l’Ukraine.

Elle publie le cycle des Chants des esclaves en 1895. A partir de cette œuvre, son lyrisme social et politique ira jusqu'à l'audace et la protestation révolutionnaire[1].

  • On peut écouter presque tout Saint-George sur Spotify. Beaucoup moins sur Deezer.

(Deeer http://fr.wikipedia.org/wiki/Deezer) mais c'est du logiciel libre et licence libérée.

A expertiser[modifier | modifier le code]

Musique des Antilles françaises

Club des Egaux[modifier | modifier le code]

OpenStreetMap 7 mai 2011[modifier | modifier le code]

Le Club des Egaux, 1998[modifier | modifier le code]

Le "Club des Egaux,1998"[5] est une association loi 1901, fondée en avril 1998 par des étudiants, des enseignants et des membres du personnel de l'Université Paris 7 - Denis Diderot. Son objectif est d'organiser des manifestations culturelles liant différents types d'expression autour d'un thème : exposition, films, spectacles, conférences, etc.

Première déclaration au J.O., 24/10/1998[modifier | modifier le code]

Association : CLUB DES EGAUX - PARIS 7.
No de parution : 19980043
Département (Région) : Paris (Île-de-France)
No d'annonce : 1646
Paru le :
Lieu parution : Déclaration à la préfecture de police.
Type d'annonce : ASSOCIATION/CREATION
Déclaration à la préfecture de police. CLUB DES EGAUX - PARIS 7. Objet : création et organisation de manifestations culturelles à l’université Paris-VII - Denis-Diderot. Siège social : université Paris-VII - Denis-Diderot, U.F.R. G.H.S.S., tour 34/44, 3e étage, case postale 7001, 75251 Paris Cedex 5. Date de la déclaration : 7 octobre 1998.

Deuxième déclaration au J.O., 08/09/2001[modifier | modifier le code]

Le "Club des Egaux - Paris 7" devient le "Club des Egaux" et son siège social change d'adresse.

Association : Club des Egaux.
No de parution : 20010036
Département (Région) : Paris (Île-de-France)
No d'annonce : 1254
Paru le :
Lieu parution : Déclaration à la préfecture de police.
Type d'annonce : ASSOCIATION/MODIFICATION
Déclaration à la préfecture de police. CLUB DES EGAUX. Siège social : université Paris-7 Denis-Diderot, U.F.R. G.H.S.S., tour 34/44, case courrier 7001, 2, place Jussieu, 75251 Paris Cedex 5. Transféré ; nouvelle adresse : 6, rue de Lancry, 75010 Paris. Date de la déclaration : 21 août 2001.

Première manifestation du Club des Egaux, 1998[modifier | modifier le code]

Du 13 novembre au 4 décembre1998, l'association le Club des Égaux a organisé une manifestation intitulée "Les abolitions de l'esclavage : 1793/1794 - 1848..." comprenant :

  • un cycle cinématographique (Audiovidéocinérama)
  • des conférences (les professeurs Gérard Barthélemy, Yves Bénot et Roger Botte)
  • une pièce de théâtre (la compagnie Réplik)
  • un concert (la chorale Shoublak)
  • un colloque (les professeurs Florence Gauthier, Claude Meillassoux et Yaya Sy ; les étudiants Claire Blondet, Jouda Gaetata, Jomo Lafosse, Fabien Marius-Hatchi, Sophie Piollet, Nathalie Piquionne et Delphine Roux)
  • et l'exposition "Périssent les colonies plutôt qu'un principe" constituée de 27 panneaux, qui, après la manifestation, a tourné - et tourne encore en 2009 - dans :

Périssent les colonies plutôt qu'un principe ![modifier | modifier le code]

  • 2002 :Périssent les colonies plutôt qu'un principe ! Contributions à l'histoire de l'abolition de l'esclavage, 1789-1804[6].
  • 2004 : Val-de-Marne. Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! Les abolitions de l’esclavage, 1793, 1795, 1848...
    12 mai 2004 : « Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! »
    Exposition itinérante (panneaux) présentée au Centre départemental de documentation pédagogique du Val-de-Marne et organisée par une association d’étudiants, le Club des Égaux de l’Université Paris VII.
  • 2005 : Jean-Daniel Piquet, «Florence Gauthier (dir.), Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! Contributions à l’histoire de l’abolition de l’esclavage (1789-1804)», Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique [En ligne], 94-95 | 2005, mis en ligne le 09 juillet 2009, Consulté le 03 novembre 2009.
  • 2008 : Yves Benot, «Florence GAUTHIER (dir.), Périssent les colonies plutôt qu'un principe. Contributions à l'histoire de l'abolition de l'esclavage, 1789-1804», in Annales historiques de la Révolution française, Numéro 331, [En ligne], mis en ligne le : 18 avril 2008. URL : http://ahrf.revues.org/document4822.html. Consulté le 3 novembre 2009.
  • 2009 - 2010 : Le document ci-dessous est une version numérisée de l'exposition "Périssent les colonies plutôt qu'un principe" réalisée à partir du polycopié qui accompagne les 27 panneaux originaux. Cette version numérisée est destinée à accompagner l'exposition "Nicolas Dalayrac, musiciens des Lumières, 1753 - 1809" organisée en collaboration entre la municipalité de Fontenay-sous-Bois, la Société d'Histoire 94120 Saint-George & Dalayrac, le Club des Egaux. L'exposition est prévue, dans le Hall de l'Hôtel de Ville de Fontenay-sous-Bois, du au .

Projet de traduction en langue créole[modifier | modifier le code]

Un projet de traduction en langue créole a été entrepris par qui n'a pas abouti au . Nous en extrayons les documents ci-dessous (9 panneaux) destinés à nourrir un travail collaboratif[7].

Pages disponibles sur internet[modifier | modifier le code]

Le Manifeste des Egaux[modifier | modifier le code]

Sylvain Maréchal
Le Manifeste des Egaux

La Conjuration des Egaux. Le mouvement libertaire est issu du babouvisme, c'est à dire de la conjuration dite "des Egaux" menée par Babeuf en 1796 à la fin de la grande révolution. La personnalité et le nom de Babeuf ont occulté un autre fameux personnage, Sylvain Maréchal. Auteur du premier calendrier révolutionnaire, il a écrit dans un style flamboyant le Manifeste des Egaux[8] adressé au peuple de France ci-dessous.


PEUPLE DE FRANCE !

Pendant quinze siècle tu as vécu esclave, et par conséquent malheureux. Depuis six années tu respires à peine, dans l'attente de l'indépendance, du bonheur et de l'égalité.

L'Egalité ! premier vœu de la nature, premier besoin de l'homme, et principal nœud de toute association légitime ! Peuple de France ! tu n'as pas été plus favorisé que les autres nations qui végètent sur ce globe infortuné !... Toujours et partout la pauvre espèce humaine livrée à des anthropophages plus ou moins adroits, servit de jouet à toutes les ambitions, de pâture à toutes les tyrannies. Toujours et partout, on berça les hommes de belles paroles : jamais et nulle part ils n'ont obtenu la chose avec le mot. De temps immémorial on nous répète avec hypocrisie, les hommes sont égaux, et de temps immémorial la plus avilissante comme la plus monstrueuse inégalité pèse insolemment sur le genre humain. Depuis qu'il y a des sociétés civiles, le plus bel apanage de l'homme est sans contradiction reconnu, mais n'a pu encore se réaliser une seule fois : l'égalité ne fut autre chose qu'une belle et stérile fiction de la loi. Aujourd'hui qu'elle est réclamée d'une voix plus forte, on nous répond : Taisez-vous misérables ! l'égalité de fait n'est qu'une chimère ; contentez-vous de l'égalité conditionnelle ; vous êtes tous égaux devant la loi. Canaille que te faut-il de plus ? Ce qu'il nous faut de plus? Législateurs, gouvernants, riches propriétaires, écoutez à votre tour.

Nous sommes tous égaux, n'est-ce pas ? Ce principe demeure incontesté, parce qu'à moins d'être atteint de folie on ne saurait dire sérieusement qu'il fait nuit quand il fait jour.

Eh bien ! nous prétendons désormais vivre et mourir égaux comme nous sommes nés ; nous voulons l'égalité réelle ou la mort ; voilà ce qu'il nous faut.

Et nous l'aurons cette égalité réelle, à n'importe quel prix. Malheur à qui ferait résistance à un vœu aussi prononcé !

La révolution française n'est que l'avant-courrière d'une autre révolution bien plus grande, bien plus solennelle, et qui sera la dernière.

Le peuple a marché sur le corps aux rois et aux prêtres coalisés contre lui : il en fera de même aux nouveaux tyrans, aux nouveaux tartuffes politiques assis à la place des anciens.

Ce qu'il nous faut de plus que l'égalité des droits ?

Il nous faut non pas seulement cette égalité transcrite dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, nous la voulons au milieu de nous, sous le toit de nos maisons. Nous consentons à tout pour elle, à faire table rase pour nous en tenir à elle seule. Périssent, s'il le faut, tous les arts pourvu qu'il nous reste l'égalité réelle !

Législateurs et gouvernants qui n'avez pas plus de génie que de bonne foi, propriétaires riches et sans entrailles, en vain essayez-vous de neutraliser notre sainte entreprise en disant : Ils ne font que reproduire cette loi agraire demandée plus d'une fois déjà avant eux.

Calomniateurs, taisez-vous à votre tour, et, dans le silence de la confusion, écoutez nos prétentions dictées par la nature et basées sur la justice.

La loi agraire ou le partage des campagnes fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable, le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres, la terre n'est à personne. Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre : les fruits sont à tout le monde.

Nous déclarons ne pouvoir souffrir davantage que la très grande majorité des hommes travaille et sue au service et pour le bon plaisir de l'extrême minorité.

Assez et trop longtemps moins d'un million d'individus dispose de ce qui appartient à plus de vingt millions de leurs semblables, de leur égaux.

Qu'il cesse enfin, ce grand scandale que nos neveux ne voudront pas croire ! Disparaissez enfin, révoltantes distinctions de riches et de pauvre, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernants et de gouvernés.

Qu'il ne soit plus d'autre différence parmi les hommes que celles de l'âge et du sexe. Puisque tous ont les mêmes besoins et les mêmes facultés, qu'il n'y ait donc plus pour eux qu'une seule éducation, une seule nourriture. Ils se contentent d'un seul soleil et d'un même air pour tous : pourquoi la même portion et le même qualité d'aliments ne suffiraient-elles pas à chacun d'eux ?

Mais déjà les ennemis d'un ordre des choses le plus naturel qu'on puisse imaginer, déclament contre nous.

Désorganisateurs et factieux, nous disent-ils, vous ne voulez que des massacres et du butin.

PEUPLE DE FRANCE !

Nous ne perdrons pas notre temps à leur répondre, mais nous te dirons : la sainte entreprise que nous organisons n'a d'autre but que de mettre un terme aux dissensions civiles et à la misère publique.

Jamais plus vaste dessein n'a été conçu et mis à exécution. De loin en loin quelques hommes de génie, quelques sages, en ont parlé d'une voix basse et tremblante. Aucun d'eux n'a eu le courage de dire la vérité tout entière.

Le moment des grandes mesures est arrivé. Le mal est à son comble ; il couvre la face de la terre. Le chaos, sous le nom de politique, y règne depuis trop de siècles. Que tout rentre dans l'ordre et reprenne sa place.

A la voix de l'égalité, que les éléments de la justice et du bonheur s'organisent.

L'instant est venu de fonder la République des Egaux, ce grand hospice ouvert à tous les hommes. Les jours de la restitution générale sont arrivés. Familles gémissantes, venez vous asseoir à la table commune dressée par la nature pour tous ses enfants.

PEUPLE DE FRANCE !

La plus pure de toutes les gloires t'était donc réservée ! Oui, c'est toi qui le premier dois offrir au monde ce touchant spectacle.

D'anciennes habitudes, d'antiques préventions voudront de nouveau faire obstacle à l'établissement de la République des Egaux. L'organisation de l'égalité réelle, la seule qui réponde à tous les besoins, sans faire de victimes, sans coûter de sacrifices, ne plaira peut-être point d'abord à tout le monde.

L'égoïste, l'ambitieux frémira de rage. Ceux qui possèdent injustement crieront à l'injustice. Les jouissances exclusives, les plaisirs solitaires, les aisances personnelles causeront de vifs regrets à quelques individus blasés sur les peines d'autrui. Les amants du pouvoir absolu, les vils suppôts de l'autorité arbitraire ploieront avec peine leurs chefs superbes sous le niveau de l'égalité réelle. Leur vue courte pénétrera difficilement dans le prochain avenir du bonheur commun ; mais que peuvent quelques milliers de mécontents contre une masse d'hommes tous heureux et surpris d'avoir cherché si longtemps une félicité qu'ils avaient sous la main ?

Dès le lendemain de cette véritable révolution, ils se diront tout étonnés : En quoi ! le bonheur commun tenait à si peu ? Nous n'avions qu'à le vouloir. Ah ! pourquoi ne l'avons-nous pas voulu plus tôt. Oui sans doute, un seul homme sur la terre plus riche, plus puissant que ses semblables, que ses égaux, l'équilibre est rompu ; le crime et le malheur sont sur la terre.

PEUPLE DE FRANCE !

A quel signe dois-tu donc reconnaître désormais l'excellence d'une constitution ? ...Celle qui tout entière repose sur l'égalité de fait est la seule qui puisse te convenir et satisfaire à tous tes voeux.

Les chartes aristocratiques de 1791 et de 1795 rivaient tes fers au lieu de les briser. Celle de 1793 était un grand pas de fait vers l'égalité réelle ; on n'en avait pas encore approché de si près ; mais elle ne touchaient pas encore le but et n'abordait point le bonheur commun, dont pourtant elle consacrait solennellement le grand principe.

PEUPLE DE FRANCE !

Ouvre les yeux et le coeur à la plénitude de la félicité : reconnais et proclame avec nous le République des Egaux.

Fin du texte.

Les parlementaires au centre du débat[modifier | modifier le code]

L'abolition de l'esclavage sur le site de l'Assemblée Nationale


Références[modifier | modifier le code]

  1. "Pendant près de quatre siècles, il exista en la rue Saint-Martin, à Paris, une charmante petite église appartenant à la confrérie de saint Julien des ménestriers"
    Inventaire du mobilier de la chapelle de Saint-Julien, dressé le n août 1781. — Le 17 décembre 1789 une députation des administrateurs de la corporation des maîtres à danser, joueurs d'instruments se rend à la barre de l'Assemblée ..
  2. Angelo’s Pic-nic, Live of the Chevalier de St. George, pp.21-25 :
    • Henry Angelo, Angelo's pic nic; or, Table talk: including numerous recollections of public characters, who have figured in some part or another of the stage of life for the last fifty years; forming an endless variety of talent, amusement, and interest, calculated to please every person fond of biographical ... : Memoirs of Monsieur de St. George : XVIIIe siècle : 1650-1820, Paris, J. Ebers, . Publication with a prefatory note on the Angelo family by rev. Charles Swynnerton. London, K. Paul, Trench, Trübner and Co.,, 1905. In-4°, XXXVII-267 p. et 24 pl. Notice Bnf n° FRBNF31722226
    • Reminiscences of Henry Angelo. Deux ccurrences "Saint-George" :
      • p. 100 : "I first secured the portrait of Monsieur Saint George (the famous fencer), which hung over the chimney-piece, and removed it to St. Alban’s-street",
      • p. 263 "Though he was only in the ranks, his (Serjeant Leger's) presence in every fencing-room was acceptable, and when Saint George was his antagonist, the match never failed to excite attention".
        Henry Angelo, Reminiscences of Henry Angelo : with memoirs of his late father and friends, including numerous original anecdotes and curious traits of the most celebrated characters that have flourished during the past eighty years, vol. 2 : XVIIIe siècle : 1650-1820, London, H. Colburn and R. Bentley, . Publication : London, K. Paul, 1904. 2 vol. in-4°, 68 pl. Notice Bnf n° FRBNF31722227
    Henry Angelo est le rédacteur de l'article "ESCRIME, Cet art de l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers.
    Cet art est entierement tiré d'un traité d'escrime publié récemment à Londres par M. Angelo. Nous lui devons le discours & les Planches. Si nous eussions connu quelque chose de plus parfait en ce genre, nous nous en serions servis. Ce qui nous convient, nous le prenons partout où nous le trouvons; en revanche nous abandonnons notre travail à ceux qui voudront en disposer utilement." Page 21:6:1/
    Le témoignage d'Henry Angelo sur l'art de Saint-George prend d'autant plus de valeur. Pour mieux comprendre l'art de l'escrime au XVIIIème siècle, voir
  3. Pour enquêter : l'hexamètre de Quintilien
  4. Modèle {{Lien web}} : paramètres « url » et « titre » manquants. , (consulté le ) ; http://www.google.fr/search?q=Wikip%C3%A9dia+%2B+Louis+XVI+abolit+le+servage+sur+les+domaines+royaux&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a
  5. Le Club des Egaux :
  6. Florence Gauthier, Périssent les colonies plutôt qu'un principe ! Contributions à l'histoire de l'abolition de l'esclavage, 1789-1804. Volume 2 de Collection Études révolutionnaires : XVIIIe – XIXe siècle : 1700-1850, Paris, Editions "Société des études robespierristes", année.(BNF 38886798)
  7. "C'est cette exposition que l'association Kawann (K1) s'est proposée de traduire en créole caribéen (mais si vous êtes intéressés pour d'autres langues, écrivez nous et nous transmettrons). Notre but est donc de rassembler les volontés pour mener à bien ce projet de traduction. Internet pourrait permettre à des créolophones de dialectes différents de travailler ensemble sur cette idée ; bien que plutôt que de mélanger les différents dialectes, nous avons préféré, pour ce travail-ci, choisir un dialecte différent pour chaque paragraphe ou sous-partie, quitte à ajouter des notes de texte afin de faciliter l'échange interdialectal. Nous mettons à votre disposition l'ensemble des textes français de l'exposition (qui est disponible en catalogue broché. Contactez-nous !) afin que nous puissions travailler tous ensembles à ce projet alliant la science historique à la production linguistique."]. Une page traduite en créole : Viktwa Libèté-a (2)... GRINAD, SENVENSAN, GIYÀN Source).
  8. Sylvain Maréchal.- Manifeste des Enragés et des Egos. Ce texte n'est pas dans le domaine public à la date du  :

Périssent les colonies…[modifier | modifier le code]







Dates[modifier | modifier le code]

La Constitution française de 1791 dédiée à Gilbert du Motier de La Fayette (1757-1834), commandant général de la Garde nationale parisienne.

Documents relatifs à la chronologie[modifier | modifier le code]

Lieux[modifier | modifier le code]

Centres d'archives

Acteurs[modifier | modifier le code]

Nations[modifier | modifier le code]

Associations, clubs, Institutions, mouvements, organisations, Sociétés[modifier | modifier le code]

Clubs
Institutions
Mouvements
  • Patriotes : un mouvement d'opposition hétéroclite de la prérévolution française favorable à la convocation des États généraux
Sociétés

Lexique[modifier | modifier le code]

Saint-Domingue. Assemblée coloniale. Extrait des registres de l'Assemblée coloniale de la partie française de Saint-Domingue", France, Colonies, Politique et gouvernement, Histoire, Saint-Domingue. Monographie imprimée.
A
B
Fichier:Globalindigenousskincolormap.png
Planisphère montrant le taux et les types de populations selon le taux de mélanine dans l'organisme individuel. Le taux de mélanine détermine la couleur de la peau chez les Humains. Emmanuelle Bournay, UNEP/GRID-Arendal, 2004.
C
D
Représentation de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789
E
F

Frères

G
J
L
M
N
O
P
R
S
T
V

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Auguste Lacour[modifier | modifier le code]

Aimé Césaire[modifier | modifier le code]

Aimé Césaire : Discours sur le colonialisme, (BNF 31921476), (BNF 31921476). Lu par Antoine Vitez, enregistré par France Culture, Avignon, 1989.

Florence Gauthier[modifier | modifier le code]

  1. Les articles de Florence Gauthier sur Le Canard Républicain.
  2. La voie paysanne dans la Révolution française. L’exemple picard, Maspero, 1977.
  3. Triomphe et mort du droit naturel en révolution, 1789-1795-1802, PUF, 1992.
  4. Avec G. R. Ikni, éd., La guerre du blé au XVIIIe siècle. La critique populaire contre le libéralisme économique, Editions de la Passion, 1988.
  5. Avec F. Pepe, éd., Colloque Mably. La politique comme science morale, Bari, Palomar, 2 t., 1995, 1997.
  6. Périssent les colonies plutôt qu'un principe , 1998. Sur le site des Anneaux de la Mémoire.
  7. Robespierre, Pour le bonheur et pour la liberté. Discours, La Fabrique, 2000, Textes choisis et introduction par Y. Bosc, F. Gauthier, S. Wahnich.
  8. Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! Contributions à l’histoire de l’abolition de l’esclavage, 1789-1804, éd., Société des Etudes Robespierristes, 2002.
  9. L'Aristocratie de l'Epiderme. Le Combat de la Société des Citoyens de Couleur (1789-1791), Paris, CNRS Editions, coll. "Histoires pour Aujourd'hui", 2007.(Potomitan) • (Le Monde diplomatique).
  10. Bleu, Blanc, Rouge… et Noir ? La couleur de peau en révolution. Rembobinage, une émission d'histoire et d'aujourd'hui, Emission du 29 janvier 2008 avec Florence Gauthier (Paris VII), auteur de l'ouvrage, L'Aristocratie de l'Epiderme. Le Combat de la Société des Citoyens de Couleur (1789-1791), Paris, CNRS Editions, coll. "Histoires pour Aujourd'hui", 2007.
  11. Jean Bart, « Florence Gauthier, L’aristocratie de l’épiderme. Le combat de la Société des citoyens de couleur 1789-1791 », Annales historiques de la Révolution française [En ligne], 355 | janvier-mars 2009, mis en ligne le 01 décembre 2009, consulté le 11 février 2011.
  12. Au cœur du préjugé de couleur : Médéric Moreau de Saint-Méry contre Julien Raimond, 1789 - 1791, . Le Canard Républicain, mis en ligne le jeudi 10 juin 2010 par Florence Gauthier. Cahier des Anneaux de la Mémoire =>
  13. L’aristocratie de l’épiderme Florence Gauthier
  14. Au cœur du préjugé de couleur dans la colonie de Saint-Domingue. Médéric Moreau de Saint Méry contre Julien Raimond. 1789-1791.

Bartolomé de Las Casas[modifier | modifier le code]

  1. Très brève relation de la destruction des Indes, Brevisima relacion de la destruicion de las indias Bartolomé de Las Casas, Jacques De Miggrode Mille•et•une•nuit, 144 pages", 2,38 €. (BNF 37181694).
  2. Bartolomé de LAS CASAS, Fanchita Gonzalez Batlle (traductrice), Très brève relation de la destruction des Indes, Paris, La découverte poche, 1996. [B.U. Lettres, SL1, F 1411 CAS] / Brevísima relación de la destrucción de las Indias, Edición de André Saint-Lu, Madrid, Cátedra, Letras Hispánicas, 2003. [B.U. Lettres, SL1, F 1411 CAS]. Programme 20102011, Université de Nice-Sophia Antipolis, Faculté des lettres, arts & sciences humaines, Département d'études hispaniques et hispano-américaines. Littératures, Langues et Civilisations Étrangères (LLCE). Renseignements pratiques et programmes : 98, bd E. Herriot — BP 3209 — 06204 — Nice cedex 3 • Téléphone 04-93-37-53-53 — Télécopie 04-93-37-55-36
  3. Des pratiques d'écriture diversifiées pour une construction ...
  4. Vol Créole.com, Forum » Coup de gueule : Nous disons Non au Président Lurel pour l' achat du livre de Las Casas[1].
Agrégation d'espagnol
  1. Le programme pour ceux qui ne comprennent pas les textes officiels.
    1. Agrégation externe : Le Mexique de l’indépendance à la réforme de Juárez (1810-1876) : le défi de la construction nationale.
    2. Agrégation interne :
    3. Matériel Préparation Agrégation espagnol 2010-2011

Guillaume-Thomas Raynal[modifier | modifier le code]

  1. Guillaume-Thomas Raynal
    1. s:Raynal
    2. s:Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes
    3. s:Guillaume-Thomas Raynal. s:Analyse de l'histoire philosophique et politique des Etablissements et du Commerce des Européens dans les deux Indes.
    4. s:Guillaume-Thomas Raynal. Guillaume-Thomas Raynal, Histoire philosophique des 2 Indes
    5. s:#Guillaume-Thomas_Raynal.2C_Histoire_philosophique_des_2_Indes
    6. Archive.org : Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes (1773)
    7. L’abbé Raynal et les deux Indes

Autres auteurs[modifier | modifier le code]

La presse[modifier | modifier le code]

  1. Révolutions de Paris, dédiées à la Nation (BNF 32856136) ; (BNF 32856135)
    Révolutions de Paris et de l'Europe, dédiées à la Nation.
  2. Révolutions de France et de Brabant par Camille Desmoulins.(BNF 41178447).
  3. Marat, Jean-Paul (1743-1793), L'Ami du peuple, ou le Publiciste parisien, journal politique et impartial. 22 janvier [-19 avril] 1791, n° 348 (-n° 353).Publication : Paris, Impr. du véritable Ami du peuple, (s. d.). (BNF 30875651)
  4. Le Créole patriote (Paris. 1792), Le Créole patriote : journal du soir / Milscent-Créole [juil. 1793-1794]. (BNF 37130864)

27 panneaux "Périssent les colonies"[modifier | modifier le code]

Liste de reproduction[modifier | modifier le code]

  • Numérisation à partir d'une collection privée

Diapositives[modifier | modifier le code]

Affiche et carte postale[modifier | modifier le code]

Lecture d'images[modifier | modifier le code]

  • Reproduction sur calicot

Olivier de Magny(vers 1529-1561, Les Soupirs, Sonnet VII
(A placer sous Le Nègre armé)

Gordes, que ferons-nous ? Aurons-nous point la paix ?
Aurons-nous point la paix quelquefois sur la Terre ?
Sur la Terre aurons-nous si longuement la guerre,
La guerre qui au peuple est un si pesant faix ?

Je ne vois que soudards, que chevaux et harnois,
Je n'ois que deviser d'entreprendre et conquerre,
Je n'ois plus que clairons, que tumulte et tonnerre
Et rien que rage et sang je n'entends et ne vois.

Les princes aujourd'hui se jouent de nos vies,
Et quand elles nous sont après les biens ravies
Ils n'ont pouvoir ni soin de nous les retourner.

Malheureux sommes-nous de vivre en un tel âge,
Qui nous laissons ainsi de maux environner,
La coupe vient d'autrui, mais nôtre est le dommage.

Diderot de la critique du système esclavagiste[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : expo1.pdf

Images



Texte wikifié



Autres images corrélées[2].







Guide de lecture de l'image "Esclaves conduits par des marchands"[modifier | modifier le code]

Nicolas de Launay, 1739-1792, graveur d'après Jean-Michel Moreau, 1741-1814. Esclaves conduits par des marchands. Estampe tirée de : Guillaume-Thomas Raynal, "s:Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens dans les deux Indes", Genève, 1780.

Nature du document[modifier | modifier le code]

  1. A quelle famille d'image appartient ce document ?
    1. Gravure
    2. Peinture
    3. Photographie

Identification de la scène[modifier | modifier le code]

Objectifs
Identification de l'image[modifier | modifier le code]
  1. Date de l'image
  2. Auteurs
  3. Graveur
  4. Système politique de l'époque
  5. Chef d'Etat
  6. Modèle wiki
Lieu[modifier | modifier le code]
  1. Quels sont les indices visuels qui nous montrent que la scène ne se déroule pas en Europe ?
  2. Quelles informations sur le lieu apporte la légende de l'image ?
Acteurs[modifier | modifier le code]

a) Identification par plan)

  1. Combien voit-on de personnages ?
  2. Où sont-ils répartis dans l'image ?

b) Description des personnages

  1. Décrivez le groupe de personnage du premier plan
  2. Décriviez le personnage debout au premier plan en idiquant ce qui différencie des autres personnages.
  3. Décrivez les personnage du dernier plan

Composition de l'image[modifier | modifier le code]

  1. Tracer une ligne le long des têtes des personnages en marche
  2. Tracer une ligne de la pointe extrême de la branche jusqu'au bosquet
  3. Tracer une ligne le long des têtes des personnages assis au sol
  4. Identifiez-vous une autre ligne clairement visible dans ce même groupe de personnages assis au sol
  5. De quel point toutes ces lignes partent-elles ?
  6. Que constatez-vous en ce qui concerne la main du personnage debout au second plan
  7. En quoi cette dispositon des lignes de forces suggèrent-elle un mouvement dans l'espace

Interprétation[modifier | modifier le code]

  1. Qu'est-ce qui nous montre que les personnages font un trajet contre leur gré ?

Couleurs[modifier | modifier le code]

  1. Quelles sont les couleurs visibles

(liste des couleurs)

Diderot de la critique du système esclavagiste[modifier | modifier le code]

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Images




Images corrélées


Saint-Domingue : comment débloquer la situation ?[modifier | modifier le code]

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Avec qui s'allier ?[modifier | modifier le code]

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Images corrélées

Haïti, Insurrection 22-23 août 1791[modifier | modifier le code]

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Image 1 :

Fichier texte

L'abolition de l'esclavage à Saint-Domingue : été 1793[modifier | modifier le code]

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4 Février 1794 : un nouveau contrat entre les peuples[modifier | modifier le code]

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Les conquêtes de la liberté : Guadeloupe, Sainte-Lucie[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo8.pdf

Les conquêtes de la liberté : Grenade, Saint-Vincent, Guyane[modifier | modifier le code]

Titre du fichier Expo9.pdf
Grenade, Saint-Vincent, Guyane

Chant de Guadeloupe, 1798.
Allons enfants de la Guinée,
Le jour de travail est arrivé ;
Ah ! telle est notre destinée,
Au jardin avant soleil levé !
C'est ainsi que la loi l'ordonne ;
Soumettons-nous à son décret ;
Travaillons sans aucun regret ;
Pour mériter ce qu'on nous donne.
A la houe, citoyens ! Formez vos bataillons
Fouillons, Fouillons,
avec ardeur faisons de bons sillons.
Chant de Guadeloupe, 1798.

Jacques Adélaïde-Merlande.-La Caraïbe et la Guyane au temps de la Révolution et de l'Empire, 1789-1804. Gens du Sud. KARTHALA Editions, 1992. Voir iconographie.
"La première partie s’attache à repenser la notion de « révolution atlantique » et le concept de « Grande Nation ». Dans le contexte géopolitique des années 1950, Jacques Godechot et Robert R. Palmer se voient accusés d’être au service de l’OTAN, en pensant une révolution atlantique qui s’étirerait dans la longue durée, de 1770 à 1848, de la révolution en Amérique du nord aux révolutions de 1848, en un temps où la Révolution française en tant que modèle unique et de référence obligée se serait imposée."

Drapeau de l'égalité de l'épiderme

Interpeller les futurs «élus du peuple». Dimanche . Quel(le)s seront celles et ceux d'entre eux qui auront le courage et la lucidité de s'engager pour combattre les souffrances que subissent au quotidien des centaines de milliers d'hommes, femmes et enfants ayant commis pour seul «crime» d'être privés de papiers ?[5]. Adjoindre le texte de Goyrand.

1795 : Retour au colonialisme[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo10.pdf

Images corrélées

Saint-Domingue, 1794-1801 : une indépendance de fait[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo11.pdf

Image corrélée

Les insurrections au nom du droit naturel dans la caraïbe 1789-1802[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo12.pdf

Images corrélées

Echec de la reconquête : l'indépendance d'Haïti en 1804[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo13.pdf

Bibliographie
Images corrélées

1802 : Le rétablissement de l'esclavage en Guadeloupe[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo14.pdf

Image 2 : Sans titre
"La Révolution guadeloupéenne assassinée éclaire de son tragique exemple la Révolution haïtienne. Dessalines lui rend hommage en 1802 : “La Guadeloupe saccagée et détruite, ses ruines encore fumantes du sang de ses enfants... le brave et immortel Delgrès emporté dans les airs avec les débris de son fort plutôt que d’accepter les fers. Guerrier magnanime ! ton noble trépas, loin de détourner notre courage ne fait qu’inciter en nous la soif de te venger et de te suivre.Recueil général des lois et actes du gouvernement d'Haïti : depuis la proclamation de son indépendence jusqu'a nos jours, Volume 1, S. Linstant Pradine (baron)
Auteurs : Haiti, S. Linstant, S. Linstant Pradine (baron), Emmanuel Édouard
Éditeur : A. Durand, 1886, Original provenant de la New York Public Library :
"... médité dans le silence et le sang froid du cabinet ; l'exécution de cet affreux projet, à moi proposée sans pudeur ... la Guadeloupe saccagée et détruite; ses ruines encore fumantes du sang des enfants, des femmes et des vieillards ..."
Cf. de S. Linstant : Essai sur les moyens d'extirper les préjugés des blancs contre la couleur des Africains et des sang-mêlés

Sortir de l'esclavage : la voie paysanne haïtienne[modifier | modifier le code]

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Images corrélées
Message
A la recherche de l'image 2

Destinataire Je suis à la recherche de l'auteur et des ayants droits de cette image . Cette image serait aussi bienvenue dans l'exposition "Périssent les colonies que nous organisons dans le cadre des commémoration des abolitions des traites et des esclavages, 10 mai en France. Ces peintures sont-elles dans le domaine public ? Peuvent-elles être placées sous licences Commons et mises en ligne sur le site. Je vous remercie très chaleureusement pour vos réponses. Alexis Marise Bique, présidente de la <Société d'histoire 94120 Saint-George & Dalayrac>, Csgd94120.--Ambre Troizat 10 mars 2011 à 20:16 (CET)

1802-1848 La résistance des esclaves continue[modifier | modifier le code]

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Images corrélées

1802-1848 Aux Antilles françaises[modifier | modifier le code]

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1848 L'Abolition de l'esclavage en Tunisie[modifier | modifier le code]

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Images coréllées

Victor Schœlcher[modifier | modifier le code]

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Images corréllées
La montagne est verte[modifier | modifier le code]
La chanson

La montagne est verte est un chant martiniquais qui garde la mémoire de l'abolition de l'esclavage en 1848, hymne de reconnaissance dit-on dans le court métrage éponyme.

Bibliographie
  • "Quant à la chanson populaire « La montagne est verte » composée par Loulou Boislaville, ancien directeur d'une compagnie martiniquaise de danse folklorique, les paroles sont on ne peut plus significatives : "la montagne est verte, les Schœlchéristes […] Schoelcher va briller comme une étoile à l'Orient. Gloire à Schœlcher qui nous apporte l'abolition de l'esclavage". Anny Dominique Curtius
  • Jacqueline Rosemain
  • Armand Nicolas
  • Ecrans d'Afrique, Numéros 23 à 24. "Une chanson qui monte et explose: "La montagne est verte, les schoelchéristes, la montagne est verte. ... film sur ce qu'il est convenu d'appeler la période la plus noire de l'histoire de l'humanité se tourne en Martinique en 1950, ..."
  • Richard D. E. Burton La famille coloniale: la Martinique et la mère patrie, 1789-1992 - Page 120
  • Daniel Boukman, Chants pour hâter la mort du temps des Orphée, ou, Madinina île esclave, 1993, page 50 : "Oh ! comme nous devrions rendre hommage au Grand Libérateur ! Nous voilà affranchis de la peur, de l'incertitude, de l'angoisse !... Ah ! Vive Schoelcher ! {Dans le lointain: « la montagne est verte ».
Le film

La montagne est verte tourné en 1950 à Paris et en Martinique est un court métrage de Jean Lehérissey sur le rôle de Victor Schœlcher et des esclaves dans le processus d'émancipation de l'esclavage. Production : JK Raymond Millet. Il a reçu le prix Jean Vigo en 1951.

Vidéos

1848 : De l'abolition à la prolétarisation[modifier | modifier le code]

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1848-1889 : De la traite au Coolie Trade[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo21.pdf

Images corrélées

À UNE MALABARAISE, Baudelaire, 1866

Tes pieds sont aussi fins que tes mains, et ta hanche
Est large à faire envie à la plus belle blanche ;
A l'artiste pensif ton corps est doux et cher ;
Tes grands yeux de velours sont plus noirs que ta chair.
Aux pays chauds et bleus où ton Dieu t'a fait naître,
Ta tâche est d'allumer la pipe de ton maître,
De pourvoir les flacons d'eaux fraîches et d'odeurs,
De chasser loin du lit les moustiques rôdeurs,
Et, dès que le matin fait chanter les platanes,
D'acheter au bazar ananas et bananes.
Tout le jour, où tu veux, tu mènes tes pieds nus,
Et fredonnes tout bas de vieux airs inconnus ;
Et quand descend le soir au manteau d'écarlate,
Tu poses doucement ton corps sur une natte,
Où tes rêves flottants sont pleins de colibris,
Et toujours, comme toi, gracieux et fleuris.
Pourquoi, l'heureuse enfant, veux-tu voir notre France,
Ce pays trop peuplé que fauche la souffrance,
Et, confiant ta vie aux bras forts des marins,
Faire de grands adieux à tes chers tamarins ?
Toi, vêtue à moitié de mousselines frêles,
Frissonnante là-bas sous la neige et les grêles,
Comme tu pleurerais tes loisirs doux et francs,
Si, le corset brutal emprisonnant tes flancs,
Il te fallait glaner ton souper dans nos fanges
Et vendre le parfum de tes charmes étranges,
L'œil pensif, et suivant, dans nos sales brouillards,
Des cocotiers absents les fantômes épars !

Bibliographie

Non application du décret de 1848[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo22.pdf

Cf.
Images corrélées
  • Victor Hugo
  • Jules Ferry
  • Vente d'esclaves
  • Capture d'esclaves
  • Transport d'esclaves
  • Esclavage aux U.S.A
    • Odalisques
  • Sociétés anti-esclavagistes
  • Abolitions de l'esclavage
  • Autres

Après la traite ?[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo23.pdf
Pas d'image.

Quelle réflexion autour de l'esclavage aujourd'hui ?[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo24.pdf
Pas d'image.

Marché du travail et police des étrangers : une histoire parallèle[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo25.pdf

Images corrélées
Documents

Droits de l'Homme du Nord ou droits universels ?[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo26.pdf

Images corrélées
Enfants

Qu'est-ce que l'hopitalité ?[modifier | modifier le code]

Titre du fichier : Expo27.pdf

Images corrélée

Evolutions 2011 de l'exposition, Fontenay-sous-Bois[modifier | modifier le code]

Avid rejoint la Wikimedia francophone

-
Commémoration des abolitions des esclavages et des traites,
Exposition "Périssent les colonies plutôt qu'un principe", Louis de Jaucourt –– Maximilien de Robespierre
Maison du citoyen et de la vie associativeFontenay-sous-BoisVal de MarneÎle-de-France

Exposition universelle[modifier | modifier le code]

Exposition universelle

Raymond Kœchlin (6 juillet 1860, Mulhouse – 9 novembre 1931, Paris)

  • 1901 : Raymond Kœchlin.- Z 104 : Le Pavillon de l’Union centrale des arts décoratifs à l’Exposition universelle de 1900. Paris, 1900. Épreuves corrigées d’un article inédit données par l’auteur en 1901.
  • 1910 : « La Chine en France au XVIIIe siècle ». Gazette des Beaux-Arts, 1910, t. II, p. 89-103.

"il est aussi maître de conférences à l’École normale supérieure de Sèvres pour jeunes filles dès sa création en 1882 et jusqu’en 1919. Pendant cette période, il rédige plusieurs manuels d’histoire et de géographie pour l’enseignement primaire et secondaire qui connaissent un grand succès. Ainsi, l’ouvrage qu’il (Raymond Kœchlin) publie avec Franz Schrader et Marcel Dubois, Éléments de géographie. Cours moyen, Certificat d’études. Géographie de la France et Étude sommaire des cinq parties du monde, chez Hachette, atteint la 19e édition (950e mille) en 1921. De plus, un de ses manuels de géographie a été traduit en espagnol. Il écrit aussi un mémoire sur l’enseignement de l’histoire dans les écoles primaires avec un enthousiasme certain : « Si intéressant qu’il puisse être de constater la situation et le rôle de l’histoire aux différents degrés de cette instruction ; quelque importance qu’elle présente dans les cours complémentaires et dans les écoles supérieures […], ce n’est pas là cependant que bat le cœur de l’enseignement. Il faut aller, pour le sentir vibrer, aux écoles primaires proprement dites, et c’est d’elles que nous nous occuperons presque exclusivement. » (L’Enseignement de l’histoire dans les écoles primaires, 1889)."

Exposition coloniale de 1931[modifier | modifier le code]







Demande à la BNF[modifier | modifier le code]

  • Cazalès, Maury, Malouet, (BNF 40260147), p. 4.
  • Mûlatresse et son esclave (au panier), p. 5
  • Esclaves dans les champs / Esclaves dans un champs, p. 5
  • William Blake, marron, 1796

Amazing Grace[modifier | modifier le code]

Amazing Grace, Wikipédia Amazing Grace, Galery Commons.


Related documents[modifier | modifier le code]

Jusqu'à 1699[modifier | modifier le code]

1700-1799[modifier | modifier le code]

1800 - 1899[modifier | modifier le code]

1900 à nos jours[modifier | modifier le code]

Documents hors du domaine public[modifier | modifier le code]

Des droits d'auteurs, ©, sont attachés à ces documents.

Signares[modifier | modifier le code]

Signare Les signares (du portugais senhoras) sont les jeunes femmes issues du mariage de Portugais avec des femmes sérères de la Petite-Côte du Sénégal.

Signification en latin et français

SIGNARE signifie tantôt écrire, tantôt marquer d'une empreinte avec un anneau, tantôt faire une marque au bétail. Signare signifie de nos jours marquer, comme on le fait pour le bétail ; mais les anciens se servaient de ce mot dans le sens d'écrire, d'où l'on trouve subsignare M et consignare W employés pour subscribere l3' et conscribere^l[8].

Signares : la mode[modifier | modifier le code]
Signares : Habitat[modifier | modifier le code]
Signares : Vie publique[modifier | modifier le code]

Elisabeth Vigée-Le Brun[modifier | modifier le code]

Francisco Goya[modifier | modifier le code]

Paolo Uccello[modifier | modifier le code]

La Planete Sauvage[modifier | modifier le code]

La Planete Sauvage

  1. La Planete Sauvage 1
  2. La Planète sauvage 2
  3. La Planète sauvage 3
  4. La Planète sauvage 4
  5. La Planète sauvage 5
  6. La Planète sauvage 6. Vérifier enchaînement.
  7. La Planete Sauvage 7

Inha[modifier | modifier le code]

Inha : Institut national d'histoire de l'art

Larchevêque-Thibault[modifier | modifier le code]

Larchevêque-Thibault 1234, Wikisource, Convention - Colonies Table of contents.

  • Extrait du memoire justificatif du citoyen Larchevesque-Thibaut, déporté de Saint-Domingue. Larchevêque-Thibault, Gabriel Jean-Baptiste, b. 1745. [Paris], 1793. E793 L319e
  • Pointe-à-Pitre : morne de l'Archevêque Thibaud
  • Almanach americain ou état physique, politique, ecclésiastique et militaire ... Par Jean Charles Poncelin de La Roche Tilhac
  • Jean-Baptiste-Gabriel Larchevèque-Thibaud, quarante-neuf ans, né à Saint-Domingue, demeurant ordinairement au Cap-Français, et à Paris, rue du Bouloi, avant la Révolution ex-avocat au conseil supérieur du Cap, et depuis procureur de ladite commune, arrêté le 21 ventose. Accusé jugé le 22 messidor an II. Archives de l'Emp., carton 411, dossier 945.
  • Choisy-le-roi (Seine, auj. : Val-de-Marne, nom révolutionnaire : choisy-sur-Seine). Commissaire municipal. Larchevèque-Thibaud ( Jean-Baptiste-Gabriel), constituant, remplaçant Leroux ou Roux, arborant un ruban tricolore pour ne pas payer le droit de passe, destitué : 21 vendémiaire an VIII. Tribunal correctionnel, commissaire. Saussaye, ex-greffier du tribunal criminel, remplaçant Duclaud, destitué : 8 vendémiaire an VIII. ac - Archives nationales.
  • Le tribunal Révolutionnaire de Paris. Ouvrage composé d'après les documents ... Par Emile Campardon
  • http://www.brown.edu/Facilities/John_Carter_Brown_Library/pages/jcbl_haiti/pages/list_author.html Larchevêque-Thibault, Gabriel Jean-Baptiste], b. 1745. Extrait du memoire justificatif du citoyen Larchevesque-Thibaut, déporté de Saint-Domingue. [Paris], 1793.

E793 L319e

  • Larchevêque-Thibault, Gabriel Jean-Baptiste, b. 1745. Lettre du citoyen Larchevesque-Thibaud, ancien procureur de la Commune du Cap-Français, aux Comités de Marine & des Colonies de la Convention nationale, réunis. [Paris], 1793.

E763 L651s v.10

E793 L319m

A20b no.13

Références[modifier | modifier le code]

  1. Forum Volcreole.com, « Nous disons Non au Président Lurel pour l' achat du livre de Las Casas », sur http://www.volcreole.com/forum/sujet-41001.html., volcreole.com, (consulté le Date invalide (mois invalide (févrie))). Mis en ligne le , 15:57.
  2. Mettre en corrélation. Un cerveau humain qu'aucune machine électronique ne peut égaler en puissance pour filtrer, classer, corréler, interpréter (Hist. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 514).
  3. a et b Association Club des Égaux.- Manifestation intitulée "Les abolitions de l'esclavage : 1793/1794 - 1848...", -
  4. En vente le vendredi 18 mars 2011 au prix de 2,00 €.
  5. Xelo Bosch, « Le Q.G. de campagne des sans papiers fait appel à la République et aux futurs députés », sur precaritas.free.fr, precaritas.free.fr, (consulté le ). Cité sur Revolution-francaise.net, Les sans-papiers et le drapeau de l'égalité de l'épiderme
  6. Jean Price-Mars, De Saint Domingue à Haïti : Essai sur la culture, les arts et la littérature: XVe – XIXe siècle : 1492-1804, Paris, Editions, . (BNF 32545968)
  7. Aimé Leroy, Éditeur scientifique, Les ballons en Flandres in Archives historiques et littéraires du nord de la France, et du midi de la Belgique, Volume 1 : XVIIIe – XIXe siècle : 1750-1830, Valencienne, Au Bureau des Archives, , 10 tomes en 8 vol. in-8° 1829-1847.(BNF 30798767)
  8. Auguste Savagner, De la signification des mots, Volume 2 : XIXe siècle : 1846, Paris, Panckoucke, .(BNF 30432126)
  9. Francisco Goya, la révolution américaine et le combat contre l’homme-bête synarchiste. Par Karel Vereycken, été 2004. Mise en ligne : 30 octobre 2007
  10. L'anneau des esclaves : La Planete Sauvage Part 3
  11. Oddo lui-même fut tué, Niccolo et son fils Francesco furent faits prisonniers , ainsi que Niccolo da Tolentino et le comte Niccolo degli Ursini. ... Histoire d'Italie depuis les premiers temps jusqu'a nos jours
  12. (Note 97) Sur cette révision, cf dossier AJDA 2003, p.513 à 573.
  13. (Note 98) J-B. Auby, "La bataille de San Romano", AJDA 2001.912.
  14. http://books.google.fr/books?id=rbph9OvdoHcC&pg=PA59&dq=la+bataille+de+san+romano&lr=#v=onepage&q=&f=false Interrogations sur l'évolution des droits fondamentaux de la personne] Par Gilles Lebreton
  15. Paolo Uccello et la représentation du mouvement : regards sur "la Bataille de ... Par James Blœdé.- Ce livre est la transcription d'un regard porté au fil de plusieurs décennies sur l'un des plus grands chefs-d'oeuvre du XVe siècle italien, La Bataille de San Romano, de Paolo Uccello (Florence, 1397-1475). Sans jamais quitter des yeux les tableaux, l'auteur, peintre et professeur d'Analyse des oeuvres à l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, se livre à une analyse très précise de la composition, l'une des plus fascinantes et complexes jamais conçues. Il montre qu'au contraire des idées reçues, la représentation du mouvement en constitue le thème fondamental. De là, l'invention de systèmes perspectifs tout particuliers, qui prennent en charge non seulement l'espace mais aussi le temps. Uccello dépeint différentes phases de la bataille mais s'attache aussi à représenter les actions des protagonistes, allant même jusqu'à décomposer cinétiquement certains de leurs mouvements. Dans cet exercice du regard, " tout se passe comme si le spectateur prêtait aux figures représentées la dynamique de sa propre activité perceptive ". Le lecteur trouvera en fin de volume, sous le rabat de la couverture, les reproductions en couleur de trois panneaux constituant le cycle de la bataille de Romano.
    La bataille de San Romano: roman Par Raphaël Aubert. Dans ce roman à la fois sur l’art et sur l’Histoire, Raphaël Aubert emporte son lecteur dans un univers où le merveilleux se mêle au tragique, où rien n’est assuré, où les énigmes succèdent aux énigmes. Où un tableau parfois peur receler les secrets du monde. (Un premier roman très prometteur paru en 1993 et qui reparaît en 2006 dans sa version définitive et qui a gardé toute son actualité). Portrait.
    La chasse au Moyen Âge : Occident latin, VIe-XVe siècle Par Lucien-Jean Bord,Jean-Pierre Mugg
  16. Auzias.- Londres 2009