Le Wast

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Le Wast
Le Wast
La mairie.
Blason de Le Wast
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté de communes de Desvres - Samer
Maire
Mandat
Philippe Demolliens
2020-2026
Code postal 62142
Code commune 62880
Démographie
Gentilé Wastiens
Population
municipale
198 hab. (2021 en diminution de 5,71 % par rapport à 2015)
Densité 220 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 58″ nord, 1° 48′ 11″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 70 m
Superficie 0,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Le Wast
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Le Wast

Le Wast est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 301 habitants en 2019.

Avec une superficie de 0,93 km2, c'est la plus petite commune du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale et la deuxième du département (derrière La Loge).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se situe dans le Boulonnais, dans la partie nord-ouest du département. Le paysage est bocager et vallonné.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de trois communes :

Communes limitrophes du Wast
Colembert
du Wast
Bellebrune Alincthun

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune se situe au sein de la boutonnière du Boulonnais.

La superficie de la commune est de 0,96 km2 et l'altitude varie de 42 mètres, en aval du Wimereux, à 70 mètres au nord, sur les flancs d'un petit mont du boulonnais (76 mètres, au nord-ouest de la commune). Une autre colline, située au sud-ouest, cache le village des vues depuis la RN 42[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée, d'est en ouest, par le Wimereux, cours d'eau naturel non navigable de 22,1 km, qui prend sa source dans la commune de Colembert et se jette dans la Manche à Wimereux[3].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[4].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 912 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le réservoir biologique du Wimereux. À l’instar de la Liane, le Wimereux est un bassin côtier qui présente un intérêt majeur pour les migrateurs amphihalins.[14].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Wast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), terres arables (27,5 %), zones urbanisées (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Outre le bourg du Wast proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[22] : les Compotes et le Coquillot.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

Le Wast est desservie par la N 42 qui relie Saint-Omer (à 32 km) à Boulogne-sur-Mer (à 14 km). Le village est traversé par les départementales 127 (qui relie Guînes au nord et Desvres au sud) et 252 (vers la commune voisine de Colembert). La commune se situe à environ une demi-heure de la gare TGV de Calais-Fréthun, et à une quinzaine de minutes de l'autoroute A16 (allant de Dunkerque au nord à Rouen au sud). L'autoroute A26 (ou autoroute des Anglais) est à environ 20 minutes.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Des inondations ont lieu ponctuellement en cas de forte pluie, comme le , le matin de la tempête Joachim. Ce jour-là, l'échangeur du Wast de la RN 42 est marqué par des ruissellements importants créant un gué ; des ruissellements sont aussi observés dans le village.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wachonevillare au VIIIe siècle ; Vuachimvillare et Wachunvillers en 954 ; Wachunvillare en 962 ; Wastum en 1107 ; Wast et Guastum au XIIe siècle ; Watinensis ecclesia en 1252 ; Le Wast en 1285 ; Wastonvillare, Wascuvillare et Wastunvillare au XIIIe siècle ; Wasconvillare au XIVe siècle ; Wascum vers 1512 ; Le Vuat en 1596 ; Wasconvillaris, modo le Wast au XVIIe siècle[23] ; Le Wast en 1793 ; Saint-Wast puis Le Wast depuis 1801[24].

La localité s'appelait jadis *Wachonviller comme l'indiquent les formes anciennes, Le wast étant un lieu-dit de cet endroit se référant à la nature du sol. Le Wast est issu de l'ancien picard wast, littéralement « terre gâtée » → « terre inculte, déserte ou infertile ». Ce mot est issu du gallo-roman WĀSTU, croisement entre le latin vāstus (> vaste, dévaster) et le germanique wōstī « vide, désolé, gâté » qui a également donné l'ancien français gast « terre inculte, déserte ou infertile »[25], d'où gaster > gâter (l'anglais waste est issu de l'ancien normand identique au mot picard).

Homonymie avec Le Vast (Manche, Wastum vers 1180), Le Gast (Calvados), etc.

La commune s'appelle L'wast en picard.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Wast était située sur la voie romaine reliant Boulogne-sur-Mer à Cassel, via Le Wast, Alembon, Licques, Clerques, Tournehem-sur-la-Hem, Watten[26].

Vers 1090, Ide de Boulogne fonde, avec l'aide d'Hugues de Cluny, le prieuré Saint-Michel du Wast. Le , une semaine après sa mort à l'abbaye de la Capelle aux Attaques, Ide est inhumée dans le prieuré, conformément à ses dernières volontés[27].

En 1669, par manque d'entretien du sanctuaire où repose sainte Ide, ses restes sont transférés à Boulogne-sur-Mer puis remis aux Bénédictines de l'adoration perpétuelle du Très-Saint-Sacrement de Paris ; seule une côte restera au Wast[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Desvres.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 ? Gabriel Miellot    
? mars 1977 Jean Calonne   Directeur commercial
mars 1977 juin 1990 Fernand Demolliens   Horticulteur
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mai 2020 Serge Feutry DVD Restaurateur retraité
mai 2020 En cours
(au 8 mars 2021)
Philippe Demolliens
Fils de Fernand Demolliens (ancien maire)
  Commercial[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 198 habitants[Note 6], en diminution de 5,71 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
151152177171211194208204231
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
224227239227229229232207217
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
233220209210187185185192191
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
216200195171185180194198203
2018 2021 - - - - - - -
204198-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 107 femmes, soit un taux de 52,45 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,9 
3,1 
75-89 ans
7,5 
17,5 
60-74 ans
15,0 
19,6 
45-59 ans
18,7 
21,6 
30-44 ans
25,2 
12,4 
15-29 ans
13,1 
24,7 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Une trentaine d'employés de l'équipe du parc naturel régional travaillent dans le manoir du Huisbois. Une entreprise de matériaux écologiques est également implantée sur la commune. La commune, très rurale, présente également une activité agricole.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Un panneau, à proximité de l'église, informe les visiteurs. Voici le texte qu'il contient :

« L'église de Le Wast
Un portail d'inspiration arabe ?

L'église Saint-Michel possède un portail roman à triple voussure festonnée d'inspiration byzantine ou arabe.
Selon Camille Enlart, historien boulonnais, cette porte serait inspirée de celle de Bab-el-Foutouh au Caire, bâtie à la même époque par la dynastie fatimide !
Aucune preuve historique n'étaye cette thèse mais cette ressemblance qui n'est sans doute pas le fruit du hasard, rappelle les nombreux échanges existants aux Xe et XIe siècles entre l'occident chrétien, l'empire byzantin et le monde arabe qui s'étendait des Indes à l'Espagne. »

  • La chapelle Sainte-Ide, construite vers 1860 à l'emplacement de l'ancien tombeau de sainte Ide, détruit au début du XIXe siècle[27].
  • Le marronnier de la place, planté en 1910 et labellisé « arbre remarquable de France » en 2010[37].
  • Le monument aux morts, situé dans le cimetière adjacent à l'église et à la mairie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Le Wast Blason
D'argent à la croix de sable chargée en cœur d'une molette d'or[38].
Détails
Armes du prieuré Saint-Michel du Wast, encore visibles aujourd'hui sur le fronton de la chapelle Sainte-Ide. Les sources donnent deux blasons l'un avec une molette et l'autre une molette de cinq rais.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Daniel Haigneré, « Notice historique et archéologique sur le prieuré de Saint-Michel du Wast, ordre de Clugny, diocèse de Boulogne », dans Société des antiquaires de la Morinie, Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie, t. 9, Saint-Omer, Imprimerie Chanvin fils, (lire en ligne sur Gallica), partie II, p. 1-44. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Visualisation de la carte topographique pour Le Wast. » sur Géoportail (consulté le 16 décembre 2011)..
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Wimereux (E5200570 ) » (consulté le )
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Le Wast et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Les espaces protégés. », sur le l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  13. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310030078 - Réservoir biologique du Wimereux », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBoulogne-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. « Le Wast » sur Géoportail (consulté le 8 mars 2021)..
  23. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 397.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Wast », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. Dominique Fournier, « Élément vast / gast » in Wikimanche (lire en ligne).
  26. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1858, p. 81-83, lire en ligne sur Gallica.
  27. a b et c Daniel Haigneré, « Notice historique et archéologique sur le prieuré de Saint-Michel du Wast, ordre de Clugny, diocèse de Boulogne », dans Société des antiquaires de la Morinie, Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie, t. 9, Saint-Omer, Imprimerie Chanvin fils, (lire en ligne sur Gallica), partie II, p. 1-44
  28. « Le Wast : Philippe Demolliens sur les traces de son papa : Philippe Demolliens a été élu maire de Le Wast, commune qui fut administrée par son père de 1977 à 1990. », La Semaine dans le Boulonnais,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Wast (62880) », (consulté le ).
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  38. « 62880 Le Wast (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).