Inchy-en-Artois

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Inchy-en-Artois
Inchy-en-Artois
Mairie d'Inchy-en-Artois.
Blason de Inchy-en-Artois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes Osartis Marquion
Maire
Mandat
Michel Rousseau
2020-2026
Code postal 62860
Code commune 62469
Démographie
Gentilé Inchiaquois
Population
municipale
576 hab. (2021 en diminution de 6,34 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 49″ nord, 3° 03′ 09″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 97 m
Superficie 11,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
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Inchy-en-Artois
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Inchy-en-Artois

Inchy-en-Artois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune d'Inchy-en-Artois, limitrophe du département du Nord, est située près de l'axe Cambrai - Arras, à 17.08 km de Cambrai et 27.74 km d'Arras.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont trois dans le département du Nord :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le canal du Nord, canal ou chenal navigable de 75,56 km, qui prend sa source dans la commune de Rouy-le-Grand et se jette dans la Somme Canalisée au niveau de la commune de Biaches[1], et par l'Agache, cours d'eau d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune et finit sa course dans la commune de Palluel[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Inchy-en-Artois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), prairies (7,3 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

De 1880 à 1969, la commune est desservie par une ancienne ligne de chemin de fer, la ligne de Boisleux à Marquion.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Incys (1047) ; Inciacum (1095) ; Incis (1096) ; Inceium (XIe siècle) ; Incy (XIIe siècle) ; Hinci (1157) ; Ynci (XIIe siècle) ; Inci (1226) ; Inchiacum (1244) ; Enchi (1260) ; Ynchi (1286) ; Ienchy (1337) ; Ynchy (XVe siècle) ; Hinchy (1704) ; Inchy-en-Artois (XVIIIe siècle)[17].

L’Artois est un pays traditionnel et une province du royaume sous l’Ancien Régime, ayant pour capitale Arras, aujourd’hui inclus principalement dans le département du Pas-de-Calais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une abbaye a été implantée à Inchy. Sa fondation remonterait au XIe siècle[18]. La seigneurie de Lugy en dépendait en partie au XVIIe siècle[19].

Avant la Révolution française, Inchy était le siège d'une seigneurie[20].

Les seigneurs d'Inchy ont fait construire un château sur la commune[21].

Avant 1702, le prince de Chimay Philippe de Croÿ-Chimay d'Arenberg détient la seigneurie d'Inchy[22].

Robert Huvino (1653-1740) est seigneur de Bourghelles, Inchy-en-Artois, Villers, Cagnicourt, Meurchin. Il est le fils de Robert Huvino, bourgeois de Lille, et d'Adrienne Brœucq. Il nait à Lille en janvier 1653 (baptisé le ) et meurt à Lille le , à l'âge de 87 ans, inhumé le lendemain dans l'église Sainte-Catherine de Lille. Anobli le par l'achat d'une charge de conseiller secrétaire du roi en la grande chancellerie de France qui lui coûta 57 000 livres, il acquiert la bourgeoisie de Lille le , devient sous-doyen de la grande chancellerie de Flandre. Il a acheté le à Philippe Ignace François de Gottignies la terre de Bourghelles pour le prix principal de 66 500 florins. Il acquiert la seigneurie d'Inchy-en-Artois en vertu d'un décret de la Cour du Parlement de Paris, en 1702, sur Philippe de Croÿ-Chimay d'Arenberg, prince de Chimay, alors décédé[21],[23] et Maximilienne de Grave son épouse. Elle ne forme qu'un seul fief avec les seigneuries de Cagnicourt et de Villers, en vertu de lettres patentes du , mais elle en est séparée en application du partage fait le entre les fils de Robert Huvino. Il épouse à Lille le Marie Angélique Le Comte (1672-1720), fille de François Daniel, écuyer, seigneur du Bus et de Catherine Grau. Marie Angélique nait le et meurt le , inhumée dans l'église Sainte-Catherine de Lille[22].

Pierre Robert Martin Huvino (1698-1775), écuyer, est seigneur de Bourghelles, Inchy-en-Artois, Cagnicourt, Villers, Meurchin. Fils de Robert, il nait à Lille en août 1698 (baptisé le ), devient bourgeois de Lille le , gentilhomme ordinaire du roi, rewart (chargé de la police) de Lille. Il meurt le , à 76 ans, est enterré dans le chœur de l'église de Bourghelles. Il se marie à Lille le avec Marie Madeleine Julie de Montmonnier (1718-1741), fille de François Alexandre, écuyer, capitaine grand bailli de La Motte au Bois, et de Marie Robertine de Surmont. Née en 1718, elle meurt à Lille le . Il épouse ensuite à Lille le Angélique Caroline Joseph Frans (1720-1790) (elle a 22 ans, il a 44 ans), fille d'Alexis François écuyer, seigneur de la Hamayde et de la Chapelle, et de Marie Françoise de Rogier. La seconde épouse nait à Lille en octobre 1720 (baptisée le ) et meurt le , à 69 ans[24].

Robert François Joseph Étienne Huvino, écuyer, fils de Robert, frère de Pierre Robert Martin, seigneur d'Inchy, nait à Lille le [20] ou en juin 1708 (baptisé le )[25]. Il bénéficie le d'une reconnaissance de noblesse. Il est chevalier de Saint-Louis, ancien capitaine au régiment de Lionnais. Il demeure ordinairement en son château d'Inchy[20] Il se marie à Lille le avec Marie Joseph Thérèse Zouche, fille d'Alexandre Zouche, écuyer, seigneur de La Lande, La Beuvrière (Labeuvrière?), Beugin, lieutenant-colonel de la légion de Conti infanterie, et de Marie Joseph Thérèse Deschamps. Elle nait à Lille en octobre 1725 et meurt après 1789[25].

Pierre François Joseph Huvino vend le le château d'Inchy à Albert Despretz de Quéant[21]. Ce dernier va être maire d'Inchy de 1816 ,à 1831.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Inchy-en-Artois est un village qui subit, durant la Première Guerre mondiale, les bombardements par l'artillerie française, tirant par batteries entières dès détection de la position des artilleurs allemands.

Selon les témoignages des soldats allemands cantonnés dans ce village lors de cette époque : « il pleuvait alors littéralement des bombes, et les camarades de pièce se faisaient déchiqueter et certains couper en deux par les explosions des bombes. »

Pour certains de ces artilleurs allemands qui considéraient le canon français de 75 comme plus précis que les leurs après ces terribles pilonnages, il était incompréhensible d'être survivant alors que tous les autres servants avaient péri. Un réflexe de courir droit devant a sauvé l'un d'entre eux qui plongea se coucher dans le fossé devant le cimetière de l'époque pour s'abriter des éclats d'obus en attendant la fin des tirs ennemis. C'est alors qu'il sentit le canon du pistolet sur sa tempe, tenu par l'un des officiers allemands, à cheval, pour se voir rapatrier à pied ainsi à leur pièce d'artillerie, comme un sous-homme[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1812 Hubert Dominique Dubuisson    
1812 1816 Hubert Charles Nicolas Dubuisson   Conseiller général du canton de Marquion (1836-1847)
1816 1831 Albert Despretz    
1831 1849 Hubert Charles Nicolas Dubuisson    
1852 1877 Hubert Charles Raymond Dubuisson   Conseiller général du canton de Marquion (1867-1871)
1870 1871 Amédé Leconte    
1877 1887 Gustave Bricout    
1887 1888 Balthazar Deleau    
1888 1908 Frédéric Lagrange   Agriculteur
1908 1946 Gustave Leandre Bricout   Agriculteur
avril 1945 1983 Bénoni Chopin UDR Entrepreneur, marchand de charbon et d'engrais
Conseiller général du canton de Marquion (1951-1976)
1983 2001 Roger Panien DVD Constructeur
mars 2001 2004 Annie Sauron   Démissionnaire
octobre 2004 En cours
(au 2 décembre 2020)
Michel Rousseau DVD-LREM Agriculteur
Conseiller départemental de Bapaume (2017[26] → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29],[30]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 576 habitants[Note 3], en diminution de 6,34 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8258559471 0091 1521 1041 0861 0791 069
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0451 0791 0791 1121 0451 0161 0041 0421 037
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0601 0441 018617720728719686643
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
610595576534576556569560605
2015 2020 2021 - - - - - -
615578576------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 291 hommes pour 318 femmes, soit un taux de 52,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,0 
6,5 
75-89 ans
7,3 
16,7 
60-74 ans
15,9 
19,6 
45-59 ans
21,2 
19,2 
30-44 ans
20,2 
15,9 
15-29 ans
15,9 
21,4 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint Martin.
Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

d'or aux trois fasces de sable.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal du Nord (----0472 ) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Agache (E1560840) » (consulté le )
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Inchy-en-Artois et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 210.
  18. « l'abbaye » (consulté le ).
  19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 58, lire en ligne
  20. a b et c Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 105, lire en ligne.
  21. a b et c « le château » (consulté le ).
  22. a et b Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.325-326 (lire en ligne).
  23. « La famille Croÿ- Arenberg », sur Ville de Chimay (consulté le ).
  24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.326-328 (lire en ligne).
  25. a et b Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.327 (lire en ligne).
  26. « PAS-DE-CALAIS Michel Rousseau va remplacer Bruno Duvergé au Département : Élu en juin député (MoDem - En Marche) de la 1re circonscription, Bruno Duvergé vient de démissionner comme prévu de son mandat de conseiller départemental. Il siégeait au sein du groupe En Marche qu’il a contribué à créer », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Le bilan des maires à Inchy-en-Artois - Michel Rousseau : « Continuer l’entretien et la mise en valeur du patrimoine » : Élu conseiller en 1995, Michel Rousseau devient premier magistrat en octobre 2004, après la démission d’Annie Sauron. En mars prochain, il postulera à nouveau à la fonction. « On a fait de belles choses dans tous les domaines et on a envie de continuer. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Inchy-en-Artois: deux nouveaux adjoints aux côtés de Michel Rousseau : Samedi 29 mars, après avoir installé le conseil municipal sorti des urnes, Michel Rousseau, maire sortant, a fait applaudir Albert Labalette et Jean-Claude Vasseur, adjoints qui ont décidé de ne pas se représenter dans leur fonction », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Inchy-en-Artois (projet des maires) : la rénovation de l’église, le chantier principal du mandat : Conseiller municipal depuis 1995, et maire depuis 2004, Michel Rousseau a entamé son second mandat « complet » de premier magistrat avec sept nouveaux élus (sur 15) par rapport à son équipe précédente. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Inchy-en-Artois (62469) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).