Villers-au-Flos

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Villers-au-Flos
Villers-au-Flos
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Sud-Artois
Maire
Mandat
Jean-Marie Lecornet
2020-2026
Code postal 62450
Code commune 62855
Démographie
Population
municipale
246 hab. (2021 en diminution de 2,38 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 04′ 54″ nord, 2° 54′ 15″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 133 m
Superficie 5,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bapaume
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
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Villers-au-Flos
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Villers-au-Flos

Villers-au-Flos est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Entrée du village.
Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 5,8 km2 ; son altitude varie de 113 à 133 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villers-au-Flos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bapaume, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (5,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vilers versus Bapalmam (1202) ; Vilers-en-Artois (1218) ; Vilers (1267) ; Villers-lès-Bapaumez (XIVe siècle) ; Villers juxta Bapalmis (XIVe siècle) ; Willers-au-Flot (XIVe siècle) ; Villieres-au-Flos (1559) ; Villers-aux-Flots (1767)[17].

Villers est un appellatif toponymique français qui procède généralement du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica. Il est apparenté aux types toponymiques Villars, Viller, Villiers, Weiler et Willer.

Un flot ou flos, est une terre inculte, un pâturage en ancien français ; une mare, un abreuvoir, un marais, en picard dans l'Artois,

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Isabelle de Hainaut épousa le roi de France Philippe Auguste, le . Le comte Philippe d'Alsace se démit de l'Artois dont la seigneurie de Villers-au-Flos pour qu'Isabelle de Hainaut apporta dans sa dot le Comté d'Artois au Roi de France.

Jusqu'à la fin du XVe siècle, les documents font défaut pour suivre l'appartenance de seigneurie[18].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

La famille de Longueval prit possession de la seigneurie au XVIe siècle. Maximilien de Longueval épousa en 1567 Marguerite de Lille, fille du Comte de Bucquoy, acquérant ainsi la seigneurie de Villers-au-Flos.

La seigneurie de Villers passa ensuite à la famille des Planques, puis de Louverval dont Pierre Maximilien, né à Villers le . C'est lui qui fit construire le château où il mourut le . Il fit rebâtir l'église et le presbytère (aujourd'hui l'école). Son fils s'appelait Maximilien Guislain, né le et mort le . Il obtint le titre de Marquis. Lui-même eut un fils: Marie Hippolyte Guislain de Louverval qui mourut à Villers le , sans descendance[18].

Carte de Cassini[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Villers-au-Flos, qui s'écrivait Villers-aux-Flots était une paroisse située entre deux vallées.

A l'est du village, le château qui sera détruit au cours de la guerre 14-18 est représenté.

Au nord-ouest, il existait la Chapelle Notre-dame de Grâce, aujourd'hui d1sparue.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Sa sœur[pas clair], Maximilienne Elysabeth Guislaine Emmanuelle hérita de la seigneurie et épousa Charles du Hays. Leur fille Marguerite se maria en 1847 à Abel Tournois de Bonnevallet et hérita du château de Villers.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Villers-au-Flos et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à une dizaine de km à l'est devant Cambrai. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier.
Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines. Villers-au-Flos repassera aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au 29 août 1918, date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur.
Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.
De 453 habitants en 1911, Villers-au-Flos n'en comptait plus que 282 en 1921.
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 14 soldats de la commune morts au Champ d'honneur ainsi que de 5 civils[19],[20].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le [21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bapaume.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Le second tour de l'élection municipale de 2014 a été contestée en raison de l'écart d'une voix séparant deux candidats, mais le Conseil d’État a confirmé les résultats en [22].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Marie Lecornet    
mars 2008 2014[23] Marie-Christine Corniquet    
avril 2014 En cours
(au 12 avril 2022)
Jean-Marie Lecornet   Agriculteur[24],[25],[26]
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 246 habitants[Note 4], en diminution de 2,38 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
614663612703807839828875905
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
899902855814793773693616592
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
541496453282290260241217232
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
231237202187192196188187219
2015 2020 2021 - - - - - -
252246246------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 137 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 52,09 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
3,9 
75-89 ans
5,1 
23,4 
60-74 ans
22,0 
14,8 
45-59 ans
16,9 
21,1 
30-44 ans
18,6 
15,6 
15-29 ans
13,6 
21,1 
0-14 ans
23,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre[modifier | modifier le code]

Reconstruite durant l'entre-deux-guerres, en brique et béton armé.

Le cimetière militaire allemand[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Maximilien de Louverval (1713-1803), chevalier, seigneur de Villers-au-Flos, fit construire le château, reconstruire l'église et le presbytère.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Serge Frassaint Villers-au-Flos[18].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Villers-au-Flos et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bapaume », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 388.
  18. a b et c « Un peu d'histoire », sur villers-au-flos.fr (consulté le ).
  19. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Villers-au-Flos_Monument_aux_morts_-_noms2.jpg
  20. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Villers-au-Flos_Monument_aux_morts_-_noms1.jpg
  21. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  22. ALP, « Villers-au-Flos : l’élection municipale validée par le conseil d’État : Le renouvellement du conseil municipal faisait l’objet d’un recours devant le Conseil d’État. Lequel vient de le rejeter et d’entériner ainsi les résultats du scrutin de mars 2014. Jean-Marie Lecornet reste donc maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Bilan du maire de Villers-au-Flos: un autofinancement communal conséquent après une période morose en investissements : Élue conseillère municipale en 1995 puis adjointe en 2001, Marie-Christine Corniquet occupe le siège majoral depuis 2008 et se considère « au service de la population ». Sa décision n’est pas encore prise sur le fait de briguer un nouveau mandat mais elle pense qu’un seul mandat de maire n’est pas suffisant pour mener à bien les projets », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Villers-au-Flos : Jean-Marie Lecornet élu maire : L’atmosphère était pesante lors de l’installation du conseil. L’opposition forte de cinq conseillers sur onze a décidé de ne pas participer au scrutin », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  26. « Projet des maires - Villers-au-Flos : vers un lifting intégral aux abords de la mairie : Trottoirs et voirie devraient être entièrement refaits autour de la mairie. C’est le projet phare du mandat de Jean-Marie Lecornet. Mais avant toute réalisation, il doit être soumis à un bureau d’étude », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-au-Flos (62855) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).