Febvin-Palfart

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Febvin-Palfart
Febvin-Palfart
L'église Sainte-Berthe, monument historique.
Blason de Febvin-Palfart
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité CA du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Jean-Luc Evrard
2020-2026
Code postal 62960
Code commune 62327
Démographie
Gentilé Febvinois
Population
municipale
619 hab. (2021 en augmentation de 4,56 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 20″ nord, 2° 18′ 58″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 196 m
Superficie 14,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Febvin-Palfart
Géolocalisation sur la carte : France
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Febvin-Palfart
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Febvin-Palfart
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Febvin-Palfart

Febvin-Palfart est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Febvinois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 15 km, à l'est, de Fruges (bureau centralisateur du canton).

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par quatre cours d'eau :

  • le ruisseau Surgeon, d'une longueur de 9,37 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Laquette au niveau de la commune d'Estrée-Blanche[1] ;
  • le Ravin de la Méroise, d'une longueur de 9,32 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Nave au niveau de la commune de Lespesses[2] ;
  • le re fontaine, d'une longueur de 4,76 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Faux au niveau de la commune d'Heuchin[3] ;
  • le Château, d'une longueur de 1,08 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le ruisseau Surgeon au niveau de la commune[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records FIEFS (62) - alt : 186m, lat : 50°30'16"N, lon : 2°19'34"E
Records établis sur la période du 01-10-1952 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,8 4,7 7,8 10,7 12,8 12,9 10,4 7,6 4,3 1,8 6,5
Température moyenne (°C) 3,5 4 6,6 9,4 12,7 15,5 17,7 17,8 14,9 11,1 7 4,2 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 14,2 17,6 20,4 22,7 22,7 19,3 14,7 9,7 6,6 14,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,5
09.01.1985
−17,5
23.02.1956
−13,9
07.03.1971
−6
25.04.1955
−5
02.05.1960
−3,2
02.06.1962
3,2
04.07.1964
4
29.08.1964
0,2
30.09.1954
−6
29.10.1997
−11
30.11.1978
−12,9
29.12.1996
−18,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
01.01.22
19,8
28.02.1960
25,1
31.03.21
27
29.04.1955
34
25.05.1953
35,5
30.06.1957
40,6
25.07.19
37
10.08.03
33,6
09.09.23
30,8
01.10.1959
19,5
06.11.1955
17
01.12.00
40,6
2019
Précipitations (mm) 103,9 86,5 76,4 64,4 76,4 74,4 80,7 85,1 83,3 100,9 112,8 125,8 1 070,6
Source : « Fiche 62333001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le vallon de Bergueneuse à Fiefs, d’une superficie de 934 hectares et d'une altitude variant de 60 à 185 mètres. Cette ZNIEFF, qui s’étend au nord/nord-ouest de la commune d’Anvin, est une des plus importantes vallées sèches drainant les collines de l'Artois[11].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Febvin-Palfart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,5 %), prairies (23,1 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), zones urbanisées (2,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte trois hameaux, dont Ramiévile[19].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 77, D 92, D 94 et D 95 et est située à 15 km, à l'ouest, de la sortie no 5 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Fevin en 1119 ; Phevin en 1184 ; Fevins au XIVe siècle ; Febvin-Palfart en 1698[21] ; Febvin Palfait en 1793 ; Febvin-Palfait puis Febvin-Palfart depuis 1801[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au début de la Seconde Guerre mondiale, pendant la bataille de France, le , 32 artilleurs marocains du 254e régiment d'artillerie lourde nord-africaine de la 1re division d'infanterie nord-africaine, faits prisonniers par les Allemands, sont exécutés par les SS[23],[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du canton de Fauquembergues.

Le , cette intercommunalité rejoint, avec d'autres, la Communauté d'agglomération de Saint-Omer pour former la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer[25] dont la commune est désormais membre.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Fauquembergues[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, la commune est intégrée au canton de Fruges.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1996 1997[26] M. Jean Pierre Loison sans étiquette Profession : Visiteur médical - Démissionnaire
1997 mars 2017[26] Pierre Deremetz[27],[28],[29]   Ingénieur
Démissionnaire
mars 2017 En cours
(au 21 février 2022)
Jean-Luc Évrard   Cadre de la fonction publique[19]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre l'école maternelle « Le Village » en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 113)[31].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Febvinois[33].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 619 habitants[Note 4], en augmentation de 4,56 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
805792784831970906911877862
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
848849841827823839830812749
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
753752710687680694707645674
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
703653612552512497496506574
2018 2021 - - - - - - -
604619-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 297 hommes pour 307 femmes, soit un taux de 50,83 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,3 
6,7 
75-89 ans
8,8 
12,1 
60-74 ans
12,1 
15,5 
45-59 ans
17,3 
24,2 
30-44 ans
22,8 
16,2 
15-29 ans
13,0 
24,6 
0-14 ans
24,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église de l'Immaculée Conception au hameau de Livossart.
  • Le monument élevé en 1971 en l'honneur des 32 tirailleurs marocains exécutés par les nazis le et inhumés dans le cimetière communal[41].
  • Le monument aux morts[42].
  • Les plaques commémoratives dans la paroisse de l'Immaculée Conception au hameau de Livossart[43] :
    • la plaque aux enfants de la paroisse morts pour la France 1914-1918 ;
    • la plaque en hommage à l'équipage d'un bombardier américain.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Febvin-Palfart Blason
De sinople à un fer à cheval d'argent clouté de onze pièces de gueules encadrant une (cosse de) fève d'or, à la bordure du même chargée de onze tourteaux du champ[44].
Détails
Le fer à cheval fait allusion au monde rural, les onze clous et tourteaux représentent les onze hameaux de la commune et enfin la fève (ou cosse de fève) est pour le nom de Febvin qui signifierait « pays des fèves ».

Adopté le .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau Surgeon (E3510870) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin de la Méroise (E3640700 ) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - re fontaine (E5400620) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Château (E3510970) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Febvin-Palfart et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013281 - Vallon de Bergueneuse à Fiefs », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Febvin-Palfart : Jean-Luc Évrard revêt l’écharpe de maire : Après la démission surprise de Pierre Deremetz, élu depuis 22 ans, son 1er adjoint lui succède », L’Écho de la Lys,‎ (lire en ligne) « Le conseil municipal s’est ensuite mis d’accord pour élire trois adjoints. Si l’élection de Mickaël Nayet et de Francis Bulot, respectivement aux postes de 1er et de 2e adjoint, n’a souffert d’aucune contestation – seuls en lice, ils ont été élus avec 9 et 10 voix – l’élection du troisième adjoint a, en revanche, été plus commentée.
    Deux élus ont fait acte de candidature, Pierre Deremetz et Dorothée Fruchart. L’ancien maire a été élu avec 10 voix »
    .
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 145.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Émile Pecqueur, « Febvin - Palfart, 30 mai 1940, Massacre de 32 soldats marocains », sur saint.hilaire.cottes.free.fr (consulté le ).
  24. Anthony Berteloot, « Le mémorial marocain de Febvin-Palfart rappelle l’exécution de trente-deux soldats en 1940 » (accès réservé aux abonnés), La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Audomarois : la nouvelle grande agglo s’appellera la CAPSO », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  26. a et b A.H., « Pierre Deremetz passe la main », L'Abeille de la Ternoise, nos 8613-1710,‎ , p. 35 « Élu en 1995, il exerce la fonction de premier adjoint jusqu’en 1997 en remplacement de M. Loison, démissionnaire. Il est alors élu maire. Il sera confirmé au fauteuil majoral en 2001, 2008 et 2014. Des raisons personnelles ont motivé la décision de Pierre Deremetz ».
  27. Hervé Vaughan, « Le bilan du maire de Febvin-Palfart, Pierre Deremetz : pas d’école, pas d’éoliennes non plus, mais une salle des fêtes : Le rassemblement pédagogique concentré et les éoliennes de la Carnoye. C’étaient les deux projets énoncés en 2008. Aucun n’a abouti. Pierre Deremetz, candidat à un quatrième mandat, les verra peut-être, s’il est réélu », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Febvin-Palfart : Pierre Deremetz entame son quatrième mandat de maire : Dimanche, les conseillers nouvellement élus ont désigné maire Pierre Deremetz. À 59 ans, il entame son quatrième mandat consécutif à la tête du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. C. H (CLP), « Les projets des maires : à Febvin-Palfart, la sécurité des enfants renforcée : Pierre Deremetz a entamé en mars son quatrième mandat à la tête de la commune et l’aménagement d’un parking entre l’école et la salle sera la première réalisation à sortir de terre. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  31. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Febvin-Palfart (62327) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. « Église », notice no PA00108277, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
  41. France 3, mai 2020, « 1940, la bataille de France au jour le jour : 30 mai, La Bourrasque coulée en quittant Dunkerque, 500 hommes périssent »
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