Longvilliers (Pas-de-Calais)

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Longvilliers
Longvilliers (Pas-de-Calais)
La mairie.
Blason de Longvilliers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Philippe Petit
2020-2026
Code postal 62630
Code commune 62527
Démographie
Gentilé Longvillois
Population
municipale
254 hab. (2021 en augmentation de 0,4 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 40″ nord, 1° 43′ 42″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 120 m
Superficie 10,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Étaples - Le Touquet-Paris-Plage
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étaples
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Longvilliers
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Longvilliers
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Longvilliers
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Longvilliers
Liens
Site web www.longvilliers.fr

Longvilliers est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 6 km du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale et à 7,5 km de la forêt d'Engoudsent. Son climat est océanique avec des étés tempérés. Les plages les plus proches sont celles de Sainte-Cécile, à 8,4 km et du Touquet-Paris-Plage, à 16 km.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Dordogne à Longvilliers.

La commune est traversée par la Dordogne qui prend sa source à Cormont et se jette dans la Canche au niveau de la commune de Bréxent-Énocq[1].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[2]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 867 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le bois de Longvilliers. Ce bois est situé sur le flanc d’une creuse assez importante, aux versants abruptes dans la partie amont, qui s’élargissent ensuite dans les parties moyenne et aval[10].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Longvilliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), prairies (14,2 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 136, alors qu'il était de 137 en 2014 et de 122 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 79,2 % étaient des résidences principales, 20,1 % des résidences secondaires et 0,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Longvilliers en 2019 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,1 %) supérieure à celle du département (6,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,5 % en 2014), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Longvilliers en 2019.
Typologie Longvilliers[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 79,2 85,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 20,1 6,4 9,7
Logements vacants (en %) 0,8 7,7 8,2

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Longum Villare (1160), Lunvileriae (vers 1173), Lonvillare (1177), Longvileirs (1192), Lumvileriae (1194), Lungvilliers et Lungvilers (1196), Loncvilier (1277), Loncvilers (1285), Lonviler (1293), Lonc Villers (1318), Longvellier (1559), Longvillers (vers 1743), Longvillers (1789)[19], Longvilliers (1793), Longvillers et Longvilliers (1801) et Longvilliers (1997)[20].

Vient du latin longum « long » et villare « domaine, ferme ».

Homonymie avec Longvilliers (Yvelines).

La commune, qui portait le nom Longvillers est renommée en Longvilliers le [21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Longvilliers était une des quatre châtellenies du Boulonnais. Une tradition veut que sainte Ide de Boulogne y ait nourri son fils Godefroy de Bouillon, premier souverain du royaume de Jérusalem. Plus tard, la terre de Longvilliers a été possédée par la famille des Cayeu, puis des Blondel[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais[21].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Étaples[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton d'Étaples[21]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Longvilliers était membre de la communauté de communes mer et terres d'Opale, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 juin 1995 Pierre Desrumaux[28]    
juin 1995 avril 2014[29] Yves Martel   Agriculteur retraité
avril 2014[30] juillet 2020 Sascha Maignan[31]   Dirigeant de sociétés
juillet 2020[32],[33] En cours
(au 25 mars 2022)
Philippe Petit   Agriculteur

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Longvillois[34].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 254 habitants[Note 6], en augmentation de 0,4 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
499480514575531519512521516
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
473453416431416412405357391
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
352371349363322310306337315
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
294297263243244250229228250
2015 2020 2021 - - - - - -
253256254------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 116 hommes pour 134 femmes, soit un taux de 53,60 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
5,0 
75-89 ans
5,8 
21,8 
60-74 ans
19,7 
16,8 
45-59 ans
17,5 
21,8 
30-44 ans
16,1 
17,6 
15-29 ans
21,2 
16,8 
0-14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Site classé[modifier | modifier le code]

Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[40].

Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : les ruines du château de Longvillers, qui date du XIe siècle[41],[42]. Il est édifié au XIe siècle pour des raisons stratégiques, afin de protéger Boulogne. Un petit panneau destiné au public situé à proximité de l'édifice et de la mairie résume son histoire :

« CHATEAU DE LONGVILLIERS

Sa construction a été entreprise vers 1049 par le comte de Boulogne. Il est situé au Sud d'une ligne Nord Sud constituée par quatre forteresses destinées à protéger Boulogne d'éventuelles incursions. Il n'a réellement assuré un rôle militaire qu'en 1589, lors des guerres de la ligue.

A l'origine il se composait (selon les historiens) de 4 ou 5 tours flanquantes, qui encastraient une enceinte rectangulaire. Le pont-levis protégé par deux tours, était situé à l'Est, en face flanquant l'enceinte Ouest, se trouvait une tour plus imposante. Ne subsistent de la première construction que la tour Sud-Ouest, la tour d'Est qui laisse voir quatre étages ainsi que les fondations d'une petite tour du Nord.

Vers 1750, le Seigneur des lieux Gabriel Amboise de Bernes décida d'aménager le château dans le style du XVIIIème siècle.

Pour ce faire, il garda l'une des deux tours de l'Est et démolie l'autre afin d'en utiliser les pierres.

En 1789, les travaux étaient inachevés et le restèrent longtemps.

En 1900, alors que la toiture et la charpente venaient d'êtres refaites un incendie ravagea les bâtiments, depuis l'état de délabrement s'amplifie. »

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

La commune compte deux monuments historiques :

  • L'église Saint-Nicolas fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [43]. Elle a été construite aux XVe et XVIe siècles. Elle appartient à la commune. Elle contient une statue en bois de Saint Nicolas[44] ainsi qu'une statue de saint Fiacre[45] portant une bêche et non une pelle de boulanger ce qui explique la confusion faite à l'origine avec saint Honoré. L'église dont l'accès est interdit au public, abrite de nombreuses oeuvres (statues, tableaux, mobiliers et objets de culte) classées au patrimoine mobilier du Ministère de la Culture[46]. Les prises de vue ci-dessous ont été rendues possibles le lors des journées européennes du patrimoine.
  • La ferme de la Longueroye, qui fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le  : grange (cad. B 57), propriété privée. Elle date des XIIe et XIIIe siècles[48].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le monument aux morts[51].
  • La ferme des Chartroux, du XIVe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Roger d'Aumont (1610-1653), évêque d'Avranches, abbé de Longvilliers.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Longvilliers (Pas-de-Calais) Blason
D'argent à une doloire de gueules surmontée d'un lambel du même[52].
Détails
Armes de la famille de Bernes de Longvilliers, brisées d'un lambel, sans doute de cadet de la famille, telles qu'on les retrouve sur un vitrail de l'église locale.

Adopté par la municipalité.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Longvilliers » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Longvilliers - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Longvilliers - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Pas-de-Calais » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Dordogne (E5410750) » (consulté le )
  2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Longvilliers et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « ZNIEFF 310030063 - Bois de Longvilliers », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 230.
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a b et c « Commune de Longvilliers (62527) », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2022), sur insee.fr (consulté le ).
  22. M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 404, lire en ligne.
  23. Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
  24. Louis-Joseph Harbaville - Mémorial historique et archéologique du Département du Pas-de-Calais, Volume 2, page 114 - 1842 -Édité chez Topino Rue Saint-Aubert à Arras - archive de la New York public library -numérisé par Google Books
  25. Malbrancq - Cartulaire Moreau- Henry - Mémoires de la Société de la Morinie
  26. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  27. La Picardie historique et monumentale, vol. 7, Société des antiquaires de Picardie. Fondation Edmond Soyez. Impr. Yvert et Tellier, , p. 296.
  28. « Ils ont acheté ce presbytère il y a plus de 40ans, l’ont retapé… mais doivent désormais s’en séparer », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Élise Chiari, « Le bilan du maire de Longvilliers, Yves Martel : « Ce troisième mandat a été compliqué à cause de la météo » : Pour son troisième mandat, Yves Martel a dû faire face à des imprévus. À 64 ans, l’agriculteur à la retraite ne se représentera pas. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Longvilliers : Sascha Maignan reprend l’écharpe tricolore d’Yves Martel : Vendredi dernier, le conseil municipal nouvellement élu s’est réuni en mairie de Longvilliers. Yves Martel, maire sortant après 19 ans de mandat, a remis l’écharpe à Sascha Maignan, qui a été élu maire à l’unanimité du conseil. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Sascha Maignan, maire de Longvilliers : « ce n’est pas un plan de carrière ni une sinécure » : Sascha Maignan termine son premier mandat. Six années marquées par un rebondissement en 2016, quand il avait démissionné de son propre chef à cause de tensions au sein de son conseil », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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