Écourt-Saint-Quentin

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Écourt-Saint-Quentin
Écourt-Saint-Quentin
Une entrée de la commune.
Blason de Écourt-Saint-Quentin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CA Osartis Marquion
Maire
Mandat
Stéphane Tonelle
2020-2026
Code postal 62860
Code commune 62284
Démographie
Gentilé Écourtois
Population
municipale
1 691 hab. (2021 en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015)
Densité 178 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 04″ nord, 3° 04′ 19″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 73 m
Superficie 9,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
Liens
Site web http://www.ecourt-saint-quentin.fr

Écourt-Saint-Quentin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Écourtois.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, limitrophe du département du Nord, se situe à 24 km à l'est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Douai.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes, dont trois dans le département du Nord :

Communes limitrophes d’Écourt-Saint-Quentin
Lécluse
(Nord)
Hamel
(Nord),
Arleux
(Nord)
Palluel
Récourt Écourt-Saint-Quentin Oisy-le-Verger
Saudemont Rumaucourt

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,49 km2 ; son altitude varie de 35 à 73 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par six cours d'eau :

  • la rivière la Sensée, d'une longueur de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[3] ;
  • l'Agache, d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune d'Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune de Palluel[4] ;
  • la rivière de la Sensée, d'une longueur de 9,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Étaing et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Arleux[5] ;
  • l'Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin, d'une longueur de 6,33 km, qui prend sa source dans la commune de Saudemont et se jette dans l'Agache au niveau de la commune[6] ;
  • le canal Malderrez, d'une longueur de 2,65 km, qui prend sa source dans la commune d'Arleux et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[7] ;
  • l'Auberge Rouge, d'une longueur de 0,42 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Écourt-Saint-Quentin est une halte verte au cœur de la vallée de la Sensée.

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le marais de Rumaucourt, d’une superficie de 61,544 ha, terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 ha constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles[17].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 km depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Écourt-Saint-Quentin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,5 %), eaux continentales[Note 5] (10,9 %), zones urbanisées (9 %), zones humides intérieures (5,8 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 19 et D 13 et est située à 10 km, au nord, de la sortie no 8 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[25].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 10 km, à l'ouest, de la gare d'Aubigny-au-Bac , située sur la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, desservie par des trains TER Hauts-de-France[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ahilcurt en 1081 ; Haicort en 1115 ; Hicort en 1186 ; Hailcort en 1125 ; Hailcurth en 1145 ; Hailcurt en 1152 ; Ailcurt en 1167 ; Aicort en 1171 ; Ailcort en 1178 ; Aicurt en 1186 ; Aycourt en 1276 ; Escourt au XIIIe siècle ; Écou-Saint-Quentin en 1559 ; Escou-Saint-Quentin en 1720 ; Aycourt-Saint-Quentin au XVIIIe siècle ; Écourt-le-Long en 1793[27], Ecourt Saint Quentin en 1793 ; Ecourt-Saint-Quentin et Écourt-Saint-Quentin depuis 1801[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Écourt-Saint-Quentin était membre de la communauté de communes de Marquion, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [28], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marquion[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bapaume

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1936 Léon Décaudin LDIV  
Les données manquantes sont à compléter.
1944   Léon Décaudin LDIV  
    Roger Denimal LDIV  
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1989 Marc Buissart LDIV Pharmacien
1989 1995 Marie Mathon[Note 6] LDIV Institutrice et directrice de l'école maternelle jusqu'en 2000[29]
1995 2014 Edmond Gazel LDIV  
2014 En cours
(au 7 juillet 2021)
Stéphane Tonelle LDIV Policier[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026[32]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[33], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école communale.

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre une école maternelle et une école élémentaire[34].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Écourtois[36].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 1 691 habitants[Note 7], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5742 0002 0452 0672 0331 8151 8241 8031 804
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8021 8941 9761 9952 0271 9901 8901 9341 859
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8031 8251 7861 3621 3651 3831 4431 4091 422
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 4851 5271 5101 6571 7711 7311 7531 7341 749
2014 2019 2021 - - - - - -
1 6831 6851 691------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 811 hommes pour 868 femmes, soit un taux de 51,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
6,5 
75-89 ans
10,6 
19,0 
60-74 ans
20,8 
22,6 
45-59 ans
19,2 
18,1 
30-44 ans
18,4 
16,2 
15-29 ans
13,4 
17,1 
0-14 ans
16,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Écourt-Saint-Quentin Blason
Parti: au 1er de gueules au buste de saint Quentin d'argent, les épaules percées par deux clous du même, au 2e d'or au rais d'escarboucle de sable percée de gueules[44].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le premier du parti est au buste du saint patron, Quentin, et le second du parti est aux armes de l'abbaye de Marchiennes.

Adopté par la municipalité en 1981.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[45] :

  • G. Bacot, Écourt-Saint-Quentin dans la vallée de la Sensée, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2004.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. L'école primaire de la commune portera le nom de cette maire à partir du 1er juillet 2021
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Agache (E1560840) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière de la Sensée (E1560610) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin (E1560900) » (consulté le )
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal Malderrez (E1560820) » (consulté le )
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'Auberge Rouge (E1561150) » (consulté le )
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Écourt-Saint-Quentin et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  16. « Espace protégé FR4506008 - marais de Rumaucourt », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310007251 - marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  25. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  26. « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  27. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  28. « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
  29. C.L.C., « Écourt-Saint-Quentin : l’école maternelle porte le nom de Marie Mathon : Ouverte en 1977, l’école maternelle de la commune n’avait curieusement jamais été baptisée. Un oubli réparé. Jeudi, elle a reçu le nom de celle qui en fut la première directrice jusqu’en 2000, Marie Mathon, « reconnaissante » de cet honneur. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Écourt-Saint-Quentin : Stéphane Tonelle, nouveau maire, veut « redynamiser le village » : Edmond Gazel, maire sortant qui ne se représentait pas après trois mandats, a rapidement laissé la place au nouveau conseil. Stéphane Tonelle est le nouveau maire de ce village de près de 1 800 habitants », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Julien Lechevestrier, « Écourt-Saint-Quentin (les projets des maires): « le dossier de la vitesse en ville et bientôt une première aire de jeux » : Stéphane Tonelle est maire d’Écourt-Saint-Quentin depuis mars. Cet Écourtois de toujours, policier à Arras dans la vie professionnelle, veut redynamiser son village et renforcer la cohésion sociale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Thomas Bourgois, « À Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle prend goût à la fonction de maire : Élu d’une courte tête en 2014, le maire d’Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle, briguera un deuxième mandat en mars. Il se dit satisfait de la première expérience de son équipe », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. C. L. C, « Avec Haucourt et Écourt-Saint-Quentin, les villages patrimoine d’Osartis-Marquion passent à cinq », sur La Voix du Nord, (consulté le )
  34. « Annuaire des établissements de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  35. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  36. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écourt-Saint-Quentin (62284) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  42. « sculpture », notice no PM62000594, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
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