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Mont-Saint-Éloi

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Mont-Saint-Éloi
Mont-Saint-Éloi
Blason de Mont-Saint-Éloi
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Jean-Pierre Bavière
2020-2026
Code postal 62144
Code commune 62589
Démographie
Gentilé Mont-Saint-Élogiens
Population
municipale
1 019 hab. (2021 en évolution de −0,97 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 07″ nord, 2° 41′ 38″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 145 m
Superficie 15,85 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arras-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Mont-Saint-Éloi
Géolocalisation sur la carte : France
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Mont-Saint-Éloi
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Mont-Saint-Éloi
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Mont-Saint-Éloi
Liens
Site web www.mont-saint-eloi.com

Mont-Saint-Éloi est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Mont-Saint-Élogiens. La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et traversée par la rivière Scarpe, Mont-Saint-Éloi est une commune rurale de l'Artois située à 9 km au nord-ouest d'Arras, à 16 km au sud-est d'Houdain et à 67 km au nord-est d'Amiens.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Un quadripoint est formé entre la commune de Mont-Saint-Éloi au nord, Marœuil à l'est, Étrun au sud et Haute-Avesnes à l'ouest.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Communes limitrophes de Mont-Saint-Éloi
Villers-au-Bois Carency
Acq Mont-Saint-Éloi Neuville-Saint-Vaast
Haute-Avesnes                               Marœuil
(quadripoint)                                                            
,
Étrun                                                            

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 15,85 km2 ; son altitude varie de 67 à 145 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la rivière Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Mont-Saint-Éloi[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés et gérés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie de deux espaces protégés :

  • la mare de la prairie des Halleux d’une superficie de 19,727 ha. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[11] ;
  • le bois de la Loterie d’une superficie de 19,727 ha. Terrain acquis (ou assimilé) et géré par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le coteau boisé de Camblain-l'Abbé et de Mont-Saint-Éloi. Cette ZNIEFF est composée de bois plus ou moins pentus. Dans le bois d’Écoivres, une couche géologique du Landénien continental affleure au sommet, avec un sol constitué de sables fins et de blocs de grès, grès qui a été exploité dans le bois d’Écoivres[13] ;
  • la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 ha et d'une altitude variant de 60 à 115 m, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[14].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[15].

Au , Mont-Saint-Éloi est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[17]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), forêts (13,2 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (4,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Trois hameaux composent la commune : Mont-Saint-Éloi, Écoivres (à ne pas confondre avec le village du même nom), Bray[21].

Voies de communication et transports

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La commune de Mont-Saint-Éloi est desservie par la route départementale D 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne.

La ligne d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise traverse la commune. Une halte ferroviaire, située dans le hameau d'Écoivres, a, jusqu'à sa fermeture, permis de desservir la commune.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Mons Sancti Eligii en 1097 ; Mont-Saint-Éloy en 1366 ; Mons Saint-Éloy au XIVe siècle[22] ; Saint Eloy en 1793 ; Mont-Saint-Eloy puis Mont-Saint-Éloi depuis 1801[1].

Le toponyme est issu du latin mons, montis (« mont ») et l'hagiotoponyme Saint-Éloi fait allusion à Éloi de Noyon.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-la-Liberté en 1793 (loi de brum. an II)[1].

Sint-Elooisberg en flamand[23].

Avant la Révolution française

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Mont-Saint-Éloi a donné son nom à une famille de nobles, probablement originaires de la commune, qui peuvent être retrouvés au fil du temps avant la Révolution française.

Le village était le siège d'une seigneurie.

Famille de Mont-Saint-Éloi

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Le 9 février 1584, est prononcée une exemption du droit de nouvel acquêt pour noble homme Antoine de Gennevières, seigneur de Waudricourt (Vaudricourt) et de Courchelette, fils de Charles, seigneur desdits lieux, écuyer, et de Antoinette du Mont-Saint-Éloi. Le dit Charles était fils d'Antoine, écuyer, seigneur desdits lieux, lui-même fils de Nicolas et de Marguerite Laurie, demoiselle dudit lieu et de Courchelette, fille de Robert Laurie, écuyer, et de Jeanne de Gonnère[24].

Le 4 juillet 1588, est rendue une sentence de noblesse et d'exemption du droit de nouvel acquêt pour Jean du Mont-Saint-Eloy, écuyer, seigneur du Metz-Galant, lieutenant général de la gouvernance d'Arras, et pour ses deux frères Pierre du Mont-Saint-Eloy, seigneur de Vendin-Guérard (Vendin-le Vieil? Vendin-lès-Béthune?), et Philippe du Mont-Saint-Eloy. Elle ordonne en outre l'enregistrement des deux sentences suivantes pour lui servir au besoin à démontrer la noblesse de sa famille : 1°) une sentence d'exemption de droit de nouvel acquêt, comme noble et extrait de noble génération, donnée le 15 avril 1551, par les commissaires, députés à Paris par le roi de France, à son père Pierre du Mont-Saint-Eloy, écuyer, seigneur de Vendin, conseiller de l'empereur en son conseil d'Artois pour sa seigneurie de Holleville, située en France, prévôté de Péronne, 2°) une sentence d'exemption de droit de nouvel acquêt des commissaires du quartier de Lille, le 12 novembre 1587[25].

Une épidémie de suette ravage la paroisse entre le 12 août et le 2 octobre 1723[26].

Depuis la Révolution française

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En 1821, la commune absorbe celle voisine d'Écoivres[1], peuplée de 363 habitants au recensement.

Pendant la Première Guerre mondiale, des soldats français affectés sur le front de l'Artois ont séjourné sur la commune, par exemple en février 1915. La commune a subi par périodes des bombardements effectués par les Allemands[27].

Politique et administration

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La mairie.

Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[28].

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021[28].

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton d'Arras-1[28].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais[29].

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs de Mont-Saint-Éloi
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Alain de Saint-Léger    
mars 2008 En cours
(au 30 mars 2022)
Jean-Pierre Bavière   Huissier de justice retraité[30]
Réélu pour le mandat 2014-2020[31],[32],[21]
Réélu pour le mandat 2020-2026[33],[34]

La commune de Mont-Saint-Éloi est jumelée avec la ville de :

Équipements et services publics

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Espaces publics

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La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[35], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Mont-Saint-Élogiens[36].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 1 019 habitants[Note 4], en évolution de −0,97 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6255956236031 0009971 0681 0751 069
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1151 0941 1551 1931 2061 1301 2021 1691 157
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1871 1831 2191 0031 0951 0809981 1191 507
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0531 0421 0561 0239821 0181 0311 0081 012
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0251 0141 019------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 512 hommes pour 507 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,4 
5,9 
75-89 ans
5,9 
18,1 
60-74 ans
19,2 
24,2 
45-59 ans
21,2 
19,1 
30-44 ans
20,0 
14,1 
15-29 ans
12,1 
18,5 
0-14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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Patrimoine civil

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La commune dans les arts

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En 2014, quelques plans tournés dans la commune apparaissent, à partir de la 54e minunte, dans le film de Cédric Anger La prochaine fois je viserai le cœur avec Guillaume Canet et Ana Girardot.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Mont-Saint-Éloi Blason
D'azur au griffon d'or, armé et lampassé de sable chargé en abîme d'un écusson fascé de gueules et de vair[48].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Adopté par la municipalité le

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[49] :

  • A. De Cardevacque, L'abbaye du Mont-Saint-Éloi, 1068-1792, Arras, 1859. Archives départementales du Pas-de-Calais, BHC 747.
  • A. De Cardevacque, Écoivres et son prieuré (ancienne dépendance de l'abbaye de Mont-Saint-Éloi), Arras, Imprimerie de Rousseau-Leroy, 1861.
  • D. Carpentier, Laissez-nous conter les abbés du Mont-Saint-Éloi, Mont-Saint-Éloi, Communauté de communes Artois-Lys, 2002.
  • O. Parsis-Barube et E. Magnou-Nortier, L'abbaye du Mont-Saint-Éloi des origines au XIVe siècle, Poitiers, Imprimerie L'Union, 1977.
  • J.-M. Willot (dir.), Mont-Saint-Éloi. "L'abbaye du Mont-Saint-Éloi". Rapport final d'opération, Dainville, Centre départemental d'archéologie, 2010.

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Scarpe (E2010600) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Mont-Saint-Éloi et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  11. « espace protégé FR4505956 - Mare de la prairie des Halleux », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR1505561 - Bois de la Loterie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mont-Saint-Éloi ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : des attraits touristiques à faire fructifier : Jean-Pierre Bavière, réélu pour un deuxième mandat, ne manque pas de projets. Il entend que la commune « continue à investir » pour le bien-être des habitants et l’accueil des visiteurs attirés par le label « Village patrimoine » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  23. roepstem.net - vlaanderen
  24. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 8, lire en ligne.
  25. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 10-11, lire en ligne.
  26. Archives départementales du Pas-de-Calais, note du curé dans le registre paroissial de 1723, consultable en ligne.
  27. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur le site Mémoire des hommes (consulté le )
  28. a b et c « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
  29. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Jean-Pierre Bavière, huissier de justice à Carvin, remet les clés de son étude : Il continue à travailler comme il le fait depuis plus de 40 ans mais n'attend plus qu'une décision du ministère de la Justice pour passer la main à la fin du printemps. Auparavant, Jean-Pierre Bavière s'est assuré que son étude poursuivrait son activité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Benoît Fauconnier, « Le bilan des maires à Mont-Saint-Éloi : l’ADSL et la valorisation du village, les fiertés de Jean-Pierre Bavière : La présence de trois listes et d’une candidature isolée avaient marqué l’élection de 2008. Élu maire, Jean-Pierre Bavière a pris goût à la fonction, à tel point qu’il espère rempiler en 2014 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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  35. « Huit «Village patrimoine» en Pays d’Artois | La Gazette Nord-Pas de Calais », sur gazettenpdc.fr (consulté le ).
  36. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mont-Saint-Éloi (62589) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  42. « L'ancienne église abbatiale », notice no PA00108351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : le site des tours classé monument historique : La commission régionale du patrimoine et des sites a donné un avis favorable à l’extension du périmètre de protection des tours de l’abbaye du XVIIIe siècle. Le préfet de Région doit valider la démarche. Le « classement » a aussi été demandé au vu de « l’intérêt historique majeur » du site », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : l’ancienne abbaye se dévoile au fil des fouilles archéologiques : Acquis par le Département en 2008 pour être préservé et mis en valeur, le site des deux tours de l’abbatiale qui domine l’ouest arrageois livre de nouveaux secrets chaque été pendant une campagne de fouilles archéologiques. Le public pourra les découvrir lors des Journées du patrimoine, le week-end prochain », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : les vitraux de l'église d'Écoivres ont été restaurés avec un infini soin : Un concert ce dimanche permettra à la population de célébrer le renouveau de l'édifice religieux typique de l'Artois et d'admirer la rénovation des vitraux par des maîtres verriers qui commenteront leur minutieux ouvrage », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Menhir dit Les Pierres Jumelles », notice no PA00108352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. a et b « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  48. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  49. « La commune de Lievin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).