Mont-Saint-Éloi
Mont-Saint-Éloi | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Bavière 2020-2026 |
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Code postal | 62144 | ||||
Code commune | 62589 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mont-Saint-Élogiens | ||||
Population municipale |
1 019 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 07″ nord, 2° 41′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 145 m |
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Superficie | 15,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.mont-saint-eloi.com | ||||
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Mont-Saint-Éloi est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Mont-Saint-Élogiens. La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et traversée par la rivière Scarpe, Mont-Saint-Éloi est une commune rurale de l'Artois située à 9 km au nord-ouest d'Arras, à 16 km au sud-est d'Houdain et à 67 km au nord-est d'Amiens.
Un quadripoint est formé entre la commune de Mont-Saint-Éloi au nord, Marœuil à l'est, Étrun au sud et Haute-Avesnes à l'ouest.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 15,85 km2 ; son altitude varie de 67 à 145 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par la rivière Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés et gérés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].
Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie de deux espaces protégés :
- la mare de la prairie des Halleux d’une superficie de 19,727 ha. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[11] ;
- le bois de la Loterie d’une superficie de 19,727 ha. Terrain acquis (ou assimilé) et géré par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- le coteau boisé de Camblain-l'Abbé et de Mont-Saint-Éloi. Cette ZNIEFF est composée de bois plus ou moins pentus. Dans le bois d’Écoivres, une couche géologique du Landénien continental affleure au sommet, avec un sol constitué de sables fins et de blocs de grès, grès qui a été exploité dans le bois d’Écoivres[13] ;
- la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 ha et d'une altitude variant de 60 à 115 m, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[14].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Mont-Saint-Éloi est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[17]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), forêts (13,2 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (4,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Trois hameaux composent la commune : Mont-Saint-Éloi, Écoivres (à ne pas confondre avec le village du même nom), Bray[21].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune de Mont-Saint-Éloi est desservie par la route départementale D 341 dite chaussée Brunehaut reliant Arras à Thérouanne.
La ligne d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise traverse la commune. Une halte ferroviaire, située dans le hameau d'Écoivres, a, jusqu'à sa fermeture, permis de desservir la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Mons Sancti Eligii en 1097 ; Mont-Saint-Éloy en 1366 ; Mons Saint-Éloy au XIVe siècle[22] ; Saint Eloy en 1793 ; Mont-Saint-Eloy puis Mont-Saint-Éloi depuis 1801[1].
Le toponyme est issu du latin mons, montis (« mont ») et l'hagiotoponyme Saint-Éloi fait allusion à Éloi de Noyon.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-la-Liberté en 1793 (loi de brum. an II)[1].
Sint-Elooisberg en flamand[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]Avant la Révolution française
[modifier | modifier le code]Mont-Saint-Éloi a donné son nom à une famille de nobles, probablement originaires de la commune, qui peuvent être retrouvés au fil du temps avant la Révolution française.
Le village était le siège d'une seigneurie.
Famille de Mont-Saint-Éloi
[modifier | modifier le code]Le 9 février 1584, est prononcée une exemption du droit de nouvel acquêt pour noble homme Antoine de Gennevières, seigneur de Waudricourt (Vaudricourt) et de Courchelette, fils de Charles, seigneur desdits lieux, écuyer, et de Antoinette du Mont-Saint-Éloi. Le dit Charles était fils d'Antoine, écuyer, seigneur desdits lieux, lui-même fils de Nicolas et de Marguerite Laurie, demoiselle dudit lieu et de Courchelette, fille de Robert Laurie, écuyer, et de Jeanne de Gonnère[24].
Le 4 juillet 1588, est rendue une sentence de noblesse et d'exemption du droit de nouvel acquêt pour Jean du Mont-Saint-Eloy, écuyer, seigneur du Metz-Galant, lieutenant général de la gouvernance d'Arras, et pour ses deux frères Pierre du Mont-Saint-Eloy, seigneur de Vendin-Guérard (Vendin-le Vieil? Vendin-lès-Béthune?), et Philippe du Mont-Saint-Eloy. Elle ordonne en outre l'enregistrement des deux sentences suivantes pour lui servir au besoin à démontrer la noblesse de sa famille : 1°) une sentence d'exemption de droit de nouvel acquêt, comme noble et extrait de noble génération, donnée le 15 avril 1551, par les commissaires, députés à Paris par le roi de France, à son père Pierre du Mont-Saint-Eloy, écuyer, seigneur de Vendin, conseiller de l'empereur en son conseil d'Artois pour sa seigneurie de Holleville, située en France, prévôté de Péronne, 2°) une sentence d'exemption de droit de nouvel acquêt des commissaires du quartier de Lille, le 12 novembre 1587[25].
Une épidémie de suette ravage la paroisse entre le 12 août et le 2 octobre 1723[26].
Depuis la Révolution française
[modifier | modifier le code]En 1821, la commune absorbe celle voisine d'Écoivres[1], peuplée de 363 habitants au recensement.
Pendant la Première Guerre mondiale, des soldats français affectés sur le front de l'Artois ont séjourné sur la commune, par exemple en février 1915. La commune a subi par périodes des bombardements effectués par les Allemands[27].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[28].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021[28].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Arras-1[28].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais[29].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Mont-Saint-Éloi est jumelée avec la ville de :
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[35], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Mont-Saint-Élogiens[36].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2021, la commune comptait 1 019 habitants[Note 4], en évolution de −0,97 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 512 hommes pour 507 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- Les vestiges de l'abbaye du Mont-Saint-Éloi, détruite à la Révolution, puis démantelée à la fin du XVIIIe siècle et au XIXe siècle : ses ruines font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [42],[43] et font l'objet de recherches archéologiques[44].
- L'église Saint-Martin.
- L'église Saint-Joseph du hameau d'Écoivres, qui possède une flèche à crochets, comme certaines églises de communes voisines : Béthonsart, Savy-Berlette, Mingoval, Hermaville, Habarcq, Servins, Camblain-l'Abbé. Ses vitraux, datant de la fin du XIXe siècle, ont été rénovés en 2014[45].
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L'église Saint-Martin.
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La façade de l'abbaye du Mont-Saint-Éloi.
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Les ruines de l'abbaye du Mont-Saint-Éloi.
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L'église Saint-Joseph.
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L'église Saint-Joseph, détail de la flèche à crochets
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Le cimetière de Mont-Saint-Éloi, par Herbert Hughes-Stanton.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- Deux menhirs dits Pierres Jumelles sont situés au hameau d'Écoivres et font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par liste en 1889[46].
- Le monument aux morts[47].
- La stèle en hommage à François Faber, vainqueur du Tour de France 1909, mort pour la France dans la commune[47].
La commune dans les arts
[modifier | modifier le code]En 2014, quelques plans tournés dans la commune apparaissent, à partir de la 54e minunte, dans le film de Cédric Anger La prochaine fois je viserai le cœur avec Guillaume Canet et Ana Girardot.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Faber (1887-1915), coureur cycliste, mort dans la commune.
- Pierre Devise (1934-), coureur cycliste, né dans la commune.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur au griffon d'or, armé et lampassé de sable chargé en abîme d'un écusson fascé de gueules et de vair[48].
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Détails | Adopté par la municipalité le |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[49] :
- A. De Cardevacque, L'abbaye du Mont-Saint-Éloi, 1068-1792, Arras, 1859. Archives départementales du Pas-de-Calais, BHC 747.
- A. De Cardevacque, Écoivres et son prieuré (ancienne dépendance de l'abbaye de Mont-Saint-Éloi), Arras, Imprimerie de Rousseau-Leroy, 1861.
- D. Carpentier, Laissez-nous conter les abbés du Mont-Saint-Éloi, Mont-Saint-Éloi, Communauté de communes Artois-Lys, 2002.
- O. Parsis-Barube et E. Magnou-Nortier, L'abbaye du Mont-Saint-Éloi des origines au XIVe siècle, Poitiers, Imprimerie L'Union, 1977.
- J.-M. Willot (dir.), Mont-Saint-Éloi. "L'abbaye du Mont-Saint-Éloi". Rapport final d'opération, Dainville, Centre départemental d'archéologie, 2010.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 5], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 6]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Scarpe (E2010600) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mont-Saint-Éloi et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « espace protégé FR4505956 - Mare de la prairie des Halleux », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR1505561 - Bois de la Loterie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mont-Saint-Éloi ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : des attraits touristiques à faire fructifier : Jean-Pierre Bavière, réélu pour un deuxième mandat, ne manque pas de projets. Il entend que la commune « continue à investir » pour le bien-être des habitants et l’accueil des visiteurs attirés par le label « Village patrimoine » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- roepstem.net - vlaanderen
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 8, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 10-11, lire en ligne.
- Archives départementales du Pas-de-Calais, note du curé dans le registre paroissial de 1723, consultable en ligne.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur le site Mémoire des hommes (consulté le )
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Jean-Pierre Bavière, huissier de justice à Carvin, remet les clés de son étude : Il continue à travailler comme il le fait depuis plus de 40 ans mais n'attend plus qu'une décision du ministère de la Justice pour passer la main à la fin du printemps. Auparavant, Jean-Pierre Bavière s'est assuré que son étude poursuivrait son activité », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoît Fauconnier, « Le bilan des maires à Mont-Saint-Éloi : l’ADSL et la valorisation du village, les fiertés de Jean-Pierre Bavière : La présence de trois listes et d’une candidature isolée avaient marqué l’élection de 2008. Élu maire, Jean-Pierre Bavière a pris goût à la fonction, à tel point qu’il espère rempiler en 2014 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Huit «Village patrimoine» en Pays d’Artois | La Gazette Nord-Pas de Calais », sur gazettenpdc.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mont-Saint-Éloi (62589) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « L'ancienne église abbatiale », notice no PA00108351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : le site des tours classé monument historique : La commission régionale du patrimoine et des sites a donné un avis favorable à l’extension du périmètre de protection des tours de l’abbaye du XVIIIe siècle. Le préfet de Région doit valider la démarche. Le « classement » a aussi été demandé au vu de « l’intérêt historique majeur » du site », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : l’ancienne abbaye se dévoile au fil des fouilles archéologiques : Acquis par le Département en 2008 pour être préservé et mis en valeur, le site des deux tours de l’abbatiale qui domine l’ouest arrageois livre de nouveaux secrets chaque été pendant une campagne de fouilles archéologiques. Le public pourra les découvrir lors des Journées du patrimoine, le week-end prochain », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Boucher, « Mont-Saint-Éloi : les vitraux de l'église d'Écoivres ont été restaurés avec un infini soin : Un concert ce dimanche permettra à la population de célébrer le renouveau de l'édifice religieux typique de l'Artois et d'admirer la rénovation des vitraux par des maîtres verriers qui commenteront leur minutieux ouvrage », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Menhir dit Les Pierres Jumelles », notice no PA00108352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune de Lievin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).