Jonquières-Saint-Vincent

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Jonquières-Saint-Vincent
Jonquières-Saint-Vincent
Chapelle Saint-Laurent.
Blason de Jonquières-Saint-Vincent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Beaucaire-Terre d'Argence
Maire
Mandat
Jean-Marie Fournier
2020-2026
Code postal 30300
Code commune 30135
Démographie
Gentilé Jonquièrois
Population
municipale
3 851 hab. (2021 en augmentation de 4,45 % par rapport à 2015)
Densité 181 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 44″ nord, 4° 33′ 50″ est
Altitude Min. 13 m
Max. 81 m
Superficie 21,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Jonquières-Saint-Vincent
(ville isolée)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beaucaire
Législatives Première circonscription
Localisation
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Jonquières-Saint-Vincent
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Jonquières-Saint-Vincent
Liens
Site web jonquieres-st-vincent.com

Jonquières-Saint-Vincent est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Jonquiérois.

Géographie

Localisation

Les communes de Beaucaire, Redessan, Montfrin et Meynes sont limitrophes de la commune de Jonquières-Saint-Vincent.

Hydrographie et relief

Climat

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 687 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,6 j

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 16 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

Voies de communication et transports

Axes ferroviaires

Les voies et quais de la gare vus vers Nîmes.

Établie à 62 mètres d'altitude, la gare de Jonquières-Saint-Vincent est située sur la ligne de Tarascon à Sète-Ville, entre les gares voyageurs ouvertes de Beaucaire et de Manduel - Redessan. En raison de sa faible fréquentation, la desserte est suspendue et l'arrêt est fermé aux voyageurs depuis la fin de l'année 2011[réf. souhaitée]

Axes routiers

la route départementale 999 (RD999) sépare le village en 2: Jonquieres coté sud et Saint-Vincent côté nord. Cette route relie Beaucaire à Nîmes

Transports en commun

Le village possède 4 arrêts de bus LIO (rond point; cimetière; cave; zac la broue). Cette ligne est la 151 qui relie Nîmes à Avignon/ vallabregues/ Beaucaire/ Tarascon. Elle est assurée tous les jours à toutes les heures.

Urbanisme

Typologie

Jonquières-Saint-Vincent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jonquières-Saint-Vincent, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 779 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Jonquières-Saint-Vincent est l'une des 75 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie d'une des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (76,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

Logement

Projets d'aménagement

Toponymie

Provençal Jounquiero, du roman junquiera, du latin juncaria : lieu couvert de jonc[22].
Racine provençale jounc : jonc[22].

Sur les cartes de Cassini, on peut y voir le lac, asséché depuis au nord est du village.

Ses habitants s'appellent les Jonquièrois.

Histoire

Antiquité

En 121 avant Jésus-Christ, Caius Sextius conquiert la région, la Narbonnaise, qui passe sous le contrôle de Rome. La voie héracléenne qui avait vu passer Hannibal et ses 37 éléphants en -218 est reprise pour le tracé de la via Domitia qui relie Rome à sa prospère colonie ibérique. La portion de cette route se trouvant sur la commune se situe alors entre les étapes d'Ugernum et de Nemausus.[réf. souhaitée]

Moyen Âge

À la fin de l'Empire romain, le territoire de la commune est sous la dépendance d'Arles, ce qui permet d'affirmer que Jonquières-Saint-Vincent est en Provence. Wisigoths, Arabes puis Francs se disputent la région. Les dernières armées sarrasines sont écrasées au bord du Gardon dans la commune voisine de Montfrin par Charles Martel en 730. Quelque temps plus tard, la région passe sous le contrôle carolingien.

À l'est de la commune, au pied des collines qui séparent Jonquières-Saint-Vincent de Beaucaire, une dépression formait un petit lac entouré des roselières qui donnèrent son nom à la commune. Un village de pêcheurs se crée sur sa rive. Il s'appelle Saint-Laurent-de-Jonquières et vers l'an mille les habitants y bâtissent une chapelle. Le prieuré de Saint-Laurent-de-Jonquières appartenait à l'abbaye de Psalmodie : Sanctus-Laurentius de Junqueriis en 1412 dans le cartulaire de l'abbaye de Psalmodie[23].

Sur le coteau s'établit vers le XIIe siècle un village de vignerons : Saint-Vincent-de-Cannois. Plus tard sur une colline entre Saint-Laurent et Saint-Vincent un seigneur se construit un château autour duquel se regroupent les habitants de Saint-Laurent dont seule la chapelle du XIIe siècle subsiste[24].

Époque moderne

Révolution française et Empire

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Vincent-du-Gard[25],[23].

Époque contemporaine

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1963 2001 Louis Gibelin   Agriculteur
2001 2008 Daniel Legrand DVD  
2008 En cours Jean-Marie Fournier UMP-LR Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Conseil Municipal

Jumelages

Jonquières-Saint-Vincent est jumelée avec :

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 3 851 habitants[Note 5], en augmentation de 4,45 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7007177619431 2001 2801 3421 5011 514
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7121 8521 8881 8201 6781 6001 5161 5391 530
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5241 5151 5331 3571 3691 3751 3841 2251 235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 3111 4451 4991 8252 2602 7452 8962 9333 097
2014 2019 2021 - - - - - -
3 6493 8503 851------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Santé

Manifestations culturelles et festivités

Sports

Médias

Cultes

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Entreprises de l'agglomération

Agriculture

Artisanat et industrie

Activités de service

Culture locale et patrimoine

Édifices civils

  • Via Domitia Logo monument historique Classé MH (1987)[30] : C.R. 19 dit chemin des Romains, également sur les communes de Redessan et Beaucaire, dans le Gard, et Castelnau-le-Lez, dans l'Hérault.
  • Hôtel de ville, inauguré en 1903 par Gaston Doumergue. Son architecte n'est autre qu'Auguste Augière, qui s'illustra notamment, à Nîmes, dans la construction d'immeubles bourgeois influencés par le style végétal Art nouveau et édifia dans cette même ville la très originale tour de l'horloge du lycée Daudet.
  • Halle métallique des années 1930.

Édifices religieux

La chapelle Saint-Laurent.

Patrimoine culturel

Patrimoine naturel

Personnalités liées à la commune

  • Adrien Hardy, champion du monde et champion olympique d'aviron.
  • Paul-Thierry Pesqué, international de judo. Entraineur National de judo à l’INSEP, CN 6eme Dan.

https://linkedin.com/in/go-paul-thierry

  • Pierre de Demandolx[Qui ?], officier de la Légion d'honneur.
  • Alphonse Daudet, écrivain, a résidé sur la commune[32].
  • Le pape Pie VII a fait halte pour une pissette dans un des sept relais postes du village sur sa route pour aller consacrer à Paris le couronnement de Napoléon Ier.

Héraldique

Blason de Jonquières-Saint-Vincent Blason
D'argent à la botte de joncs de sinople, liée d'or, avec ces inscriptions en flancs L'EN TIENS à dextre et DEUX MILLE à senestre en lettres capitales de sable, accompagnée de trois ombres d'étoiles[23].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Jonquières-Saint-Vincent et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Jonquières-Saint-Vincent et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Jonquières-Saint-Vincent », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. a et b (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 164, t. 2
  23. a b et c Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 108 (Jonquières), 215 (Saint-Laurent) et 230 (Saint-Vincent)
  24. « Saint-Laurent, histoire », sur ville-jonquieres-stvincent.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Exposition des peintres de village », sur www.jonquieres-st-vincent.com (consulté le ).
  30. Notice no PA00103064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a et b Notice no PA00103063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Catherine Mille, « Jonquieres-Saint-Vincent, un livre qui évoque l'âme du village », Midi Libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).