Appeville

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Appeville
Appeville
Église d'Appeville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes de la Baie du Cotentin
Maire
Mandat
Michel Leblanc
2020-2026
Code postal 50500
Code commune 50016
Démographie
Gentilé Appevillais
Population
municipale
184 hab. (2020 en augmentation de 1,1 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 21″ nord, 1° 20′ 30″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 34 m
Superficie 13,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Carentan-les-Marais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Carentan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.appeville.com

Appeville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 184 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Appeville est un village situé dans le département de la Manche.

Plus proche de Carentan que de son chef-lieu de canton La Haye-du-Puits, Appeville est une commune de 1 320 hectares. Son territoire est constitué de hautes terres surplombant de vastes étendues de marais où se rejoignent la Douve et la Sèves, deux des nombreuses rivières qui drainent la Manche. Au rythme des pluies automnales et hivernales, les paysages se modifient, et si le plus souvent de vastes de prairies s’offrent à notre vue, elles se transforment en immenses étendues d’eau dès que les dépressions se multiplient.

Jusque dans les années soixante-dix, l’activité agricole a été la principale source de revenus des Appevillais. Puis l’évolution de l’agriculture a rendu plus difficile l’existence des petites exploitations, entraînant la disparition d’une population très représentée dans nos villages celle des ouvriers agricoles. Au fil des départs en retraite les fermes ont disparu et il reste maintenant peu d’agriculteurs en activité. La population s’est modifiée, le nombre de retraités s’est accru, de nouveaux habitants travaillant dans les entreprises voisines sont arrivés, et plusieurs citoyens de Grande Bretagne sont venus s'installer.

L'église d'Appeville au début du XXe siècle.

L’habitat est dispersé en petits hameaux. Le bourg regroupe la mairie et une dizaine de maisons, autour d’une des plus importantes églises rurales du département. Ce monument du XIIIe siècle, qualifié d' « expression quasi parfaite de l'art gothique rural en Cotentin », est classé au titre des monuments historiques.

Épargnée par les événements de juin 1944, la commune d’Appeville recèle sur son territoire de nombreuses constructions qui méritent le détour.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 753 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[9].

Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Appeville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carentan-les-Marais, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53,6 %), zones agricoles hétérogènes (39,5 %), terres arables (7 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Apamvillam en 1080, Apevilla au XIIe siècle[21]. Au Moyen Âge et la Renaissance, elle s'est également appelé Ippeville[22].

Toponyme médiéval en -ville (élément issu du gallo-roman VILLA « domaine rural »). Le premier élément est l'anthroponyme d'origine scandinave Api, d'où le sens global de « domaine rural d'Api ».

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1056, Richard Turstin Haldup, seigneur de la Haye-du-Puits cède tous ses biens d'Appeville à la fondation de l'abbaye de Lessay[23]. La baronnie d'Ozeville était l'un des huit fiefs relevant de l'abbaye de Lessay[24].

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[25].

Le seigneur d'Appeville à la fin du XVe siècle était Ferrand Le Marchand, seigneur de Sotteville et Appeville et fils de Jean Le Marchand, seigneur de Sotteville[26]. Artus de Saint-Simon — Courtomer — (c. 1539-1590), seigneur d'Appeville, bailli du Cotentin, ayant pris le parti des Huguenots, fut tué à la bataille d'Ivry, qui vit la victoire d'Henri IV sur les Ligueurs[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
..1793 1795 Jean Gruchy    
1796 1796 Bernard Mesnage    
1796 1799 Ortaire Gruchy    
1799 1800 Jean Perrotte    
1800 1801 Michel Auvray    
1801 1808 Léonard Saint-Julien    
1808 1809 Charles Auvray    
1809 1815 Charles Mesnage    
1816 1817 Joseph Jéhanne    
1817 1822 Jacques Auvray    
1822 1823 Joseph Lesage    
1824 1849 Charles Mesnage    
1850 1852 Joseph Lesage    
1852 1864 Bernard Mesnage    
1864 1866 Pierre Jean-Baptiste Perrotte    
1866 1872 Bernard Charles Mesnage    
1873 1876 Jacques Gruchy    
1876 1887 Michel Désiré Pagny    
1887 1900 Jean-Pierre Eude    
1900 1904 Bernard Perrotte    
1904 1908 Jacques Gruchy    
1908 1919 Célestin Roblot    
1919 1921 Auguste Laisné    
1921 1929 Hippolyte Charles    
1929 1940 Constant Lebas    
1940 1945 Jules Marion (père)   faisant fonction
1945 1947 Michel Delaune   faisant fonction
1947 1950 Jules Marion (père)    
1950 1976 Paul Marie    
1976 1990 Jules Marion (fils)    
1990 2008 Charles Auvray    
En cours Michel Leblanc[27] SE  
Une partie des données est issue d'une liste établie par Jean Pouëssel et Michel Leblanc[23].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2020, la commune comptait 184 habitants[Note 9], en augmentation de 1,1 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
682606681795648641657641647
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
663660610579577577557550506
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
468423411361338330344338343
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
347319273243202222212209185
2018 2020 - - - - - - -
179184-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[32].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Martyre de saint Blaise, en calcaire (en provenance de la chapelle d'Appeville).

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[34].
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Appeville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Appeville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1020 - (ISBN 2600001336).
  22. Collection Chérin. dossier 2662- Le Marchant. Bibliothèque Nationale.
  23. a b c d e f g h i et j Gautier 2014, p. 58.
  24. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 35.
  25. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
  26. http://www.habitant.org/leneuf/LeNeuf%20Translation%202.pdf - page 5.
  27. Réélection 2014 : « Michel Leblanc réélu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  32. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny
  33. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Appeville sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 123

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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