Saligos

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Saligos
Saligos
Vue du bourg de Saligos.
Blason de Saligos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
René Nadau
2020-2026
Code postal 65120
Code commune 65399
Démographie
Gentilé Saligosiens
Population
municipale
93 hab. (2021)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 53′ 37″ nord, 0° 01′ 10″ ouest
Altitude Min. 596 m
Max. 2 390 m
Superficie 7,07 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Luz-Saint-Sauveur
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saligos
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Saligos
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Saligos
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Saligos

Saligos [saliɡɔs] est depuis le , une commune nouvelle française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Elle est créée par la fusion des anciennes communes de Saligos et de Vizos[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de Bigorre située dans les Pyrénées, en Pays Toy.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de la commune de Saligos et des proches communes.
Communes limitrophes de Saligos[2]
Viscos Chèze
Sazos Saligos Viey
Sassis Esterre,
Esquièze-Sère

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sol est en présence de marbre scissile et d'ardoise argileuse[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Les fontaines.

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le gave de Pau, le ruisseau du Pont du Sac, un bras du Gave de Pau, le ruisseau de bernède, le ruisseau de Camparnas, le ruisseau de Hournède, le ruisseau de Sarradas, le ruisseau de Vizos et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[5],[6].

Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Loubouer, après avoir traversé 88 communes[7].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

  • Moyenne annuelle de température : 11 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 375 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barèges Ville », sur la commune de Barèges, mise en service en 1944[13] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 235,3 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 32 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Saligos est desservie par la route départementale D 12.

Vizos est desservie par la route départementale D 172.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saligos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luz-Saint-Sauveur, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[23] et 2 263 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].

Vue du bourg de Vizos.

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 119[28].
Parmi ces logements, 37,4 % sont des résidences principales, 62,6 % des résidences secondaires et 0 % des logements vacants.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saligos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le gave de Pau. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009, 2012, 2013 et 2021[32],[29].

Saligos est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[33]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saligos.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[34].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 79 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[36].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[29].

La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[38],[39].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saligos est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Saligos au nord de Luz-Saint-Sauveur.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[41] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Saligos[modifier | modifier le code]

Dénominations historiques :

Étymologie : probablement du latin salica (= saulaie) avec le suffixe aquitain ossum.
Nom occitan : Saligòs.

Vizos[modifier | modifier le code]

Dénominations historiques :

Nom occitan : Visòs.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , Raymond Garcie VII dit Maziéres, seigneur de Castelloubon, échange avec Esquivat ou Assisvat de Chabannes ; comte de Bigorre ; la vallée de Baretge et ses dix-sept villages avec toutes ses appartenances[42]. Les contreparties de cet échange sont les terres de Préhac, Bages, Vier, Andrest et Troignan ainsi qu'une rente de vingt-trois sous morlans. Les dix-sept villages de la vallée de Barèges était alors regroupés en quatre vics, le vic du plan, le vic débat, le vic darrélaïgue et le vic de Labadsus. Saligos faisait partie du Vic du débat.

  • En 1598, une avalanche détruit la moitié des habitations,
  • En 1770, Jean-Joseph Expilly présente Saligos comme faisant partie du comté de Bigorre, diocèse et recette de Tarbes, parlement de Toulouse, intendance d'Auch, dans la vallée de Lavedan et avec 33 feux[43].

Biodiversité[modifier | modifier le code]

En 1818, le baron Philippe Picot de Lapeyrouse cite la présence de Scapo subnodo ramoso[44].

Cadastre napoléonien de Saligos[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Saligos est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[45].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en 2016.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1995 mars 2008 Jean-Jacques Poulou    
mars 2008 en cours René Nadau    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Vallée de Barèges, canton de Luz (depuis 1790)[46].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saligos appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la commune déléguée[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49],[Note 5].

En 2014, la commune comptait 84 habitants, en diminution de −2,33 % par rapport à 2009 (Hautes-Pyrénées : −0,31 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
229192251188293297294287273
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
245232250238229220222198200
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
247223231166168147142123121
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014
1099991828480859384
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Évolution démographique de la commune nouvelle[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 93 habitants[Note 6], en diminution de 18,42 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2016 2021
11411093
(Sources : Insee à partir de 2015[52].)

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[53].

Économie[modifier | modifier le code]

La centrale hydroélectrique du Pont de la Reine

.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Passerelle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Le lavoir de Vizos en 2016.

Saligos

Blason Blasonnement :
De sinople aux deux burèles ondées d'argent surmontées chacune d'une truite contournée du même, au chef d'or chargé d'une couronne comtale d'argent[54].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

Vizos

Blason Blasonnement :
D'azur à la barre d'argent ; au chef d'or chargé de trois branches de prunelier en bande, fruitées chacune de quatre pièces, le tout au naturel[55].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts municipal.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Arrêté préfectoral du 14 septembre 2016 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Pierre Bernard Palassou - Essai sur la minéralogie des Monts-Pyrénées - édité Chez Didot jeune, Libraire, 1784 - Lire en ligne.
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Saligos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. « Carte hydrographique de Saligos » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  7. Sandre, « le Gave de Pau »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  13. « Station Météo-France Barèges Ville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Saligos et Barèges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Barèges Ville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Saligos et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Saligos
  29. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saligos », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  33. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  37. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saligos », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Préparer son kit d’urgence. », sur gouvernement.fr (consulté le ).
  39. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque avalanche.
  40. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  41. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  42. M. Marie Armand Pascal d'Avezac - Essais historiques sur le Bigorre: accompagnés de remarques critiques, de pièces justificatives, de notices chronologiques et généalogiques, Volume 2 - Editeur J.M. Dossun, 1823 - Lire en ligne.
  43. Jean-Joseph Expilly - Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Volume 6 - édité chez Desaint et Saillant, 1770 - Lire en ligne.
  44. Philippe-Isidore Picot de Lapeyrouse (baron) - Histoire abrégée des plantes des Pyrénées, et itinéraire des botanistes dans ces montagnes, Volume 2 - De l'Impr. de Bellegarrigue, éditeur, 1818 - Lire en ligne.
  45. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Saligos en 1835
  46. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  47. « Liste des juridictions compétentes pour Saligos », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
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  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  54. Passion Bigorre
  55. Passion Bigorre