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Aste-Béon

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Aste-Béon
Aste-Béon
Le village d'Aste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Michaël Dessein
2020-2026
Code postal 64260
Code commune 64069
Démographie
Gentilé Astois/Béonnais
Population
municipale
228 hab. (2021 en évolution de −5,79 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 01′ 24″ nord, 0° 24′ 42″ ouest
Altitude Min. 438 m
Max. 1 800 m
Superficie 19,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aste-Béon
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Aste-Béon
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Aste-Béon

Aste-Béon (en béarnais Aste-Bion ou Aste-Bioû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est composée de la réunion de deux villages distants de deux kilomètres : Aste et Béon.

Géographie

Localisation

Carte

La commune d'Aste-Béon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Gère-Bélesten (1,1 km), Louvie-Soubiron (2,6 km), Béost (3,3 km), Bielle (3,9 km), Laruns (4,1 km), Bilhères (4,9 km), Castet (5,2 km), Eaux-Bonnes (5,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Aste-Béon fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Aste-Béon[6]
Bielle Castet
Gère-Bélesten Aste-Béon
Laruns Louvie-Soubiron

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Aste-Béon.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lamay, un bras du gave d'Ossau, un bras du gave d'Ossau, L'Arrigast, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[7],[8].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 218 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laruns-Artouste », sur la commune de Laruns, mise en service en 1943[15] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 8,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 635,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 42 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels

La réserve naturelle de nidification des vautours fauves, créée par arrêté ministériel du 11 décembre 1974, se situe sur le territoire des communes d'Aste-Béon, Bielle, Bilhères et Castet. Le musée qui lui est associé, dénommé la Falaise aux Vautours[22], se trouve à l'entrée du village d'Aste-Béon.

Le Pène de Béon culmine à 1 251 mètres[6].

La commune est traversée du nord au sud par le GR de Pays du tour de la vallée d'Ossau[6],[23].

Urbanisme

Typologie

Aste-Béon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,2 %), forêts (37,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,9 %), prairies (7,8 %), zones urbanisées (1,3 %)[29].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits et hameaux

Voies de communication et transports

La commune est desservie par la route départementale 240.

Toponymie

Le toponyme Aste est mentionné en 1385[31] (censier de Béarn[32]) et apparaît sous la forme Asta (1487[30], notaires d'Ossau[33]). Son origine est basque, de aitz/as, « pointe rocheuse »[31].

Le toponyme Béon apparaît sous les formes Beoo (1328[31], traité d’Ossau-Val de Tena, 1374[30], contrats de Luntz[34] et 1385[31], censier de Béarn[32]), Beo de la Bag d'Ossau (1427[30], contrats de Carresse[35]), Sent Felix de Béon (1654[30], insinuations du diocèse d'Oloron[36]) et Béon sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[31]. Il vient peut-être d'une racine oronymique pré-indo-européenne *ben[31].

Son nom béarnais est Aste-Bion[37] ou Aste-Bioû[38].

Le Port de Béon désigne un hameau, déjà mentionné en 1756 par le dénombrement d'Aste[39] sous la graphie le parsan du Port.

Histoire

En 1385, Aste comptait 18 feux et dépendait du bailliage d'Ossau[30].

À cette même date, Béon comptait également 18 feux et relevait du même bailliage. Le fief de Béon dépendait de la vicomté de Béarn.

Les forges de Béon

Durant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, Jean-Joseph d'Augerot, greffier en chef du Parlement de Navarre, envisage d'exploiter le gisement de fer (magnétite[40]) situé sur les hauteurs d'Aste. Il en envoie un échantillon en Espagne pour tester les qualités du minerai, l'essai s'avère fructueux. Il demande et obtient une concession d'exploitation de la mine d'Aste ainsi que le droit de bâtir une forge (arrêt du conseil du 6 décembre 1768[41]). Sa construction se déroule de 1769 à 1770[41], il s'agit d'une forge de type catalan, elle se situe sur la route de Castet, en aval de Béon[42], son emplacement est visible sur le cadastre napoléonien[43]. Un canal alimentant la forge depuis les eaux du gave est construit en 1775[44]. Le travail de la forge est assuré par des ouvriers venus d'Espagne, la production est de 900 quintaux (selon Hubert Bourgin[41]) voire de 2 200 quintaux (selon le Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées[45]) mais le minerai d'Aste est malheureusement inadapté, la qualité du fer produit est cassant et la mine est abandonnée au profit de mines plus lointaines[46] (mines de Pons à Laruns[47], de Rebenacq, de Castet, de Louvie-Juzon[48]...) . La forge consommait une importante quantité de bois, ce qui décima une grande partie des forêts voisines[49]. La forge ne produisit jamais de bons produits, elle est rachetée à la fin du XVIIIe siècle par le marquis d'Angosse qui la ferme définitivement[50]. En 1894, la forge en ruine est encore visible[49].

Emigration

En 1894, Fernand Butel rédigea une intéressante étude sociologique sur la commune d'Aste-Béon[49], il indiquait que, de 1853 à 1894, 80 personnes (un sixième de la population) avaient quitté la commune pour émigrer vers l'Argentine. Ce phénomène s'expliquait, selon lui, par le mode de transmission des propriétés agricoles en vallée d'Ossau : l'ainé de la famille prenait seul la succession de son père sur l'exploitation familiale, les cadets (fille ou garçon) étant dédommagés par une compensation financière. Auparavant, les cadets allaient louer leur service en Espagne ou au Portugal, mais à partir de 1850, des agences spécialisées font miroiter les gains potentiels d'une émigration vers l'Amérique, les Pyrénées Atlantiques (alors Basses Pyrénées) perdirent alors 64 000 habitants.

Arrivés en Argentine, la plupart des immigrants venus d'Aste-Béon travaillent au sein d'élevages de moutons dont ils sont propriétaires ou salariés. Ils envoient fréquemment de l'argent à leur famille restée au village, pour rembourser le prix du voyage qu'on leur a avancé, pour contribuer à la dot d'une fille lors d'un mariage ou pour participer à la reconstruction de l'église du village (église Saint-Jean d'Aste)[49].

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Jean Vertut    
2001 2014 Augustin Médevielle UMP  
2014 En cours Jean-Michel Barrabourg    

Intercommunalité

La commune fait partie de trois structures intercommunales[51] :

La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.

Population et société

Démographie

Le nom des habitants est Astois et Béonnais[52].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

En 2021, la commune comptait 228 habitants[Note 7], en évolution de −5,79 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
473244483323520610564597605
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
604588606465475471482443414
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
400410371356331344324271275
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
267235196211159231246252282
2014 2019 2021 - - - - - -
244231228------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

L'économie de la commune est historiquement orientée vers l'agriculture et l'élevage. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. Le musée attire les visiteurs et le tourisme vert se développe.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Le château de Béon remonte au XIVe siècle[57]. Il fut remanié au XVIIe siècle avant d'être laissé à l'abandon jusqu'aux années 1980. Durant toute son histoire, il demeura la possession de la maison de Béon, jusqu'à sa lente extinction au XIXe siècle. Inscrit au monuments historiques depuis mars 2005, il est aujourd'hui complètement restauré.

Patrimoine religieux

L'église Saint-Jean-Baptiste d'Aste[58], à Aste, tient ses origines de la fin du XIXe siècle et est référencée à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Elle recèle un calice[59], classé à titre d'objet. L'église Saints-Félix-et-Audacte de Béon date, quant à elle, des XIIe et XIVe siècles.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. « Métadonnées de la commune d'Aste-Béon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Aste-Béon et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Aste-Béon et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Aste-Béon », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x et y Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Aste-Béon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. « Carte hydrographique d'Aste-Béon » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Laruns-Artouste - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Aste-Béon et Laruns », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France Laruns-Artouste - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Aste-Béon et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  22. Site de La Falaise aux Vautours
  23. Le GRP sur le site de la communauté de communes
  24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  31. a b c d e et f Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), n° 152..
  32. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  33. Notaires d'Ossau, aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  34. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn, aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  35. Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn, manuscrits du XVe siècle, aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  36. Manuscrits du XVIIe siècle, aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  37. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
  38. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  39. Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. « Les magnétites d'Aste-Béon », sur http://mineraux3btarbes.canalblog.com, (consulté le ).
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  42. Voir à ce sujet l'article Forges de la vallée de l’Ouzom.
  43. Plan parcellaire de la commune d'Aste-Béon (1813)
  44. Docteur Barthé, « Contribution à la géologie de la vallée d'Ossau », Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Pau, 2e série, vol. 30,‎ , p. 226 (lire en ligne).
  45. Comte de Roquette-Buisson, « Les vallées Pyrénéennes », Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées,‎ , p. 274 (lire en ligne).
  46. Palassou, Pierre-Bernard, Essai sur la minéralogie des Monts-Pyrénées, Paris, Didot jeune, , 346 p. (lire en ligne), p. 101.
  47. Baron de Dietrich, Description des gîtes de minerai et des bouches à feu de la France, vol. I, Paris, Didot, , 597 p. (lire en ligne), p. 391-395.
  48. Cenac Moncaut, Les richesses des Pyrénées françaises et espagnoles, Paris, Guillaumin et Cie, , 256 p. (lire en ligne), p. 137-140.
  49. a b c et d Butel, Fernand, Une vallée pyrénéenne : la vallée d'Ossau, Pau, Société de publicité catholique de Basses Pyrénées, , 210 p. (lire en ligne), p. 65-66 ; 147-161.
  50. L. Lebondidier, « Les premières ascensions au Pic du Midi d'Ossau », Bulletin pyrénéen, no 227,‎ janvier-février-mars 1938, p. 21-22 (lire en ligne).
  51. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  52. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  57. « Le château de Béon », notice no PA64000053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « L'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA64000527, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Le calice de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no PM64000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.