Maspie-Lalonquère-Juillacq

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Maspie-Lalonquère-Juillacq
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Eliane Capdevielle
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64369
Démographie
Gentilé Maspiegeois-Lalonquèrois-Juillacquais
Population
municipale
241 hab. (2021 en diminution de 6,23 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 25′ 26″ nord, 0° 08′ 51″ ouest
Altitude Min. 179 m
Max. 336 m
Superficie 10,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Maspie-Lalonquère-Juillacq

Maspie-Lalonquère-Juillacq (en béarnais Maspièr-La Lonquèra-Julhac ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 30 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 27 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Samsons-Lion (2,6 km), Simacourbe (2,7 km), Gerderest (2,7 km), Anoye (3,2 km), Peyrelongue-Abos (3,5 km), Monassut-Audiracq (4,0 km), Abère (4,3 km), Lembeye (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Maspie-Lalonquère-Juillacq[6]
Simacourbe Lembeye
(par un quadripoint)
Maspie-Lalonquère-Juillacq Samsons-Lion
Gerderest Anoye

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Maspie-Lalonquère-Juillacq.

La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Labadie, le ruisseau du Hour et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 158 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 15 km à vol d'oiseau[12], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[18].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[20], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[21],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maspie-Lalonquère-Juillacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), prairies (22,8 %), forêts (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[29].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • l'Église ;
  • Juillacq : Coume, Houradat ;
  • Lalonquère : Haü, Junca, Moulin ;
  • Larribère ;
  • Maspie : Dibat, Frérou, Hounta, lacrout, Moura, Pape.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par les routes départementales 143, 207, 604 et 943.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 2007, 2009 et 2018[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Maspie-Lalonquère-Juillacq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 65,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Maspie apparaît sous la forme Mespie (1385[35], censier de Béarn[36]).

Le toponyme Lalonquère, village de Maspie, est mentionné en 1385[35] (censier de Béarn[36]) et apparaît sous les formes La Loncquera (1538[35], réformation de Béarn[37]), Lalonquere (1793[38] ou an II) et Lalonguerre (1801[38], Bulletin des Lois).

Le toponyme Juillacq, village de Maspie, apparaît sous les formes Jullac et Saint-Pierre de Julhac (respectivement XIIe siècle[35] et 1227[35], d'après Pierre de Marca[39]), Jullaq (1777[35], terrier de Gerderest[40]) et Juillac (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[35]).

Le nom béarnais de la commune est Maspièr-La Lonquèra-Julhac[41] ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac[42].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[35] note qu'en 1385 Maspie comptait seize feux, Lalonquère dix et Juillacq vingt-trois. Les trois paroisses dépendaient du bailliage de Lembeye. Lalonquère était un membre de la commanderie de l'ordre de Malte de Caubin et Morlaàs. Il y avait à Juillacq une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

Juillacq fut annexé à l'ensemble Maspie-Lalonquère en 1842[35], lui-même créé en 1833 par l'union de Maspie et Lalonquère.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1995 René Canton    
1995 2008 André Cazenave    
2008 2014 Serge Junca    
2014 En cours Éliane Capdevielle    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de trois structures intercommunales[43] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 8], en diminution de 6,23 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
243228330271374364639644574
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
573498490468492485438431410
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
370347331351340334345291274
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
263233205218233224248252280
2015 2020 2021 - - - - - -
257244241------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Toiture vénérable.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

À Maspie, les vestiges d'un ensemble fortifié[48] du XIIe siècle témoignent du passé ancien de la commune. Il en est de même à Lalonquère, où au haut Moyen Âge se dressait une fortification seigneuriale[49].

La maison, dite château[50], à Juillacq, date du XVIe siècle. On y trouve une girouette[51] du XVIIIe siècle inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[52] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. L'une des demeures du lieu-dit Coume à Juillacq possède une peinture monumentale[53] de la fin du XIXe siècle représentant Pau et ses environs.

Le moulin[54] de Lalonquère fut construit au XVIIe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin[55], à Maspie, date partiellement du XIIe siècle et celle de Juillacq, l'église Saint-Jean-Baptiste[56], du XVIe siècle. Cette dernière recèle du mobilier[57], des objets[58] et des statues[59], ainsi que des tableaux[60] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. L'église Saint-Martin est également riche en éléments remarquables inventoriés par le ministère de la Culture, tels que des verrières[61], des sculptures[62], des meubles[63], des peintures[64] et autres objets[65] à usage religieux.

L'église Saint-Germain[66], à Lalonquère, date quant à elle du XVIIIe siècle. On y trouve du mobilier[67], des tableaux[68], une statue[69] et des objets[70] également référencés par les monuments historiques.

Équipements[modifier | modifier le code]

Éducation

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Maspie-Lalonquère-Juillacq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Laas ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Maspie-Lalonquère-Juillacq et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « le « Coteau de Lembeye » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e f g h et i Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  36. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lalonquère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  39. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  40. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  42. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Maspie
  49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Lalonquère
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Juillacq
  51. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la girouette du château de Juillacq
  52. [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10] [11][12][13][14][15][16] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
  53. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la peinture monumentale du lieu-dit Coume
  54. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin de Lalonquère
  55. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
  56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
  57. [17][18][19][20][21][22][23][24][25][26] [27][28][29][30][31][32][33][34][35][36] [37][38][39][40][41][42][43][44][45][46] [47] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Jean-Baptiste
  58. [48][49][50][51] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Jean-Baptiste
  59. [52][53][54][55][56] Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'église Saint-Jean-Baptiste
  60. [57][58][59] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Jean-Baptiste
  61. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Martin
  62. [60][61][62][63] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les statues de l'église Saint-Martin
  63. [64][65][66][67][68][69][70][71][72][73][74][75] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin
  64. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Saint-Martin
  65. [76][77][78] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Martin
  66. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Germain
  67. [79][80][81][82][83][84][85] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Germain
  68. [86][87] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église Saint-Germain
  69. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de l'église Saint-Germain
  70. [88][89][90][91] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Germain

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :