Taron-Sadirac-Viellenave

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Taron-Sadirac-Viellenave
Taron-Sadirac-Viellenave
Le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Jean Guiraut
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64534
Démographie
Gentilé Taronnais, Sadiracquois
Population
municipale
177 hab. (2021 en diminution de 7,81 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 39″ nord, 0° 14′ 59″ ouest
Altitude Min. 135 m
Max. 251 m
Superficie 13,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Taron-Sadirac-Viellenave
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Taron-Sadirac-Viellenave
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Taron-Sadirac-Viellenave
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Taron-Sadirac-Viellenave

Taron-Sadirac-Viellenave (en béarnais Taron-Sadirac-Vièlanava ou Taroû-Sadirac-Bièlenabe) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Taron-Sadirac-Viellenave se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 22 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Ribarrouy (2,2 km), Mouhous (2,4 km), Burosse-Mendousse (3,1 km), Carrère (3,8 km), Claracq (3,9 km), Baliracq-Maumusson (4,0 km), Mascaraàs-Haron (4,0 km), Lannecaube (4,2 km).

Sur le plan historique et culturel, Taron-Sadirac-Viellenave fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Taron-Sadirac-Viellenave.

La commune est drainée par le Léès, la Laas, le Gabassot, le Baoulac, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léès prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Burosse-Mendousse et Mascaraàs-Haron, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[8]. Sa longueur totale est de 39 km.

Le Laas prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune dans sa partie centrale et se jette dans le Léès à la jonction du territoire communal et Baliracq-Maumusson et Mascaraàs-Haron, après avoir traversé 6 communes[9]. Il est d'une longueur totale de 13,8 km.

Le Gabassot prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léez à Castetbon, après avoir traversé 9 communes[10]. Il est d'une longueur totale de 17,4 km.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »0[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Taron-Sadirac-Viellenave est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[21],[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), prairies (23,6 %), forêts (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Sadirac : Bourdieu, Saint-Jouhan, Péhau ;
  • Taron : Bartouillet, Bourdalé, Crabité, Laffiteau, Motpezat ;
  • Viellenave : Comères, Lafargue, Toulet.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 211 et 628.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Taron-Sadirac-Viellenave est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Léès, le Laas et le Gabassot. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[29],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Taron-Sadirac-Viellenave.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 53,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[31].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Taron-Sadirac-Viellenave est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Taron apparaît sous les formes Tarusates (commentaires de César)[33], Taroo (1385[33], censier de Béarn[34]) et Taro (1538[33], réformation de Béarn[35]).

Le toponyme Sadirac est mentionné au XIe siècle[33] Pierre de Marca[36]), et apparaît sous les formes Sedirag (XIe siècle[33] (Pierre de Marca[36]), Sedirac (XIIIe siècle[33], fors de Béarn[37]), Sadiracum et Sediracum (respectivement 1286[33] et 1305[33], titres de Béarn[38]) et Siderac (1546[33], réformation de Béarn[35]).

Le toponyme Viellenave apparaît sous les formes Vielenave de Sediragues (1402[33], censier de Béarn[34]) et Vilanaba (1542[33], réformation de Béarn[35]).

Le nom béarnais de la commune est Taron-Sadirac-Vièlanava[39] ou Taroû-Sadirac-Bièlenabe[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[33] note qu'en 1385, Taron et Sadirac dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement quatorze et seize feux. Il indique également qu'autour de Taron, on peut retrouver la trace de quelques tumulus et qu'au centre du village et sous l'église se trouvent des mosaïques romaines.

La vicomté de Sadirac, vassale de celle de Béarn, comprenait les paroisses de Maumusson, Ribarrouy, Sadirac, Taron et Viellenave[33].

Entre 1790 et 1794, Taron absorbe Viellenave, qu'elle recède entre 1795 et 1800[41]. En 1822, la commune fusionne avec Sadirac et Viellenave pour former la nouvelle commune de Taron-Sadirac-Viellenave.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2008 Michel Benquet    
2008 En cours
(au 30 avril 2014)
Jean Guiraut    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Taron-Sadirac-Viellenave fait partie de six structures intercommunales[42] :

  • la communauté de communes du canton de Garlin ;
  • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
  • le SIVU du Lées et affluents ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;
  • le syndicat intercommunal des cinq rivières.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

En 2021, la commune comptait 177 habitants[Note 6], en diminution de 7,81 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360322721400667664646646617
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
658610617671588643606509503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
504528505507508452441344323
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
297243223226197197190192192
2021 - - - - - - - -
177--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Fête communale le 15 août.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

À Taron, un fossé témoigne de la présence d'une fortification[47] au haut Moyen Âge. À Sadirac-Péhau, un autre ensemble fortifié[48] est signalé, datant, semble-t-il, des XIIe, XIIIe et XIVe siècles.

La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[49] dont la construction s'étale du XVIe au XIXe siècles. Le presbytère[50] de Taron date, quant à lui, de 1735.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

On trouve à Taron une église (église de l'Assomption-de la-Bienheureuse-Vierge-Marie[51]) édifiée sur les restes d'une construction gallo-romaine, qui présente des vestiges datant des Xe et XIe siècles. Une mosaïque, datée du Ve siècle représentant un panier, un poisson et un arbre fruitier, a été trouvée lors de fouilles d'une villa antique[52], transformée au Moyen Âge en cimetière. L'église recèle du mobilier[53], des tableaux[54], des verrières[55], une stèle discoïdale[56], une dalle funéraire[57] datant de 1736 et des objets[58] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Taron-Sadirac-Viellenave » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Taron-Sadirac-Viellenave », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Taron-Sadirac-Viellenave et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Taron-Sadirac-Viellenave et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Taron-Sadirac-Viellenave », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Taron-Sadirac-Viellenave », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Lées ».
  9. Sandre, « le Laas ».
  10. Sandre, « le Gabassot ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Taron-Sadirac-Viellenave et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Taron-Sadirac-Viellenave », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Taron-Sadirac-Viellenave », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des espaces protégés sur la commune de Taron-Sadirac-Viellenave », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Taron-Sadirac-Viellenave », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  33. a b c d e f g h i j k l et m Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  34. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  35. a b et c Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  36. a et b D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  37. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Taron », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Taron
  48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié de Sadirac-Péhau
  49. [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10] [11][12][13][14][15][16] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le presbytère
  51. [17][18] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de L'Assomption-de la-Bienheureuse-Vierge-Marie
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison antique
  53. [19][20][21][22][23][24][25][26][27][28] [29][30] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église de Taron
  54. [31][32][33][34] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'église de Taron
  55. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église de Taron
  56. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la stèle discoïdale de l'église de Taron
  57. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la dalle funéraire de l'église de Taron
  58. [35][36][37][38][39][40][41][42][43][44] [45][46][47][48] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église de Taron

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :