Eslourenties-Daban

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Eslourenties-Daban
Eslourenties-Daban
La mairie.
Blason de Eslourenties-Daban
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Xavier Boudigue
2020-2026
Code postal 64420
Code commune 64211
Démographie
Gentilé Eslourentisiens
Population
municipale
372 hab. (2021 en augmentation de 28,28 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 01″ nord, 0° 08′ 29″ ouest
Altitude Min. 329 m
Max. 398 m
Superficie 5,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Eslourenties-Daban
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Eslourenties-Daban
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Eslourenties-Daban

Eslourenties-Daban [ɛsluʁɛ̃ti dabɑ̃] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Eslourenties-Daban se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 22,8 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 14,1 km de Morlaàs[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Arrien (1,6 km), Lourenties (1,9 km), Saubole (2,1 km), Lombia (3,4 km), Gardères (3,6 km), Espéchède (3,8 km), Limendous (4,1 km), Séron (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Eslourenties-Daban fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Eslourenties-Daban[6]
Arrien Lombia Saubole
Eslourenties-Daban
Lourenties Gardères
(Hautes-Pyrénées)

À l'est, Gardères est dans une enclave des Hautes-Pyrénées dans les Pyrénées-Atlantiques.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Eslourenties-Daban.

La commune est drainée par le Gabas, le Laas, le Lées, le Hourquet, L'Ombre, le ruisseau de la Canne, le ruisseau Pondets, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune d'Ossun et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Souprosse, après avoir traversé 43 communes[8].

Le Laas, d'une longueur totale de 13,8 km, prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léez à Baliracq-Maumusson, après avoir traversé 6 communes[9].

Le lac du Gabas, plan d'eau de 216 ha est destiné à l'irrigation et est un soutien d'étiage.

La commune dispose également d'un pôle environnement pour la pêche destiné à l'éducation à l'environnement, et d'une maison Pêche et Nature, munie d'une salle d'exposition spécialement équipée pour les handicapés. Le pôle handi-pêche promeut la pratique de la pêche de loisir pour tous les publics et est spécialement équipé pour l'accueil des handicapés et a reçu le label Tourisme Handicap.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 152 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ger à 9 km à vol d'oiseau[13], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 344,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Eslourenties-Daban est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (34,4 %), eaux continentales[Note 5] (4,3 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Bourdalat

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 42 et 77.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Eslourenties-Daban est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Gabas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2006, 2007, 2008 et 2009[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Eslourenties-Daban.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 27,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[30].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Eslourenties-Daban apparaît sous les formes Florenthies-Davant et Eslorenthies-Davant (respectivement 1385[33] et 1402[33], censier de Béarn[34]) et Eslorenties-Daban (1727[33], dénombrement de Sedzère[35]).

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[33] note qu'en 1385, Eslourenties-Daban comptait sept feux et dépendait du bailliage de Pau. Cette commune fut le chef-lieu de la notairie des Lannes et de Rivière-Ousse, puis au cours du XVIIIe siècle de la notairie des Lannes uniquement.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Coupé ondé abaissé : au 1er d'azur à la chaîne de montagnes d'or chargée d'un bouquet de trois fleurs de gueules, boutonnées d'or, pointées, tigées et feuillées de sinople, le tout mouvant de l'ondé, au 2e d'azur à l'écusson d'or chargé de deux vaches de gueules, accornées, onglées, colletées et clarinées d'azur, l'une au-dessus de l'autre[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires d'Eslourenties-Daban
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2014 Jean-Louis Guilloux PS  
2014 En cours Xavier Boudigue    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Eslourenties-Daban fait partie de quatre structures intercommunales[37] :

  • la communauté de communes du Pays de Morlaàs ;
  • le syndicat à vocation scolaire d'Eslourenties - Lourenties - Limendous ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées.

Eslourenties-Daban accueille le siège du syndicat à vocation scolaire d'Eslourenties - Lourenties - Limendous.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 372 habitants[Note 8], en augmentation de 28,28 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
210180299217227230250244256
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
271275239220270240244215195
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
200224211194188185172168156
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
149137146140185193216222278
2018 2021 - - - - - - -
353372-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Eslourenties-Daban fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Les vestiges d'un ensemble fortifié[42] du XIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.

Une croix de chemin[43] du XIXe siècle est référencée par le ministère de la Culture.

Eslourenties-Daban présente un ensemble de maisons et de fermes[44] du XIXe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin[45] date partiellement du XIXe siècle. Elle recèle du mobilier[46], une croix de procession[47], une statue[48] et des verrières[49] référencés à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Eslourenties-Daban » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Eslourenties-Daban », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Eslourenties-Daban et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Eslourenties-Daban et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Eslourenties-Daban », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale d'Eslourenties-Daban », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Gabas ».
  9. Sandre, « le Laas ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Eslourenties-Daban et Ger », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Ger » (commune de Ger) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Eslourenties-Daban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Eslourenties-Daban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Eslourenties-Daban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Eslourenties-Daban », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  34. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  35. Manuscrits du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. [1]
  37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
  43. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
  44. [2][3] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et les fermes anciennes
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
  46. [4][5] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin
  47. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la croix de procession de l'église Saint-Martin
  48. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de l'église Saint-Martin
  49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur les verrières de l'église Saint-Martin

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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