Laruns
Laruns | |||||
![]() Vue générale sur Laruns. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée d'Ossau | ||||
Maire Mandat |
Robert Casadebaig 2020-2026 |
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Code postal | 64440 | ||||
Code commune | 64320 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 190 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 4,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 59′ 00″ nord, 0° 25′ 00″ ouest | ||||
Altitude | Min. 458 m Max. 2 973 m |
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Superficie | 248,96 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Laruns [laʁœ̃s] (en béarnais Laruntz) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie[modifier | modifier le code]
Située à 40 kilomètres de Pau, 120 kilomètres de Bayonne et 240 kilomètres de Bordeaux et Toulouse, Laruns est la 7e commune de France métropolitaine par sa superficie[2]. Elle occupe 45 % de la superficie de son canton et compte 57 % de sa population.
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Son altitude varie de 500 m mètres à 2 974 m.
Elle se situe dans la vallée d'Ossau, vallée béarnaise située à l'est du département, limitrophe des Hautes-Pyrénées à l'est et de l'Espagne (Aragon) au sud. Le Valentin y rejoint le gave d'Ossau.
La ville est un lieu de séjour estival.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par le gave d'Ossau, affluent du gave d'Oloron et ses affluents :
- le ruisseau l'Arrioutort et son affluent :
- l'arrèc de Lars
- l'arrèc de Besse
- le gave de Bious (11,9 km) et ses affluents :
- l'arrèc d'Aas
- l'arrèc d'Aule
- le ruisseau de Magnabaigt
- le ruisseau le Canceigt (10 km)
- le ruisseau de Cotcharas et son affluent :
- l'arrèc de Sesques
- l'arrèc Dayguebère
- l'arrèc de Gaziès
- le ruisseau du Lurien
- le ruisseau de Pombie
- le Soussouéou (16,2 km) et ses affluents :
- le ruisseau d'Arrious
- le ruisseau de la Quèbe
- le ruisseau le Valentin (14,3 km)
Le ruisseau le Pour-Mourt, affluent du ruisseau le Secoue (affluent du gave d'Aspe) traverse également la commune.
Lieux-dits, hameaux et quartiers[modifier | modifier le code]
- Aas
- Ar
- Aracou
- Artouste
- Ayguebère
- Eaux-Chaudes, la station thermale
- Espalungue
- Fabrèges
- Gabas
- Geteu, une ancienne commune incorporée à Laruns en 1828
- Gêtre
- Goust
- Montagne
- Pon
- Village
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le toponyme Laruns apparaît sous les formes Larus (1154[5], titres de Barcelone[6]), Laruntz (1286[5], titres d'Ossau[7]) et Saint-Pierre de Larhuns (1612[5], insinuations du diocèse d'Oloron[8]).
Il a une origine basque et signifie « endroit où abondent les landes »[9].
Son nom béarnais est Laruntz.
Aas désigne un mont présent sur les communes de Laruns et Etsaut. Ce toponyme apparaît sous la forme lo port et montanhe aperat Haas (1487[5], notaires d'Ossau[10]).
Ar, désignant également un mont de la commune, sur la frontière avec les Hautes-Pyrénées, est attesté sous les formes Arr et Aar (respectivement 1355[5], et 1440[5], cartulaire d'Ossau[11]).
Aracou, autre sommet montagneux de la commune, apparaît sous les formes Lo port de Aracho, Arachoo, Araco et Arago (respectivement 1429[5] pour les trois premiers et 1439[5], titres de Buzy[12]).
Le toponyme Gabas apparaît sous les formes Gavas (XIIe siècle[5], titres de Gabas[13]), L'Espitau de Gavas (1385[5], censier de Béarn[14]), Guabas (1440[5], titres d'Ossau[7]) et Gabaxs (1536[5], réformation de Béarn[15]).
Le toponyme Geteu apparaît sous les formes Yeteu (1385[5], censier de Béarn[14]), Géteu (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5]) et Getten (1793[16] ou an II).
On trouve également en 1538[5] (réformation de Béarn[15]) mention de l' Ayguebère, mont présent sur le territoire de la commune, sous la forme Aygabere, ainsi que de l'Aneu dès 1355[5] (cartulaire d'Ossau[11]), écrit An'eu en 1675[5] (réformation de Béarn[15]). L'Anouillas, autre sommet présent sur la commune, est attesté sous les formes Anolhaas (1355[5], cartulaire d'Ossau[11]) et Anouilhas (1675[5], réformation de Béarn[15]).
Histoire[modifier | modifier le code]
En 1385, Laruns comptait 114 feux et Geteu 5. Elles dépendaient du bailliage d'Ossau.
Paul Raymond[5] note que la commune comptait une abbaye laïque vassale de la vicomté de Béarn.
Caze de Brousset[modifier | modifier le code]
En 1650, les jurats de Laruns décident de construire la Caze de Brousset dans le vallon du même nom pour mieux contrôler le passage en Espagne mais qui est aussi un refuge isolé, appelée "auberge" ou "cabaret" selon les époques, dans le haut de la vallée pour les voyageurs traversant les Pyrénées[17]. Composée de trois bâtiments, elle était contrôlée par un fermier. le premier connu fut David Figué de Laruns (1734-1742) : il paye une redevance à Laruns et doit entretenir le pont du haut, sans demander de péage. Pendant la Révolution Française, la caze est incendiée par les forces espagnoles de Sallent, en . Le , ils incendient et volent d'autres constructions dans les vallons de Pombie et surtout de Brousset; près de 1700 bêtes appartenant à plus de 70 propriétaires ont été perdues dans l'attaque. La caze de Brousset sera reconstruite au début du XIXe siècle: le , un nouveau fermier est nommé après une vente aux enchères du fermage, il s'agit de Jean Lassalle Rague. Le secteur n'est pas pacifié et les échauffourées entre bergers français et espagnols sont nombreuses. En 1808, la caze est de nouveau incendiée par des Espagnols. Pendant 36 ans, la famille Lassalle-Gassiolle va tenir la caze en fermage (1818-1853). Le dernier fermier est Pierre Loumiet (1853 - 1859) : les cabanes sont très abîmées et en 1858, un troisième incendie ravage la caze. Elle ne sera pas reconstruite car la construction d'une route en rend tout refuge désormais inutile.
Gabas, hameau dépendant de Laruns, est une ancienne commanderie et hôpital sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui empruntait la vallée d'Ossau (en lo parsan aperat Gabas in vale Ursaliensi, réformation de Béarn[15]). La sécurité étant difficile dans ces régions reculées, un traité de 1514 avec les Jurats de la vallée de Teña, place les hôpitaux et maisons religieuses sous protection, incluant la Caze de Brousset (lettre de 1707).
Exploitation de la mâture[modifier | modifier le code]
Après avoir exploité la vallée d'Aspe, la Marine royale s'installe à Laruns en 1776[18], elle y construit un arsenal[19] (actuelle place du port) et la Maison de la Marine. Comme en vallée d'Aspe, c'est l'ingénieur Leroy qui organise l'exploitation des sapins des forêts de Laruns et en particulier les massifs forestiers à proximité de Gabas. Il fait améliorer les chemins (chemin menant aux Eaux-Chaudes puis à Gabas[20], chemin du Bitet, chemin montant au vallon du Soussouéou), et envisage d'équiper un port pour le flottage des bois (d'où les appellations, rue du port et place du port). A l'origine les troncs de sapin destinés à équiper en mâts les navires de la Marine devaient être acheminés par flottage vers Oloron puis Bayonne, en fait les radeaux de flottage n'auraient été utilisés qu'à partir d'Oloron, le trajet Laruns-Oloron étant effectué par route. L'exploitation de la mâture semble s'être poursuivie au moins jusqu'en 1813[18].
En 1828[16], la commune de Geteu est unie à Laruns.
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blasonnement :
D'azur à un fouteau (hêtre) terrassé de sinople, adextré d'un ours assis contourné de sable et sénestré d'une vache de gueules, la queue tournée au-dessus du dos, l'extrémité vers senestre, l'arbre accosté en chef de deux fleurs de lys d'or.
Commentaires : Blason de 1817
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Politique et administration[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune fait partie de quatre structures intercommunales[21] :
- la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
- le SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat mixte du Haut-Béarn.
Laruns accueille le siège du SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Jumelages[modifier | modifier le code]
Sallent de Gallego (Espagne)[22].
Démographie[modifier | modifier le code]
Le Journal[23] de Pierre Casalivetery, notaire à Mauléon, dénombre pour les années 1460-1481 138,5 feux à Laruns, et 515 pour les années 1540-1548, signe d'une démographie en forte croissance.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2018, la commune comptait 1 190 habitants[Note 1], en augmentation de 0,25 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Économie[modifier | modifier le code]
L'économie de la commune comprend plusieurs types d'activité, l'agriculture, le tourisme, le thermalisme, la production hydroélectrique, le secteur du bâtiment et des travaux publics et les services. On peut mentionner également l'exploitation forestière, en déclin.
Ainsi, on trouve sur les terres de la commune notamment les installations hydroélectriques du Lac d'Artouste, le barrage de Fabrèges, la centrale du Hourat, de Bious-Artigues, qui sont opérés par la SHEM[28]. Sur le tourisme, notons principalement la station d'Artouste, qui est une station de ski l'hiver, et qui opère un train touristique l'été.
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Le marché des producteurs locaux a lieu tous les jeudis dans la soirée en été et toute l'année, les samedis matins.
Le premier dimanche du mois d'octobre a lieu la foire au fromage Hera deu hromatge de Laruntz où les bergers exposent leur production de l'année. Événement notable de la vallée, elle donne lieu à de nombreuses animations autour de la culture pastorale ossaloise.
Le a lieu les fêtes de Notre-Dame de Laruns où de nombreuses manifestations de la culture béarnaise s'y déroulent.
Patrimoine civil[modifier | modifier le code]
La commune possédait une gare sur la ligne ferroviaire venant de Pau et raccordée à la ligne Toulouse-Bayonne, mais celle-ci n'est plus en service.
La commune a érigé en 1988 une stèle des évadés de France, à la mémoire des résistants qui quittèrent la France pour rejoindre l'Armée de la libération via l'Espagne durant la Seconde Guerre mondiale.
Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]
Les pèlerins sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui empruntaient la vallée d'Ossau (col des Moines) s'arrêtaient à Gabas (hameau de la commune) où un hospice et une chapelle avaient été créés par le vicomte Gaston IV le Croisé en 1102 et placés sous la dépendance de l'Hôpital Sainte Christine du Somport, situé en Aragon à l'emplacement de la station de sports d'hiver de Candanchú. Gabas possède toujours cette chapelle de montagne datant des XIIe et XIIIe siècles.
L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie date du début du XVIIe siècle. Elle a été reconstruite et agrandie au XIXe siècle.
L'église Saint-Pierre date de la fin du XIXe siècle et a été construite sur l'emplacement d'une ancienne église des XVe et XVIe siècles.
Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]
Les lacs d'Arrémoulit sont situés au-dessus du lac d'Artouste dans la vallée d'Ossau et la commune de Laruns.
Un espace muséographique est consacré au lac de Castet par la commune de Laruns.
La commune de Laruns compte de nombreuses zones naturelles protégées, telles que la vallée du Soussouéou où se trouvent des cromlechs : 4 539 hectares.
Équipements[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune possède un collège public, le collège Les Cinq-Monts[29], ainsi qu'une école primaire et une école maternelle.
Sports[modifier | modifier le code]
La commune dispose d'une piscine couverte et chauffée, d'un trinquet, d'un fronton, d'une salle de combat et de gymnastique, d'un terrain de rugby, d'un gymnase et de courts de tennis. Elle opère aussi en régie municipale la station de sports d'hiver d'Artouste[30].
Laruns était sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui a eu lieu le . Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque. Le 27 juillet 2018, ce fut la ville d'arrivée de la 19° étape du Tour, qui partait de Lourdes[31]. En 2020, Il est prévu que Laruns soit à nouveau ville d'arrivée[32].
La commune possède une équipe de rugby à XV l'Olympique Ossalois-Laruns engagée en 3e division fédérale pour la saison 2017-2018
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- René Arripe, écrivain.
- Jacques Clabères, né à Laruns, participa, le , à l'une des premières ascensions du pic du Midi d'Ossau, en compagnie du comte Armand d'Angosse.
- Pierre-Étienne-Louis Eyt, cardinal, archevêque de Bordeaux entre 1989 et 2001. Il est enterré au cimetière de Laruns.
- Jean-Baptiste Guindey, hussard de Napoléon, qui tua d'un coup de sabre le prince Louis Ferdinand de Prusse en combat à cheval lors de la bataille de Saalfeld. Sa statue est sur la place Principale, face à l’église.
- Thomas Sanchou, rugbyman.
- Jean-Christophe Lalanne, directeur de la station de ski d'Artouste (Régie d'Artouste) depuis .
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Gentilé sur habitants.fr
- Liste des communes de France métropolitaine les plus étendues.
- Carte IGN sous Géoportail
- (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le 22 février 2018)
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne).
- Titres publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Titres de la vallée d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, notice BnF no FRBNF35515059), p. 136.
- Notaires d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cartulaire d'Ossau ou livre rouge, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xve siècle.
- Titres de Buzy - Archives de la mairie de la commune
- Titres de l'hôpital de Gabas - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385.
- Collection manuscrite du XVIe au XVIIIe siècles - Archives des Pyrénées-Atlantiques
- Fiche de Geteu sur le site du projet Cassini de l'EHESS
- http://cauhape.bernard.free.fr/page_Caze_brousset.html
- E. Guinier, « Les exploitations de mâture dans les forêts des Basses-Pyrénées - La forêt de Laruns », Revue des eaux et forêts : économie forestière, reboisement, , p. 589-595 (lire en ligne)
- Cadastre napoléonien de Laruns, 1813, section A, 4ème feuille, Archives départementales des Pyrénées Atlantiques
- M.L. Soulice, « Notice historique sur les Eaux Chaudes et les Eaux Bonnes », Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau, vol. 6, , p. 238 (lire en ligne)
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le 12 juin 2014)
- Annuaire des villes jumelées
- Journal de Pierris Casalivetery, transcrit et publié par Jean de Jaurgain dans les Archives historiques de la Gascogne, 1909, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 25. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « L’hydroélectricité à Laruns, barrages, centrales hydroélectriques 64 », sur Ville de Laruns (consulté le 15 mars 2020)
- Site du collège Les Cinq-Monts
- « Artouste : sous la régie municipale de Laruns, une première saison déjà positive », sur SudOuest.fr (consulté le 15 mars 2020)
- « Tour de France 2018 : Laruns sera pour la première fois ville arrivée », sur France Bleu, (consulté le 15 mars 2020)
- « Tour de France 2020 : voici l’étape Pau – Laruns du dimanche 5 juillet en détail », sur La-R%C3%A9publique-des-Pyr%C3%A9n%C3%A9es (consulté le 15 mars 2020)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques
- Gare de Laruns - Eaux-Bonnes (fermée)
- Artouste
- Col du Pourtalet
- Pic de Ger
- Route nationale 134bis
- Route nationale 618
- Vallée d'Ossau
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de l'office de tourisme